Chapitre 20 : «Prête? Prête.»

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Mardi 17 octobre, 16h45.

PDV de Crystal.

Je ne comprends pas ce que voulais dire Thomas par dangereux?

J'attendais quelques minutes avant d'entendre frapper à la porte. Dylan..

J'ouvre la porte et Dylan entre en regardant partout dans la maison. Pourquoi? Je sais pas.

-Thomas n'est pas là??

Voilà qui il cherché..

-Non, il est partit. Pourquoi?

-Il t'a dis quoi? Rien j'espère!

-Non,non t'inquiète. Il ne m'a rien dit.

-J'espère bien..

/Lemon\

Il s'avança et s'arrêta tout près de moi, je pouvais voir son magnifique visage me contempler avec..envie je crois.
Il voulait de moi, je le sentais. Il caressa de ses doigts, mon bras dénudé, remontait jusqu'à mon épaule, je fermais les yeux mais les rouvrit peu après, je sentais ses mains passées tout le long de mon dos pour s'arrêter au dessus de mes fesses. Il pencha son visage près de mon oreille, et me chuchota:

«Je te veux».

Je voulais moi? Sûrement! Je ne sais pas ce que je dois faire. Je sais très bien ce qu'il veux, et se sera ma toute première fois. Je le fais avec lui ou pas?
Je pense que oui..

Ses gestes sensuelles qu'il me faisait le long de mon corps me donnait de plus en plus envie de lui, et qu'il m'embrasse enfin.
Les secondes paraissaient trop longues, voir interminables. Ses lèvres se posèrent enfin contre ma peu, un léger gémissement sortit de ma bouche, ses lèvres douce remontèrent jusqu'à mon cou, il remonta ses lèvres au coin de ma bouche et me donna un chaste baiser.

«Embrasse moi, je t'en supplie..»

Il posa enfin ses lèvres contre les miennes, et demanda accès à ma bouche. Nos langues dansèrent ensemble, une danse douce et sensuelle. Ses mains descendirent en dessous de mes fesses et il me souleva, mes jambes s'enroulèrent autour de sa taille et il me monta jusqu'à ma chambre.

[Merci à cloudstiles d'avoir écrit cette partie] :

J'ouvris la porte tout en continuant de l'embrasser. Ses lèvres se baladèrent un peu partout sur mon bustier. Dans mon cou, sur mes épaules, ma clavicule. Il me mordillait un peu la peau, me laissant des marques mauves.
Il me déposa sur le lit et je m'allongea. Son visage était tellement près du mien, je pouvais me perdre dans ses yeux. Je sentis une étrange sensation dans mon ventre. Des milliers de papillons s'envolaient en entamant une danse folle.

Il continua à m'embrasser, sur les lèvres, dans le cou, sur la clavicule, juste au dessus de la poitrine. Je soupira en sentant ses lèvres s'aventurer partout sur mon corps. Il enleva mon t-shirt ainsi que mon bas. J'étais à présent en sous-vêtements, collée contre cet homme qui m'était inconnu il y a quelques jours encore.

«Prête?»
«Prête.»

Il continua à balader sa bouche contre mon ventre et entre mes seins. Je frissonnais de partout. Ses lèvres rencontrèrent à nouveau les miennes et je le retourna afin que je sois sur lui et qu'il soit allongé sur le lit.
À mon tour. Je l'embrasse fougueusement. Nos langues dansèrent à nouveau ensemble, dans une danse plus endiablée que la précédente. J'attaque sa peau avec mes dents, lui laissant moi aussi des marques mauves. Ses doigts s'entrecroisèrent aux miens. J'enlève son t-shirt à toute vitesse. Je posa mes mains sur son torse nu.

Très peu d'abdo, certes, mais incroyablement sexy. La température intérieur de mon corps monta en flèche. Je l'embrasse à nouveau en plein sur les lèvres tout en enlevant sa ceinture et son pantalon. Je me mise assise sur lui. Je sentais son érection grandir au fur et à mesure que je l'embrassais. Ses mains passèrent dans mon dos et dégrafèrent mon soutien-gorge. Sans le vouloir je lâcha un maigre gémissement quasi inaudible. Zéro tissu qui séparait nos peaux, rien entre nous.

Ce fut à son tour de le retourner pour qu'il soit sur moi.
Ses mains se baladèrent sur mes hanches pendant que ses lèvres parcourais mon buste. Il enleva ma culotte. Mon dieu, que ce passe-t-il? Je suis nue ou c'est juste moi. Non, je ne rêve pas. Je suis bel et bien prête à faire des choses pas vraiment honnête avec lui. Ses doigts passèrent sur mon intimité et il me mît directement deux doigts. Je garda pour moi un petit cri. Je me contenta de serrer les dents.

Je ferma les yeux pour savourer ce moment où rien ne nous séparer. Ses doigts me libérèrent. Putain de merde, ce que j'aimais ça. Une sensation nouvelle et agréable apparue dans mon bas-ventre. Ses yeux replongèrent dans les miens. Je devais passer pour une idiote à le regarder comme ça. Ses lèvres s'écrasèrent à nouveau sur les miennes et mes mains passèrent sur ses hanches et son bassin. Un vulgaire bout de tissu nous séparait complètement. Je m'empressa de l'enlever.
Et j'ai pris son engin en main.
Putain qu'est-ce qu'il me prend?
Je commença néanmoins à faire des vas-et-viens avec ma main.
Un gémissement éclata dans sa bouche. Un sourire en coin se dessina sur mon visage et il l'a sentit.

«Pourquoi tu souris?»
«C'était tellement minable ce petit cri. Il fallait bien se moquer.»

Il roula des yeux et me souris. Ce sourire. Il avait le don de me faire fondre. Je l'embrasse de nouveau. Il repoussa une mèche de mes cheveux qui lui chatouillait le nez. Je libéra sa virilité. Le pire, c'est qu'il en a profiter pour me la mettre brutalement. Cette fois impossible de me contenir. J'ai crié.

«Minable.»

Je souris face à cette remarque stupide.  Il commença à faire des doux vas-et-viens. Qu'il arrête de mentir, je sais très bien qu'il veut vraiment faire plus brutal. Et il l'a compris. Ses coups de bassins furent de plus en plus violent. J'avais mal, mais j'aimais ça. Au bout d'un certain temps de souffrance et de plaisir, il me libéra et je me glissa sous les draps, collée à lui. Cette nouvelle sensation ne me quittait plus.
J'étais tellement bien et heureuse.

Message avec un inconnu.[Tome 1&2]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant