SEX GAME [Français]

Chapitre 33 ☀

Hello tout le monde!! Bon d'abord, je suis désolé pour le retard mais on était en période d'examen! Je penses qu'on a foiré nos examens en fait...

Mais bref. Le chapitre sera plus longs, comme pour se pardonner du retard! On vous aime!

PDV Lylia

- Lylia attend je peux tout t'expliquer. Essaye-t-il. Mais m'expliquer quoi ? À quel point j'ai été conne de lui croire? À quel point j'ai été naïve de penser qu'il pouvait ressentir de quelconque sentiments d'un jeu aussi inhumain? Non Florian, tu ne m'auras pas. Pas cette fois encore.

- Je n'ai pas besoin de tes excuses. J'en ai assez entendu. Tellement que je les connais même mieux que toi. Dis-je avec haine. Une réelle haine. Une haine dont je n'aurais jamais cru être capable d'éprouver à son égard. Certes, j'étais sous mes gardes, mais je ne l'ai jamais été comme à  cet instant même.

- Tu ne m'as même pas entendus! Commence-t-il à se défendre avec un peu plus d'ardeur. Mais qu'es ce qu'il veux que j'entende? Des mensonges? Ou des mensonges améliorés? En fait, dans les deux cas, ça ne rime à  rien. Je soupire, décidant finalement de le laisser s'exprimer en même temps que je parcours la longue distance me séparant du centre à ma voiture, avec le métis à mes talons.

- Peu importe ce que tu as pu entendre, il faut clarifier une chose. Rien de cela n'était vrai. Je roule les yeux à cette phrase. Tu es une fille éveillée, forte, serte un peu trop gentille, mais humaine! Et c'est ça qui nous manque, à nous tous dans le jeu. Il nous manque de l'humanité. Et toi tu nous en a apporté, avec ta façon de vivre et ta façon d'être. Tu m'as appris comment aimer, comment penser aux autres sans tout le temps penser à sois-même. Oui, ce jeu est serte une très mauvaise image pour moi, mais je peux aimer. Croit-moi, je suis bien plus que ce que je ne laisse paraître. Parce que dans le fond, j'ai peur que l'on me détruise. Que quelqu'un vienne ruiner la carapace d'acier qui m'a protégé durant ces longues années. J'ai peur que tu sois la personne qui arrive à déstabiliser toutes mes barrières. C'est pour ça que quand Félix m'a demandé où j'en étais avec toi, j'ai menti. J'ai menti parce que même moi j'avais du mal à accepter cette réalité. Mais tu es ma réalité. Et je t'ai rencontré grâce ce jeu. Oui, ce jeu ne peux que me pousser à t'aimer, ou même voir l'inverse. Mais ce dont j'en suis sure, c'est que je ne m'en fou pas de toi. Je ne joue pas avec toi. Dû à mon silence, il me supplie d'une voix fragile. S'il te plait tu dois me croire.

Et vous? vous le croyez? Parce que moi non. Je ne rentrerais plus dans son jeu. Même s'il se mettrait à genoux devant moi en cet instant, je le tournerais le dos, et rentrerais dans ma voiture. Pour fuir. Fuir loin de lui et de sa belle gueule.

- Tes mensonges ne marchent pas aujourd'hui. Essaye peu-t-être demain. Dis-je sans même  le regarder, et en ouvrant la portière de ma voiture. Je l'entend fortement soupirer. Je m'en fou carrément. Parce que quand moi je pleurais, bah monsieur n'en avait rien a foutre et maintenant qu'il essaye de me ravoir et que ça ne marche pas, bah il n'est pas contente. Va voir quelqu'un d'autre salopard. J'attache ma ceinture quand je vois Florian assis sur le siège passager près de moi.

- Heu je peux savoir ce que tu fais? Je lui demande alors qu'il attache à son tour sa ceinture.

- Bah je monte. Ça ne se voit pas? Dit-il sèchement.

- C'est justement ça le problème. Tu ne devrais pas monter. Repris-je avec le même ton que lui.

- Calme toi, juste conduit.