OS F1 Carlando

surprotecteur

Lando Norris et Carlos Sainz, deux hommes au caractère bien trempé, partageaient bien plus que des circuits de course. 

Leur amour, enveloppé de tendresse et de protection, était une bulle de bonheur au milieu des défis de leur carrière.

Un matin ensoleillé à Monaco, le bruit des moteurs de F1 résonnait déjà sur le circuit. 

C'était le week-end de course, et Lando se préparait avec impatience pour les qualifications.

Carlos, de son côté, ne pouvait s'empêcher de faire les cent pas dans le paddock. Il avait toujours cette légère anxiété avant une course, mais ce jour-là, c'était un peu plus prononcé.

Lando, avec son sourire contagieux et sa légèreté, savait exactement comment apaiser ses inquiétudes.

- Carlos, viens ici ! appela Lando, se tenant au bord de la voiture, une main sur l'aileron avant, son regard pétillant d'excitation.

Carlos s'approcha, le cœur battant un peu plus vite. Lando était si rayonnant sous le soleil, son casque à la main et son uniforme de pilote serré. 

- Tu es prêt pour ça ? demanda Carlos, le ton protecteur déjà dans sa voix.

- Bien sûr, comme toujours ! Lando fit un clin d'œil avant d'ajouter avec un sourire malicieux, et toi, mon ange, tu es prêt à me protéger sur la piste ? 

L'humour de Lando était l'un de ses charmes les plus irrésistibles. Mais derrière ses blagues se cachait une vulnérabilité que Carlos prenait très au sérieux.

 - Je te protégerai toujours, répondit Carlos, son expression devenant plus sérieuse. Juste...reste loin des autres pilotes, surtout des hommes. Tu sais à quel point ils peuvent être... 

Il laissa sa phrase en suspens, le regard noir.

Lando se mit à rire, s'approchant de Carlos, profitant de l'espace personnel que ce dernier cherchait à préserver.

 - Oh, je suis sûr qu'ils ne mordent pas. Et puis, tu es là pour me défendre, non ? 

Carlos se mit à sourire malgré lui, mais une lueur de possessivité passa dans ses yeux. 

- Oui, mais tu es l'amour de mi vida. Je ne veux pas que quelqu'un d'autre ait une chance d'approcher. 

Lando adorait cette attention, même si parfois, Carlos en faisait un peu trop. Sa nature protectrice pouvait être étouffante, mais elle le réconfortait également. 

S'approchant encore un peu plus, Lando s'enroula dans les bras de Carlos, réclamant un câlin. 

- Allez, un câlin avant la course, s'il te plaît, murmura Lando, se blottissant contre lui.

Carlos, ne pouvant résister, l'enlaça, ses bras entourant la taille de Lando. 

- Tu sais que je t'aime, mon amour, n'est-ce pas ? dit-il doucement, son souffle chaud contre le cou de Lando.

- Je sais, et moi aussi je t'aime.

Lando ferma les yeux, savourant la chaleur de Carlos. 

Il était comme un refuge, un endroit où il se sentait en sécurité, même au cœur de la compétition.

À mesure que la journée avançait, les tensions montaient autour d'eux. La course approchait et, avec elle, l'excitation et l'adrénaline. 

Carlos continuait à jeter des coups d'œil aux autres pilotes, son esprit étant en alerte à chaque sourire échangé entre Lando et Max.