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Tw:viol






Neila  

J'aimerai l'accompagner, pour je ne sais quelle raison mais je veux le faire. Je ne lui ai toujours pas pardonner malgré que mon cœur me dît de le faire. C'est dur à accepter, ma sœur men a parlé de lui et de qui il était réellement. J'ai eu un pincement au cœur quand elle la décrit. J'aurai voulu le connaitre et dire que moi aussi j'ai un père qui me soutient.  

J'ai la mort de ma mère sur la conscience. Chaque jour je pense à elle. Chaque jour je pense à ce qu'elle sera devenue si je n'étais pas là. Mais c'est le destin, on ne peut pas le contrôler. Je partais chaque semaine lui rendre visite et lui poser ces fleurs favorites et je compte bien reprendre cette habitude bientôt.

Ma sœur mas aussi parlait de la relation qu'il avait avec ma mère ce n'était pas la joie d'après ces dires. Elle était contente qu'il nous a laisser car apparemment on allait vivre la misère. Mais chère sœur pour toi c'était la joie, moi je vivais un enfer sans pour autant le dire. 

Elle m'a aussi demandé de pardonner Elio même si ces dire pour moi. Lucas a aussi confirmé ces dires comme quoi il ne savait pas et j'espère que je réussirai a franchir ce cap.

J'ai devant moi une robe noir parfaite au point où je dois qu'elle sera appropriée à moi.  Je commence par me doucher, laver mes cheveux puis les lisser, je me maquille ensuite je m'habille. La robe est juste incroyable, elle moule parfaitement mon compris, elle a Cole plongeant, une fente au niveau de la jambe droite. J'ai toujours aimé le noir sur moi, ça me rend fine.  J'enfile mes talons et me parfume.

Ma tenue est accompagnée de quelques bijoux – boucles d'oreille, quelques gourmette et Jai préfère ne pas mettre de collier- je choisis le sac et sors. 

Je descends les marches en cherchant Elio en bas. Je ne veux en aucun cas l'attendre. La joie me comble quand je le vois prêt de la porte en train de me détailler de la tête aux pieds. Nous ne nous parlons pas, notre relation est plus froide que la glace. 

Tu es magnifique. 

Je ne réponds pas à son commentaire et me dirige vers la voiture. J'entends ces pas me suivre mais je l'ignore. J'ai beau paraitre froide et forte ... je suis brisée en mille morceaux. 

• Tu sais ce que tu dois faire mon cœur ? 

Je tourne vers lui captiver par quoi il m'as appeler, je plonge mon regarde dans le siens. Il est craquant. Vêtue d'une chemise noire, un pantalon qui l'accompagne, un blazer noir et pour coroner le tous un parfum qui le rend sexy.

Non, dis-moi Amore mio.  

J'appuie sur le dernier mot pour qu'il comprenne qu'il n'y a pas que lui qui sait dire des surnoms de ce genre en italien.

Reste à coter de moi, sous mes yeux si tu ne veux pas qu'il t'arrive quelque chose.

Je lui réponds plus et regarde la route défiler. Je le haï pour les sensations qu'il me fait ressentir. Les papillons qui surgissent une fois qu'il me parle, la façons dont il me regarde. Il me rend folle et putain comment j'aime ce sentiment. 

C'est la première fois que j'assiste à un bal, je stresse a mort. Je n'ai aucune idée de comment je dois me comporter ou si je dois saluer les autres ou leurs parlais. Mais je vais m'en sortir.

Le trajet est enfin fini, aucun de nous n'a parler c'était le calme total. Il vient m'ouvrir la portière pour mon plus grand étonnement. Il me prend la main et me sort pour ensuite venir la mettre autour de ma taille. Notre rapprochement me cause des frisons mais aucune gêne ces justes agréables.   

𝖊𝖑 𝖈𝖆𝖕𝖔Où les histoires vivent. Découvrez maintenant