La lettre de ma vie [✔]

ce qu'il a du culot! (lettre de Alissia a Demi)

« J’ai suivit ton conseil, je suis resté avec mon frère et Jade a l’école et a la maison, je restais souvent avec mon frère. Sérieusement, en ce moment je me demande que ce que je fessais sans mon frère, il m’a tellement aidé, protégé, mais surtout, il est une des seule personne qui m’aime et qui tient a moi. Jade a beaucoup de chance de l’avoir comme petit-ami. Cela fait maintenant presque 2 semaines que j’ai eu ma chicane avec Emma. Et je dois t’avouer, qu’avec les autres, je mets cache mon larmes et ma souffrance, et fait comme si de rien n’étais, mais au fond, j’ai le gout de m’assoir dans un coin, pleuré et rester là à me morfondre…

La nuit, je dors peut, 5 heur peut être, au matin, j’ai des poches mauves en dessous des yeux, mais bon, même si je n’aime pas me maquiller, je mets du cache cernes et voila, je suis prête à rentrer dans la peau de la personne que je montre aux autres en ce moment. Mais même a cela, quand mon frère me demande comment je vais, je lui réponds que c’est correct, mais ça dois se voir dans mes yeux que je ne vais pas bien, mais il se contente de me regarder, ou plutôt me fixer longtemps, et de hocher la tête en guise de «ok…».

Je n’ai rien fait d’idiot, ou d’imprudent, oh…oui, j’ai traversé la rue sans regarder des deux coté… mais ce n’est pas nouveau… je le fait toujours! En tout cas, je t’assure, je n’ai pas de nouvelle cicatrice si tu vois ce que je veux dire. Je n’ai rien cassé sous la dominance de la rage. Il n’y a que mon oreiller qui fini par être mouiller quand je fini enfin par m’endormir après de nombreuses tentative pour dormir. Et me matin, comme tout le monde, je me réveille avec le son le plus décourageant pour tout le monde…mon réveille. Je me lève, me prépare et je pars pour l’école. Sans manger, je n’en ressens pas le besoin. J’ai commencé a moins manger… mais bon, je ne croix pas qu’il faut s’en faire, je saute le déjeuné seulement…et parfois le diner… et parfois a cause du manque de sommeil, je n’ai même pas la force de pleuré, donc, j’arrête de parler et recommence ce que je fessais avant, je parle que quand j’en ai besoin ou que un professeur me pose une question. Je sais que mon frère s’inquiète pour moi mais il ne devrait pas. Je vais m’en sortir comme dans toutes les autres situations dans les quels j’ai été placé.

En tout cas…

3 jours plus tard

C’est…compliquer à expliquer…

Et bien, samedi, bien, hier, j’étais à la maison, et mon frère dans la cours avec Jade. Quelqu’un a sonné à la porte. Alors, comme mon frère étais dans la cours ave Jade, j’étais la seule qui l’avais entendu, bien sur, je n’avais aucune envie à parler a n’importe qui, peut importe qui. Alors, je suis resté dans ma chambre, attendant que la personne parte. Mais elle a résonna. Encore, j’ai attendu, mais elle a encore une fois sonnée. Je me suis lever et je suis allé répondre à la porte. Un homme se tenait devant moi, mis trentaine/début quarantaine peut être. Je l’au regarder un moment, attendant qu’il parle, mais il n’a fait que me regarder. Je l’ai regardé un moment. Cet homme me rappelais quelqu’un, mais qui? Un ancien professeur? Peut être. L’homme me regardait encore. Il n’avait pas l’air d’aller prendre la parole, alors, je l’ai fait.

-          Oui?

L’homme ouvra la bouche, mais me regardais encore. J’ai entendu les pas de quelqu’un derrière moi, et il c’est arrêter a à peut près 2 mère de moi. Je me suis retourné, et j’ai vue mon frère et Jade un peut plus en retraite en arrière. Mon frère regardait l’homme et je ne sais pas, avec horreur? Il ouvrit la bouche, mais comparé à l’homme, les mots sortirent.

-          Papa?

J’ai regardé l’homme, ben sur, c’étais lui. J’ai lâché la porte et j’ai reculé de quelques pas. En me rapprochant de mon frère. Mais oui, c’étais lui, ces yeux, ils me rappelaient les miens, bleu, ma mère aussi avait les yeux bleues, mais j’avais des yeux comme les siens. L’homme nous a regarde, et puis a baissé les yeux vers le sol, l’air d’Avoir honte. J’ai encore plus reculé pour aller me mettre à coté de Jade, qui comme nous fixais l’homme. Il a enfin relevé la tête. Mais cette fois-ci, ces yeux étaient luisants, de larme.

-          Vous avez tellement changé…

-          Parce que le temps a passé.

Mon frère avait répondu avec un ton qui calme, mais dure aussi, ces paroles semblais peser et aussi, réfléchie. Mon frère et mon père se fixait du regard.

-          Que viens-tu fait ici?...

Mais cette fois-ci avec une voix plus forte qui montrait en même temps son impatience.

-          Je…je voulais vous voir.

Cette foi-ci mon frère n’a pas eu à répondre. Je l’ai fait, s’en étais assez, je n’étais plus capable.

-          Tu débarque comme ça parce que tu veux nous voir? Pourquoi pas plus tôt?-j’avance vers lui-Mais non, trop occuper avec ta pute! J’ai raison non?! Ou étais tu quand ont aurais voulue que tu sois là? Pas là en tout cas, pas avec nous, jamais tu ne nous a appelé pour notre fête ou même pour noël, mais tu sais quoi? -Je m’avance encore et je suis presque qu’a 1 mètre de lui pour qu’il puisse bien voir mon sourire- et bien, ont a fait sans toi, ont a attendu longtemps, mais c’est fini, ont à arrêter d’attendre. Ont a plus besoin de toi.

Et je lui ai fermé la porte au nez. J’ai repris ma respiration, et je me suis retourné, et j’ai remarqué, mon frère qui me fixais et Jade qui n’avais pas bougé, mais qui me soufrait.

-          Bah quoi?!

Il m’a regarde pendant quelque secondes de plus, puis m’a souris.

-          Rien.

-          Alors, pourquoi tu me regardes comme ça?

-          Parce que tu as fait ce que j’aurais voulut faire mais que je n’étais pas capable de faire.

-          Bon, si c’est juste ça, je retourne dans ma chambre.

Et je suis repartie dans ma chambre, je n’arrive pas a y croire, il se point ici comme ça, quel culot il a! Et pendant le reste de la journée, j’étais…fru, non facher? Ouais, c’est le mot!

En tout cas, voila le résumé de mes derniers jours… ouais, comme tu as vue… pourri. Rien ne c’est arrangé, demain de retourne a l’école, et je n’ai tellement pas le gout… ne tout cas… c’est ça… ouais, c’est ma vie, pourrie. Ouais, si tu me demandais un mot pour décrire ma vie, ce serais : pourrie.