Sublime créature
Point de vue externeHarry n'était pas d'humeur. Sa journée avait été horrible. Il s'était réveillé du pied gauche, avait reçu une tonne de dossiers à rédiger et pour finir, Alice, sa copine, lui avait fait une énorme crise de jalousie, l'obligeant à quitter le travail plus tôt pour la ramener dans sa demeure et la calmer. Elle avait découvert que le garçon avait eu une relation avec Jessie, sa meilleure amie à une époque qui pourtant remontait à bien avant que qu'ils soient ensemble.
Il était donc rentré avec elle avec l'idée de bien la baiser pour qu'elle oublie partiellement cette histoire mais quand il avait pénétré dans sa salle de bain, il était tombée sur une fille, complètement nue. Il avait contemplé son jolie cul galbé alors qu'elle était dos à lui et lorsqu'elle s'était retourné après qu'il l'ait sauvagement questionné, il ne s'était pas gêné pour la mater ouvertement, surtout quand il avait constaté que le fait qu'elle soit à poil devant un étranger ne semblait guère l'embarrasser plus que ça.
Elle n'était pas assez grande à son gout mais avait une jolie silhouette. Des seins bien ronds qui ne demandaient qu'à être pressé avec des pointes toutes aussi insolentes. Sa peau intacte donnait envie d'en mordre chaque parcelle et son corps semblait fragile. Elle était vraiment petite comparé à toutes les filles qu'il avait mis dans son lit et quand leurs regards se croisèrent, pendant une nanoseconde, il crut avoir, devant lui, l'innocence incarnée. Tout s'y retrouvait dans ses yeux verts-marrons, ses traits raffinés, son petit nez, sa bouche rosé et tentatrice, son visage au teint de porcelaine entouré d'une épaisse crinière brune légèrement ondulé s'arrêtant au dessus de ses épaules.
Et puis, elle ouvrit la bouche et il se sentit bête d'avoir pensé que cette chose pouvait être innocente ou même fragile.
- Je prenais une douche, ça se voit pas, Einstein ? Cracha-t-elle en le narguant.
Elle se retourna et fouilla dans l'armoire cherchant surement une serviette. Le bouclé aurait probablement ri dans d'autres circonstances mais pas maintenant, pas quand Alice, sa petite amie totalement rongé par la jalousie se trouvait en bas dans le salon, l'attendant impatiemment.
Son regard se posa sur le sol, jonché de vêtements qui ne lui appartenaient pas. C'était un uniforme de domestique. Qu'est ce que ça voulait dire ? Il ne m'interrogea pas en profondeur, préférant passer à l'action avant qu'il ne soit trop tard. Il regagna sa chambre, alla chercher une serviette propre dans son armoire et revint avec. Il n'eut pas le temps de poser un pied dans la salle de bain que la jeune fille lui arracha le linge des mains sans le remercier. Sans scrupules, pensa-t-il, légèrement contrarié.
Il s'apprêta à jurer quand le bruit de pas approchant le stoppa.
- Harry ? Entendit-il depuis le couloir.
C'était Alice. Elle était montée, sûrement pour savoir ce que qu'il fabriquait. Il réagit automatiquement et ferma brusquement la porte de la salle de bain avant de la verrouiller.
- C'est qu-..
Le bouclé plaqua la jeune fille contre la porte séparant la salle de bain de sa chambre et posa sa main sur sa bouche pour la faire taire.
- Tais-toi.
Elle fronça fortement les sourcils et se mit à gigoter contre lui. Il n'avait même pas remarqué que qu'ils étaient pressés l'un contre l'autre et qu'elle n'avait pas eu le temps d'enrouler la serviette autour de son petit corps.
- Arrêtez de bouger, lui ordonna-t-il, sec.
Elle n'obéit pas et recommença de plus belle, voulant à tout prix se dégager. La friction de son corps nue contre le sien lui arracha involontairement un grognement de plaisir et il baissa instantanément les yeux vers le bas. Sa poitrine écrasait la sienne et il ne fut pas étonné quand sa main qui n'était pas appuyé contre ses lèvres, comprima un de ses seins. Juste pour toucher.
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MR STYLES {Mature}
FanfictionScarlett Evans n'était pas du genre à mâcher ses mots. Elle n'était pas une fille innocente et timide. Trois mots régissaient son monde : drogues, sexe et alcool. Elle était née dedans et elle savait qu'elle mourrait dedans. Elle pensait que personn...