SEX GAME [Français]

Chapitre 15☀

PDV Lylia

Ma peau brûle sa mère, ce n'est même pas une blague ! J'ai carbonisé sous le soleil et le pire, c'est que je n'ai même pas mis de crème solaire. Conclusion, je me suis niqué la peau. Bravo Lylia.

On est tous sur le lit de l'hôtel en train de parler. Quand je dis, ''on", je parle des filles, à part Synthia. Nous parlons de la piscine et de choses que nous aimons ou n'importe quoi en mangeant une pizza qu'on a commandée d'en bas. Oceanne nous écoute attentivement et ris à certaines de nos blagues pourries. Vu que j'ai raconté aux filles ce qui s'est passé entre Florian et moi, elles m'ont annoncé que ça été la même chose pour elles. Bref de toute façon, on s'en fous de ces mecs, ils ne sont pas importants et ils ne le seront jamais.

- Je crois que je vais dormir. Avisais-je en me couchant sur le lit entre Brittny et Elda qui se laissent tomber sur le lit à leur tour.

- Moi aussi, bonne nuit ! Sourit Oceanne en se dirigeant sur le lit où se trouve Synthia.

Pute.

Brittny, Elda et moi avons pris déjà 20 minutes à dormir. On parle de comment fuguer de cet hôtel au plus vite. Même si c'est peine perdue. Les gars vont nous bouffer si on sort "sans leur permission". En parlant d'eux, je crois que vous savez tout ce qu'ils sont en train de faire. Stupide FIFA.

Gamins va.

Je m'endors de plus en plus et mes paupières deviennent lourdes. Je cède et mon sommeil m'emporte dans des rêves très... Sensuels.

***

Une sonnerie stridente me réveille. Merde, mon téléphone. Vu que je suis au milieu, je me tourne du côté de Brittny et allonge mon bras pour prendre mon phone de la table de chevet. Je mets mon coude sur son sein droit et elle hurle.

- Mon sein!

- Sorry Britt'.

- Vos gueules. Gémi, la voix de Joey.

Mais, il veut quoi lui, là ?! Je décroche finalement sans voir qui c'est. Une voix surgit dans l'appareil et mon coeur rate un battement. Merde.

- Lylia, vous êtes où ?! Hurla presque, une voix familière.

- Gwendal, calme toi. Je suis sortie avec les filles. Je déteste lui mentir.

- Tu ne préviens même pas. Putain, je me suis inquiété. En plus, je vous ai cherché dans toute la maison.

Il a l'air soulagé maintenant.

- Comment es-tu rentré ?

- La porte était ouverte. Me dit-il.

Brittny.

- On peut vous rejoindre ? Demande soudainement Gwendal sachant qu'il parle de lui et de ses potes. Trouve une excuse !

- On est à Los Angeles. C'est loin !

- Mais, votre voiture est dans le parking. S'interroge le métis.

- J'ai pris le taxi, bébé. Rigolais-je me sentant mal de devoir lui mentir. Mais, je n'ai pas le choix, je ne dois rien révéler du jeu.

- Ah d'accord. Tu me manques, je fais comment moi, ce soir sans toi ? Je l'entends bouder.

- Utilise ta meilleure amie.

- Quoi ?

- Ta main droite. Lui dis-je.

- Prends-moi pour un concombre. Il rit. Bon, je te laisse. Bisou !