Ti amo.

16.

POINT DE VUE DE INÈS ;

📍PARIS
5h38
APPARTEMENT LÉO.

Comme d'habitude, je me retrouve à attendre la brune devant son appartement au chaud dans ma voiture.

Nous partons en Italie aujourd'hui, nous devons arriver à Milan vers midi. Mais je suis prêt à mettre ma main à couper que Léo est toujours en train d'essayer de fermer sa valise.

Quelques secondes plus tard, je vois Bernie et Léo sortir de l'immeuble avec la valise de l'Italienne. Je descends de ma voiture, ouvre le coffre afin de mettre sa valise dans ce dernier.

Avant de remonter à bord de mon véhicule, Bernie m'arrête. Il vérifie que la brune soit bien dans la voiture pour commencer.

- Faites attention en Italie...

- Vous en faites pas Bernie. Je le rassure d'un sourire.

- Si, je m'en fais, monsieur Di Santos n'est pas du genre à rigoler. Continue il d'un air sérieux.

- Je ferais attention, merci.

Je le salue d'un dernier sourire, et monte aux côtés de Léo. Cette dernière a des petits yeux, elle ne s'est pas maquillée, elle porte une jogging et un énorme pull.

Je lui embrasse son front avant de démarrer.

Je me rends très vite compte que les réveils bien trop matinal ce n'est pas son fort.

Quelques heures plus tard nous passons la douane, et allons à notre salle d'embarquement, non sans se chamailler sur le chemin de où aller. Car oui, un aéroport c'est comme un labyrinthe et madame têtue est persuadé d'avoir raison.

Jusqu'au moment où nous avons faillie rater notre avion car nous étions dans la mauvaise salle d'embarquement.

Il a fallu qu'on court comme des malades pour embarquer à temps. Non sans le doux rire de Léo faisant chavirer mon cœur.

- Inès, c'est moi côté hublot ! S'exclame elle alors que je viens de lui prendre sa place.

- Jamais de la vie, je t'ai porté t'as valise alors tu me laisse t'as place. Je dis sans en découdre.

- Ok, pas de soucis, mais je crois que la personne à côté de moi est un mec qui-

Je me lève sans attendre et vient me mettre à ma place initiale. Le sourire satisfait de la jeune femme m'énerve car je sais qu'elle gagnera toujours sur ça.

Mais quelques minutes plus tard, je l'a vois se retenir de rire a en devenir rouge comme une tomate. Je ne comprends pas pourquoi, mais très vite je tourne la tête et remarque qu'une grand mère se tient à mes côtés.

***

J'ai passé le trajet à dormir sur l'épaule de Léo qui n'a pas arrêter de gigoter, ce qui lui a valu mes râles.

Nous sortons de l'avions et arrivons sur le parking là où le chauffeur priver de la brune nous attend. Je remarque très vite qu'elle semble à la fois anxieuse mais aussi excitée.

- Mais qu'est ce que t'as à être aussi bizarre comme ça ? Je lance alors que la jeune femme accélère le pas.

- Mais c'est Carlos qui nous attend !

Et alors lorsque nous arrivons devant l'aéroport et qu'elle aperçoit ce fameux Carlos. Son sourire prend place sur son visage, le grand homme aux cheveux cendré semble plus qu'heureux de revoir l'italienne.

Il l'a prend dans ses bras avant de lui dire des choses en Italiens que je ne comprends absolument pas... Mais quand il pose ses yeux sur moi, son regard est espiègle, il se raidit de si tôt.

- Carlos, je te présente Inès. Déclare Léo en français.

L'homme semble avoir compris, il me salue d'un signe de tête avant de prendre nos bagages pour les poser à l'arrière du van.

J'apprends durant le trajet que Carlos est depuis toujours le chauffeur priver de Léo. Il l'a emmené sur chacun de ses défilés, même ses tout premier. Il connaît un tas de choses sur l'italienne.

Je ne vais pas mentir, le stress monte, je vois bien à travers les yeux de Léo que de revenir ici lui fait le plus grand bien. Mais moi, j'ai la trouille.

Je vais rencontrer l'entièreté de sa famille d'ici ce soir, ils vont sûrement nous demander ce que nous sommes elle et moi. Alors que nous mêmes ne savons pas.

Lorsque le van s'arrête devant une grande et magnifique maison italienne, mon cœur loupe un battement. Je remarque à travers la vitre ce qu'il semble être les parents de la jeune femme nous attendre sur le pas de la porte.

Léo remarque que je déglutis difficilement ma salive, alors sa tête se tourne vers moi, elle prend ma main dans la sienne.

- Ils sont gentils ne t'en fais pas, et en plus ma famille parle français. Me dit elle dans le but de me rassurée.

Je secoue légèrement la tête avant de sortir du véhicule. La brune accourt vers sa mère qui l'a prend aussitôt dans ses bras, elles semblent toute deux très émus de se revoir. Catarina et Renato sont tout deux différents, son père a un visage froid très fermé qui n'inspire pas confiance, alors que Catarina semble douce et gentille.

Alors que je m'avance lentement vers eux, leurs regards se posent sur moi. Dont celui de mon italienne qui se trouve entre ses deux parents. Sa mère vient tout de suite m'embrasser les joues comme le ferait ma maman.

Quant à Renato lui, il se contente d'une poigne de mains. Je n'ai rien dit, mais il m'a fait très mal.
Mais rien ne peut encore plus me combler de bonheur que Léo avec un grand sourire sincère.

- Allez les enfants rentrez, Carlos va vous monter vos affaires ! S'exclame la mère brune en passant un bras derrière mon dos pour nous faire entrer.

Devant moi se dresse une maison en pierre, tellement lumineuse que l'on pourrait la comparer au paradis. C'est une maison luxueuse avec un énorme haul d'entrée pouvant accueillir au moins une centaine de personnes.

Des femmes et hommes de maisons grouillent un petit peu partout. Ce qui me choque légèrement, alors Léo a vécu avec des gouvernantes à sa disposition ?

Je ne dis rien, et seulement suit les trois personnes devant moi. Je n'imagine pas le bonheur de l'italienne de retrouver son chez soi après presque deux mois loin de tout.

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Nouveau chapitre !!
j'espère que vous allez tout(e) très bien, perso ça va comme un lundi quoi.
j'attends vos commentaires avec impatience, j'ai remarqué que l'histoire allait atteindre les 100 vus, merci beaucoup !!
QUESTION : est ce que vous aurez des histoires sur Inox à me recommander svp ?? des histoires plutôt bien écrite...
enfin bref,
prenez soin de vous :))

KISS LAL 🩷