3.3 - Second chapitre

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Nous voici donc dans le second chapitre de notre histoire. Ici, nous allons parler de ce qu'il faut faire, et ne pas faire, pour ce nouveau chapitre.

Je tiens également à vous dire que les choses que l'on écrit dans un livre sont aussi importantes que les choses que l'on n'écrit pas. En effet, si vous ne parlez pas de la vie amoureuse d'un personnage, on peut penser qu'elle est inexistante , et donc, que la personne est célibataire. Faites très attention à ce que vous ne dîtes pas dans vos textes.

Pour ce chapitre, je vais mettre un peu d'action, pour que je veux montrer une nouvelle facette de la personnalité du héros, et que je veux à nouveau le confronté au monde de la nuit de sa ville. Car, pour lui, je pense qu'on est d'accord, c'est sa ville. Je vous laisse donc lire la suite de l'histoire, puis la petite analyse qui la suit :

Il referme doucement la porte de la chambre d'Émilie, puis il retourne dans la sienne. Il s'approche de son placard, en sort des sous-vêtements propres, un jogging et un tee-shirt moulants, et noirs. Ensuite, il dépose ses affaires sur une chaise, dans sa salle de bain, pour entrer dans sa douche. Il allume l'eau, la bascule en bouillante, puis se lave doucement, en réfléchissant à ce qu'il venait de se passer, ce soir. Il n'arrive pas à savoir pourquoi il avait fait ça. Non, mais sérieux : il avait emmené une illustre inconnue chez lui, dans le seul endroit où il se sentait bien.. Mais il se dit qu'il a bien fait de le faire : si il n'était pas intervenu, elle se serait sûrement fait tuée, dans une ruelle sombre, et personne n'en aurait jamais rien su. Il pousse un soupire, termine de se laver, puis sort de la douche. Il est tard, mais, une fois qu'il a enfiler ses affaires propres, il part manger un bout, pour ensuite sortir de l'appartement (en fermant à clé derrière lui), pour aller vers un autre appartement, dans la barre d'immeuble. Émilie n'est pas encore au courant, mais tout les appartements (et donc l'immeuble entier) sont à lui. Il les a eu par son père, quand celui-ci était encore en vie. Depuis, son père est mort, il a récupéré l'immeuble, ainsi qu'un héritage assez conséquent. Mais bref : il rentre dans l'appartement, sans allumer la lumière, traverse une vaste salle, et entre dans l'une des nombreuses voitures présentes. Il s'agit d'une petite citadine cabossée, et rouillée. Il la démarre on ne sait pas comment, puis il appuie sur un bouton, et un pan de mur se baisse, pour se poser sur le sol. C'est un système qu'il a créer, quand il a comprit qu'il devrait faire autre chose de sa vie que de devenir un simple électricien. Il avait mit au moins cinq ou six jours à la construire. Il avait appelé des ouvriers du sud de la France, puis il avait utilisé un faux nom, pour ne pas qu'on remonte jusqu'à lui. Du coup, personne, dans les cinq-cent kilomètres à la ronde, n'était au courant de ce petit "passage secret" à travers un mur. Mais passons à la suite : il passe l'espèce de pont-levis (qui se relève quelques secondes plus tard), puis s'engage sur une petite route, qui le conduit vers l'extérieur de la ville. Ensuite, il revient en ville, mais par une route différente, pour ne pas qu'on voit d'où il vient. Il roule aux vitesses réglementaires, pour ne pas être remarqué par la police, puis il se stoppe dans une petite ruelle, près de l'endroit où Émilie s'est faite agressée. Il descend de voiture, toujours avec la cagoule sur la tête, et part vers un escalier de secours, qui mène au sommet d'un toit. De là, il regarde sa ville. Et le quartier du Lac Noir.

Il attendait depuis deux bonnes heures, quand de l'action se profila à l'horizon : en effet, un groupe cinq hommes décidèrent qu'il était très intelligent de s'en prendre à une femme d'une quarantaine d'années, qui était accompagnée par son fils de dix ans. Ni une ni deux, Dark se retrouve au sol, et s'approche doucement de l'attroupement. Le petit garçon est entrain de pleurer, et la mère, de hurlée. Il s'approche le plus silencieusement possible, et donne un coup de bien à l'arrière du genou de l'agresseur le plus proche. Celui-ci met un genou par terre en grognant, et Dark en profite pour lui donne un joli coup de pied dan la tempe : l'homme s'effondre, inconscient. Les autres n'ont rien entendu, occupés à insulter la femme, et à frapper le pauvre garçonnet. Alors, notre héros continue son petit ménage, et prend une planche, posée contre un mur de la rue, pour frapper un second gars, qui tombe à terre, et qui tente de se redressé. Dans la même optique qu'il y a quelques secondes, il lui envoie son pied dans la tronche, et se retourne, pour s'occuper des trois autres, qui commencent enfin à remarquer que leur nombre diminue assez rapidement. Deux se rapproche, pendant que le troisième continue de battre la femme, le garçon étant dans les pommes :

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