Nous voici, enfin, dans le quatrième chapitre. Ici, nous quittons la zone de création de l'univers de notre texte, pour continuer les intrigues nouvellement créées. C'est simple : nous partons maintenant sur de l'action, pour que l'histoire avance.
Nous pouvons faire évoluer notre histoire dans tout les sens que vous désirez, mais je vais prendre de l'action pur, pour faire avancer notre histoire, ainsi que l'intrigue principale. Je ne vais pas continuer l'intrigue secondaire sur le fait que Émilie se soit fait virée de chez elle. Ça sera plus simple, pour moi. Mais bref : c'est partit !Il se réveille à nouveau, et pousse un grognement de douleur : heureusement qu'on était le week-end, et que demain, ce n'est que lundi, sinon, il aurait eu un problème avec le lycée. Il pousse un soupir, se redresse, et tente de se lever. Sa première tentative est un échec cuisant, et il s'effondre sur la table basse, qui craque sous le choc. Bien entendu, le bruit réveille la jeune-femme, qui sort en trombe de sa chambre, et qui l'aide à se remettre sur le canapé :
-Tu crois vraiment que je m'amuse à te soigner, pour que tu te re-blaisse à peine rétablit ? Réfléchis, et reste assis trente secondes : tu ne peux rien faire, pour le moment, et il est tard. Demain, je vais retourner en cours, pour que personne n'est le moindre soupçon. Je sais que tu veux que je reste en permanence ici, mais ça ne va pas être possible. On va devoir être discret, et réfléchir à tout ce qu'il peut se passer, maintenant. À cause de la petite course-poursuite en voiture, avec des banlieusards, il va falloir que tu sois nettement plus prudent. Je sais que c'est plus facile à dire qu'à faire, mais je suis meilleure en gestion qu'en attaques, et tout le reste. Alors, on va monter un plan. On devra s'y tenir, pour que personne ne nous soupçonne de rien.
-Je vois que tu à un grand sens pratique, et j'adore ça. Je tiens a m'excuser de t'avoir mise en danger, avec mes sorties nocturnes. Je n'aurai pas du sortir, cette nuit, pour rester avec toi. Pareil pour aujourd'hui.
-Disons qu'il ne faut pas que tu sorte le jour : tu es trop visible. Contentes toi de rester discret, la nuit, et d'être un étudiant normal, le jour. Ca ne sera déjà pas du luxe. Le reste, on verra plus tard, oki ?
-Oui, il n'y a pas de problème. On fait quoi, du coup, pour demain matin ?
-Je prend les clés, et je rentre ici ce soir, après les cours, si ça ne te dérange pas. Comme ça, je pourrai reverifier tes pansement. Toi, pendant ce temps-là, tu peux aller voir sur internet, pour trouver des informations sur le policier pédophile. À mon avis, il s'agit plus d'un réseau que d'un acte isolé. Et on pourrait avoir des surprises. Mais je ferai aussi une partie du boulot, au bahut : je vais vérifier si tes actes sont arrivés aux oreilles des lycéens. Ca nous donnera peut être des idées pour la suite.
Il a l'air agréablement surpris :
-Je... J'ai bien fait de te prendre avec moi. Tu à de supers bonnes idées. On va faire comme ça, pour le moment. Si jamais c'est trop dangereux, on laisse tomber, et tu reviens ici, le temps que je me remette de ma raclée, pour repartir de suite au combat.
-D'accord.
-Allez, files, avant que je ne change d'avis.
Elle éclate de rire, mais ne se fait pas priée, pour prendre son sac poubelle, en sortir quelques affaires, prendre un sac à dos dans la chambre de Dark, puis elle part à nouveau dans sa chambre, pour finir de préparer son sac, et aussi pour finir sa nuit.
Dark en profite pour se remettre au fond du canapé, puis pour s'allonger, et s'endormir.***
Quand il se réveille, il est dix heures du matin. La douleur à nettement diminuée, et il remarque qu'Émilie à changer ses pansements, avant de sortir. Il y a un petit mot, sur la table, à côté d'un petit paquet de médicaments : "je suis partie en cours. Si tu à mal, prends un médoc de chaque.". Il sourit, repose le mot, se lève sans trop de difficultés, puis part vers sa cuisine, pour se faire un petit truc à manger, mais il n'a pas besoin, en fin de compte : une casserole était posée sur la gaziniere, dans laquelle il trouva de la soupe. Il se sortit une cuillère, et un bol, pour boire tranquillement sa soupe devant la télévision. Ensuite, il va sur l'ordinateur de bureau, qu'il a installé sur la télé, pour faire des recherches sur l'homme qui était une erreur de la nature. Il fait des recherches toute la journée, jusqu'à ce que la porte d'entrée s'ouvre en douceur.
***
Elle avait passer une journée longue et affreuse, en s'ennuyant à mourrir. Elle rêvait d'être le soir même, pour pouvoir connaître les résultats des recherches de Dark. Elle avait envie de savoir qui l'avait attaqué, et qui s'en prenait aux petites filles, et aussi savoir ce qu'ils devraient faire pour s'en sortir. Et pour botter le cul de ce connard, franchement dégueulasse.
Pendant ce temps-là, elle s'était occupée à tenter de trouver des informations sur le DarkStreeter. Apparemment, quelques personnes sont au courant de son existence, mais pas trop. La rumeur ne s'est pas encore assez répandue, et, malheureusement pour elle, elle ne pouvait rien dire aux autres, de peur de se faire remarquer. Alors, elle se contentait de hocher la tête, quand on lui disait qu'on ne connaissait rien à cet homme.
Elle rentre donc un peu dépitée à l'appartement, et elle se jette sur le canapé, pour pouvoir enfin se reposer mentalement. Au bout d'une dizaine de minutes, elle regarde Dark, qui s'est assit sur un bout du canapé. Elle soupire, se redresse, et lui lance :
-Personne, ou presque, ne connait ton histoire. Et je n'ai rien pu dire à personne, car ils auraient pu deviner que je connaissais ton histoire. Alors, je me suis contentée d'écouter... J'espère que tu à eu un peu plus de chance que moi...
Il s'approche d'elle en douceur, et dépose un baiser sur son front, ce qui la calme tout de suite :
-Je tenais d'abord à te remerciée pour tout ce que tu à fait pour moi, et également m'excuser pour tout ce que je t'ai fait subir. Et, oui, j'ai eu un peu plus de chance que toi : je connais le nom de l'homme a abattre, vulgairement, et je sais aussi qu'il est question d'un traffic d'êtres humains. Alors, on a beaucoup de pain sur la planche, pour le faire tomber. Je crois que tu es la tête de notre équipe, et que je suis les muscles, en quelques sortes. Mais il va falloir que je te fasse faire des exercices, pour que tu puisses te défendre, quand je ne suis pas la.
-Ok. Mais, pour le moment, j'aimerai connaitre le nom de cet homme, pour mettre un visage sur la menace...
-Et c'est là que nos avis divergent : je ne te donnerai pas le nom de cet homme, pour ne pas te mettre en danger inutilement. Je m'dn m'occuperai seul, le moment venu. (Elle commence a vouloir lui couper la parole, mais il la bloque avant qu'elle ne prononce un mot :) je sais ce que tu va me dire : "nous sommes une équipe, maintenant, et comment veux-tu que je sois utile à quoi que ce soit, si je n'ai même pas la moindre info d'importance en main ?". Tu es une fille formidable, Émilie. Je le sais, et je pense que tu le sais. Et je commence à te connaître, même si on ne se connait que depuis trois jours et deux nuits. Mais... Je fais ça pour ton bien. Tu es le cerveau de la bande, que je dois protéger à tout prix. Et c'est pour cela que je ne te dirai jamais qui est le " grand-mechant loup". Je ne te donnerai que ses sbires, à traqués, et à dénicher. Pour le reste, la forcé brute fera l'affaire. Et personne ne pensera ne serait-ce qu'une seule seconde que tu m'aide. D'une certaine façon : vive la misogynie.
Elle soupire de frustration, mais elle est touchée : il lui a parlé avec le coeur, en lui expliquant tout ce qu'il attend d'elle, et ce qu'il ne veut pas qu'il lui arrive. Elle lui en veut un peu, de l'avoir traitee de cerveau, mais c'est vrai qu'elle est plus intelligente que la moyenne. Alors, elle ne lui en veut pas plus de dix secondes, et elle lui tend la main :
-Marché conclu ?
-Marché conclu.
Ils se serrent la main, puis eclatent de rire : la situation est assez comique, en effet...Analyse :
Je confirme : il n'y a pas vraiment eu "d'action pur", dans ce chapitre. Du moins, pas dans le sens où vous le pensez. En effet, cette action à été surtout passer sous silence, et juste sous-entendu. On a eu le droit à un compte rendu de la journée des deux persos, ce qui nous permet de voir nettement avancer l'histoire principale. C'était le but que je recherchai.
Dans le prochain chapitre, la traque commencera, et, avec elle, de la vraie action ;)
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Comment écrire une histoire ?
Non-FictionDans ce texte un peu spécial, je vais vous aider à écrire votre propre texte. De a à z. Des personnages, au grand final, en passant par les décors, et les différents types de scènes/décors. Je vais écrire une histoire à l'intérieur de ce "manuel", p...