OS F1 Carlando

lycée

La rencontre de Carlos et Lando s'était faite en douceur, un peu par hasard, mais ils s'étaient vite rapprochés. 

Il y avait quelque chose de magnétique entre eux, quelque chose qui rendait chaque moment passé ensemble spécial. 

Depuis le jour où Carlos avait offert son aide à Lando à la bibliothèque, une connexion douce et sincère s'était installée entre eux. 

Carlos aimait faire rire Lando, le voir rougir sous ses taquineries et ses sourires. Lando, lui, se sentait de plus en plus en confiance avec Carlos, au point de ne plus rougir dès que celui-ci posait sa main sur son épaule ou lui ébouriffait les cheveux.

Un après-midi, alors qu'ils se retrouvaient dans un coin tranquille du parc, Carlos se rapprocha de Lando et se mit à raconter une histoire drôle de son enfance. 

En plein milieu de son récit, il éclata de rire et, dans un geste affectueux, il passa son bras autour des épaules de Lando, le serrant légèrement contre lui.

Lando le regarda, les yeux brillants, un sourire tendre aux lèvres. Lando n'en pouvait plus de ce sentiment grandissant en lui, de cette envie de s'approcher encore plus de Carlos. 

Il baissa les yeux, hésitant.

Carlos, remarquant son trouble, posa doucement une main sous le menton de Lando pour relever son visage vers lui. 

- Lando, est-ce que...je peux faire quelque chose que j'ai envie de faire depuis un moment ? 

Lando hocha timidement la tête, sentant son cœur battre à tout rompre. 

Carlos s'approcha doucement, leur respiration se mélangeant, et déposa un baiser léger sur les lèvres de Lando. C'était un baiser doux, timide, mais rempli de tendresse. Lando répondit doucement, ses joues prenant une teinte rosée.

Après ce premier baiser, ils restèrent silencieux un moment, souriant sans rien dire. Carlos caressa doucement la joue de Lando de son pouce, comme pour prolonger ce moment. 

À partir de ce jour, les moments de tendresse entre eux devinrent de plus en plus fréquents et naturels. 

Ils trouvaient souvent des excuses pour se retrouver seuls dans des endroits isolés du lycée : derrière les bâtiments, sous un arbre dans le parc, ou même dans une petite salle de classe vide à la fin de la journée.

Un jour, après les cours, ils s'étaient réfugiés dans la salle d'arts plastiques, appréciant la tranquillité de l'endroit. 

Lando, assis sur une table, avait les jambes légèrement repliées, tandis que Carlos, debout face à lui, s'appuyait de chaque côté de ses hanches.

Carlos sourit, rapprochant doucement son visage de celui de Lando.

- Tu sais que t'es vraiment mignon, surtout quand tu souris comme ça ? 

Lando, embarrassé mais heureux, passa ses bras autour du cou de Carlos, osant cette fois prendre l'initiative de l'embrasser. 

Ils partagèrent un baiser plus long, tendre, qui fit battre leurs cœurs à l'unisson. Quand ils se séparèrent, Carlos colla son front contre celui de Lando, un sourire complice aux lèvres.

- Je pourrais rester comme ça avec toi pour toujours. 

Leur relation devint de plus en plus forte, et ils commencèrent à partager des moments plus tendres au quotidien. 

Dans les couloirs, Carlos n'hésitait pas à glisser sa main dans celle de Lando en passant, même si c'était juste un court instant. Parfois, il posait ses mains sur les épaules de Lando pour le tirer contre lui, déposant un petit baiser sur le sommet de sa tête.

Un soir, alors qu'ils regardaient les étoiles depuis le toit du lycée, Carlos, assis derrière Lando, l'enlaça par la taille et appuya sa tête sur son épaule. Ils restèrent ainsi, silencieux, profitant simplement de la présence de l'autre.

Carlos murmura à l'oreille de Lando : 

- Je sais que tu as encore du mal à y croire, mais je t'aime vraiment, Lando. 

Lando, ému, tourna la tête vers Carlos et lui murmura, un sourire tendre aux lèvres : 

- Moi aussi, Carlos. Et je crois que je t'aimerai toujours. 

Dans ces moments de douceur, dans chaque baiser volé et chaque étreinte discrète, Carlos et Lando vivaient une histoire d'amour qui les rendait plus heureux que jamais. Leur complicité était devenue leur force, un lien que rien ni personne ne pouvait briser.

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Voilà encore un chapitre!

Puisqu'ils sont assez courts je les écrit assez rapidement ;)