Chapitre 24

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BLAKE

Nous descendons et passons le petit-déjeuner en mode câlins. J'avoue que ça fait du bien après ce que j'ai ressenti. Ensuite elle me fait visiter son penthouse. Je suis absolument fan de cet endroit. Tout y est extrêmement sobre et classe, extrêmement lumineux grâce à toutes ces baies vitrées et la cerise sur le gâteau c'est clairement la terrasse avec vue sur la mer ! D'ailleurs c'est ici que nous terminons la visite avec Kat assis sur l'un des fauteuils du salon de jardin avec elle sur mes genoux. Décidément je commence à beaucoup aimer ce geste, simple et tendre, même si elle persiste à dire qu'elle est trop lourde pour moi.

Pendant qu'elle est en train de me parler d'elle, de sa vie dans son pays d'origine, le genre d'informations que j'adore apprendre sur elle, je réalise qu'il va falloir que j'aille récupérer mes affaire à l'hôtel parce qu'il faut que je rende la chambre dans à peine quelques heures. Kat a la gentillesse de me prêter sa voiture ce que je ne risque pas de refuser, d'autant qu'hier soir je n'ai pas pu réellement en profiter tellement j'étais énervé. Je profite un maximum de l'heure et quelques que j'ai à passer dans le trafic. J'en profite aussi pour me changer pour ce que j'appelle ma tenue d'aéroport : survêt' et sweat à capuche noirs.

Je retrouve Kat chez elle, venue à ma rencontre elle m'attend en haut de ses escaliers. Elle est très belle sous toute cette lumière. Nous finissons sur son canapé enlacés pendant que je lui fais le compte-rendu de mes impressions sur son bolide et qu'elle passe une main dans mes cheveux. Lorsqu'elle me demande.

— Dis moi, est ce que ce trafic t'a stressé ? Est ce que tu es tendu ?

Je sais tout de suite ce qu'elle a en tête surtout que son autre main descend lascivement du haut de mon torse et dangereusement bas vers mon entrejambe pendant qu'elle m'embrasse dans le cou. Elle me caresse un moment sur le tissu et quand elle sent que ça me fait de l'effet, elle me murmure toujours à mon oreille.

— Hm, oui effectivement tu es plutôt tendu.

Elle repasse à des baisers le long de mon cou ce qui commence à me donner des frissons et sa main disparaît rapidement sous l'élastique de mon pantalon. Elle reste un moment à procurer des caresses à mon membre qui le lui rend bien. Ma respiration commence à se saccader pendant que sa bouche passe sur la mienne et qu'elle descend se placer entre mes jambes. Au bout de quelques minutes je l'aide à descendre mon survêtement en me relevant légèrement et je remarque qu'elle n'a pas voulu s'embarrasser de mon boxer en le descendant par la même occasion.

Un fois rassis, je me retrouve totalement exposé devant elle, mon érection déjà bien présente. Dire que cette femme me fait de l'effet serait un euphémisme. Je la vois la regarder en souriant et en murmurant un .

— Salut toi.

Ce qui moi aussi me fait sourire surtout quand elle relève les yeux quelques secondes vers moi. Elle se penche ensuite pour embrasser mon bas-ventre puis toute la zone autour de mon sexe pour enfin déposer une myriade de bisous de mes testicules jusqu'à mon gland, ce qui me fait échapper des soupirs de plus en plus fréquents. Sa bouche est pour quelques instants remplacée par sa main qui va et vient d'abord doucement puis d'une manière de plus en plus vigoureuse. Je commence à passer ma main dans ses cheveux pour l'amener à continuer. Alors qu'elle continue à me branler je sens sa langue faire des cercles sur mon gland qui me fait lâcher un grognement sourd.

— Tu veux me tuer Kitty Kat ?

Elle relève les yeux en me souriant.

— Pas avant que j'ai fini de m'occuper de toi guapísimo.

Au bout de quelques minutes de cette incroyable torture, elle me prend en bouche. D'abord le gland puis ma longueur s'enfonce de plus en plus pendant qu'elle caresse les testicules. Ma tête part en arrière sous l'effet de cette pure extase que procure la chaleur de sa bouche et le contact de sa main.

All the way 'till the checkered flagOù les histoires vivent. Découvrez maintenant