Chapitre 4 :

1.3K 65 7
                                    

Tout d'habord je tiens à m'excuser pour l'énorme retard mais j'avais quelques soucis dans mon compte wattpad mais bref ce chapitre est plutôt court et avec moin d'action mais du moins il est très important pour la continuité de l'histoire. Merci de me lire de voter et de commenter ça compte énormément pour moi . Bonne lecture et le prochain chapitre viendra très bientôt.

Orial:

Je me réveille en sueur . Je n'arrive plus à m'endormir. Je jette un coup d'oeil à mon réveil. Il est quatre heures du matin. Je n'ai donc dormi que cinq heures. J'essaye de me rendormir mais je n'y arrive pas. Ses yeux me hantent . À chaque fois que j'essaye de fermer les yeux pour dormir, ils apparaissent dans leur beauté divine chassant toute trace de someil.

La seance était passé bien plus vite que je ne m'imaginais et je me suis aussitôt sauvé de cette maison évitant à tout pris de revoir ce Georges . Ensuite je suis allé boire un verre avec quelques amis puis je suis retourné chez moi et après une longue discussion avec mon père qui était particulièrement intéressé par mes séances avec Sophie je me suis enfin rendu à ma chambre pour m'endormir. Sauf que là encore il a fallut qu'elle soit présente. Elle me hante alors que l'on vient tout juste de se connaître. Notre discussion ne cesse de défiler dans ma tête tel un film et j'ai beau essayer de comprendre ce qu'elle voulait dire je n'y pouvais tout simplement pas. Le plus bizzare dans la chose c'est que moi aussi je l'ai suivie dans ce délire sans trop savoir comment ni pourquoi. Et moi qui ne comprenait rien en tout cela et moi qui jusqu'à alors pensais que la phylosophie n'est rien à part un moyen de se compliquer les choses de se poser des questions au qu'elles nous n'aurions surment jamais de réponse sure. Et pourtant je me suis retrouvé à aimer cette philosophie avec elle à aimer cette manière avec laquelle elle pense et cette facilité et fluidité de raisonnement si simple que l'on n'y pense même pas mais qui au même temps est si complexe à comprendre. Je ne sais pas comment je me retrouve devant l'écran de mon macbook entrain de chercher sur internet comment avoir un raisonnement phylosophique. Après une demi heure de lecture j'abodonne . Je suis entrain de devenir fou à chercher un truc si stupide à cette heure . Je n'ai passé que deux heures en sa campagnie et déjà tant de choses ont été changées en moi . Sans qu'elle ne le veille elle a éveillé quelque chose au fond de mon être juste en étant elle meme. Cette fille va finir par me rendre fou. Il fallait que je me change les idée peut être que c'est le stress du travail et celui que m'inflige mon père qui m'ont laissé assez faible pour que je sois autant influancé par elle ou s'est tout simplement le manque de someil. Oui surment s'est ça je suis fatigué et je commence à penser n'importe comment. Je décide donc de sortir courir pour me rafraîchir les idées. Je met un short et un pull ne me souciant guère de la neige ni du froid je pris aussi mes écouteur et mon téléphone.

Je courre sans vraiment faire attention à ma direction tandis que la voie de John Légende raisonne dans mes oreilles. Je me laisse emportée par sa musique et ses paroles au rythme de mes pas de course. Après plus d'une heure de footing, je me retrouve enfin devant ma maison , tout en sueur mais mille fois mieu . Je me suis vidée la tête de son souvenir . Et j'en suis reconnaissant. Je peux enfin commencer ma journée normalement.

Je descend manger mon petit déjeuner après avoir pris une douche chaude et m'être habillé pour aller au travail . Manger avec mon père n'est certes pas l'une des choses les plus agréables que je veuille faire mais on dirait que je n'ai pas trop le choix. J'essaye de manger le plus vite possible pour enfin m'en aller. Sauf qu'on ne se sauve pas aussi simplement de Roger Castor .

- Alors fils c'est pour quand ta prochaine séance avec Sophie?

Je lâche la fourchette en entendant son nom , le bruit du métal confronté au verre de mon plat arracha une grimace à mon père qui peu après me regarda sévèrement. Les bonnes manières en table font partie des règles à ne pas enfreindre. Et c'est ce que je viens de faire. Pourtant à ma grande surprise mais aussi à mon grand soulagement père ne fis aucune remarque . Il décida de tout simplement ignorer. Et au fond de moi je sais très bien que son silence n'est autre qu'un grand cris de menace.

- Je n'en ai aucune idée , peut être dans une semaine que sais - je?

J'essaye de me rappeler si ce Georges m'avait parle d'un programme de séance lors de notre discussion mais je n'y arrive pas je n'ai vraiment pas prêté attention à ce qu'il disait. Et je le regrette en cet instant précis.

- Tu le devrais pourtant tu es le médecin et tu dois absolument tout savoir sur ce sujet je te rapelle. Georges n'est pas n'importe qui Orial , c'est un ami très proche de moi et je ne veux pas m'humilier devant lui donc tu as affaire à t' appliquer un peu plus dans ton travail .

Je ne pus qu'hocher la tête , cette journée commence très mal et je ne veux même pas savoir comment est ce qu'elle se finirait.

Un psychologue psychopathe.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant