Chapitre 11

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Lorsque l'on arrive à la maison, Léo me jette sans ménagement sur le canapé. Je proteste contre le traitement qu'il m'a infliger, il sourit de toutes ses dents et commence à me chatouiller. Je me tord sur le canapé en riant à gorge déployé! Je n'arrive pas à m'arrêter, je n'en peux plus.
«-Pitié! Je ferais tous ce que tu veux, mais par pitié, arrête! Je t'en supplie!
-Si tu veux que j'arrête, répété après moi: Oh! grand dieu, roi de l'olympe je t'en supplie, épargne moi ce supplice insoutenable!
-D'accord, Oh grand dieu et roi des sous merde de l'Olympe, je ne te supplie pas mais épargne moi ce supplice tout a fait soutenable.
- Je suis pas d'accord avec ce que tu viens de dire, recommence!»
Sur ce, il recommence a me chatouiller, au bout d'environs dix seconde à me tordre de rire, je déclare:
«-Ok, ok, je capitule: Oh! grand dieu, roi de l'olympe je t'en supplie, épargne moi ce supplice insoutenable! Voilà t'es content?
- Mouaie, je suis satisfait!»
Il me libère de son emprise de fer et recule. Me laissant me relevé et reprendre mon souffle. Alors que je peine à reprendre mon souffle, je m'aperçois que toute la meute est arrivée est se moque de moi. Je grommele et monte dans ma chambre pour me changer, le problème c'est que je ne sais pas où elle est, je regarde alisée, qui par miracle comprend mon problème et fait comme si elle me faisait un câlin avant de monter avec moi, et de me montrer ma nouvelle chambre. Ma nouvelle chambre est toute blanche, avec un bureau et un lit deux place. Mon sac à dos que j'ai amené a été monté. Je l'ouvre est en sort un tee-shirt simple noir et un pantalon slim noir, et oui, j'aime le noir. Je rentre dans la salle de bain que j'ai repéré ce matin, je me déshabille et me prend une douche brûlante. Après avoir pris ma douche, je m'habille vire fait et sors, je rentre dans par chambre et y dépose mes affaire, ensuite je descend les escalier, enfile mes basket et sort de la maison de la meute. Bizarrement, le grand rocher plat m'attire, donc je me dirige vers lui. Lorsque j'arrive devant lui, un calme que je ne connaissait pas m'envahi, je grimpe et l'allonge de tous mon long. La porte "sauvage" s'ouvre, moins brusquement que les deux dernière fois, mes os se brisent et se déplace, je gémis, mes yeux me brulent, ma peau et mees vêtements se déchirent, et laisse place à une fourrure épaisse et douce, je me redressse sur mes quatre pattes et m'étire de tous mon long. Je me roule en boule sur la pierre réchauffé par le soleil, pose ma queue sur mon museau de manière à le protéger du froid, et m'endort bercé par les multiple bruits de la forêt.
Je me redresse, mes pattes grattes le sol fait d'épaisses épines, je regarde autour de moi, il n'y a rien qui attire mon attention, je commence à marcher vers une direction qui m'est inconnu. Je marche, un sentiment de sécurité s'installe petit à petit en moi, je m'arrête devant un grand loup blanc comme la neige à côté d'un autre loup, noir comme le jais. Je les salut en pliant une de mes pattes avant et en tendant l'autre devant moi. Puis tout se dissipe, et c'est dans un noir total que j'avance en regardant au loin quelque chose que moi seule peux voir.
Je me réveille lentement, j'ouvre un œil et le referme vivement, je grogne, mon pelage ondule doucement sous la petite brise qui m'a réveillé, il fait encore nuit, il doit être aux environ de minuit. J'ouvre les yeux, me redresse et m'étire lonnguement, du bout de la que jusqu'au museau. Autour de moi, tous les arbres, toutes les pierre, la terre, est teinté d'un jaune orangé, je secoue la tête pour avoir une vision normal, et comprend que c'est ma vision sous ma forme de tigre garou. Je saute souplement de la pierre au sol et trottine vers la maison de la meute, il faut vraiment que je rentre dans mon crâne que maintenant, c'est aussi ma maison. J'arrive devant la maison et commence à gratter la porte avec mes griffes laissant de profonde trace. Lorsque je me rend compte que je suis entrain de mettre la porte en charpie, je m'arrête et emploi une autre manière, je commence à taper avec mon épaule la porte, de plus en plus fort de manière a ce que quelqu'un se réveillent et m'ouvre. Lorsque j'entends enfin quelqu'un s'approcher de la porte, je m'arrête et attend que cette personne m'ouvre. La porte s'ouvre sur Lee, je secoue la queue de droite à gauche et grogne un peu pour qu'elle se décale, je rentre dans la maison et grimpe au premier étage, je me poste devant la porte de ma chambre et attend avec impatience que Lee monte les escaliers et m'ouvre à une lenteur d'escargot, elle arrive enfin en haut, ouvre ma porte, et me laisse entrer, elle referme la porte derrière moi et me murmure un bonne nuit quasiment inaudible. Je saute sur mon lit, me roule en boule essaye de m'endormir, je finis par m'endormir au bout d'une dizaine de minute, cette fois ci, aucun rêve ou cauchemar ne vient troubler mon sommeil tranquille. Au matin, je me réveille encore sous forme de tigre, je me concentre pour me retransformer, je me transforme et m'habille rapidement. Je descend et rejoins dans la cuisine Lee, Léo, Tristan, Max et Alisée à la table de la cuisine. Ils discutent tranquillement, je les interromps dans leur débat comme quoi, c'est mieux ou pas d'être un garou.
«-Hey!
-Hey Elly!»
Répondent-ils en coeur.
« Hier t'aurais pu éviter de mettre la porte en morceau, faudra qu'on la remplace.» me sermone un peu Léo avant de sourire. Ils se serrent un peu pour me faire de la place et reprennent leur débat, je m'y joins avec enthousiasme, opposant mon point de vue au leur. On finit de déjeuner et on décident de faire un petit footing, on monte tous se changer. Quinze minutes plus tard, nous sommes tous en bas, prêt a courir. On commence vite, entrainer par un désir de chasser en meute, on se bouscule en riant, on se jette les un sur les autres, on finit notre footing, transformé en garou, un sourire carnassier au babines. On monte se changer mais on se retrouve tous coincé devant nos porte fermé. On essaie de forcé nos porte mais on n'y arrive pas, je finis pas sortir les griffes et taille le bois autours de la serrure. Ma porte cède enfin, je la coince en mettant mon sac devant. Je me change et ouvre la porte des autres.
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Hey les petit panda, ce chapitre ne me plait pas trop, mais bon, j'espère qu'il vous à plu ! Voter et commenter, ça fait toujours plaisir.
Lou.

Être Un TigreOù les histoires vivent. Découvrez maintenant