Go Away - Jack Gilinsky

-28- Une grosse crise

Je m'éloigne pour répondre.

Théo - Enfin, tu réponds, je voulais tellement te parler.
El - Arrête de m'appeler.
Théo - Non El, je ne peux pas te laisser, pas une deuxième fois.
El - C'est trop tard, Théo, tu étais mon premier amour, je t'ai aimé comme ce n'est pas permis, mais c'est terminé maintenant.
Théo - Tu te voile la face, on ne peut pas vivre l'un sans l'autre.
El - Ça a été dur, mais je t'ai oublié, j'aime un autre maintenant.

Il ne répond rien.

El - Je suis désolé Théo.

Il raccroche, il me fait de la peine, mais il m'a tellement blessé, je rejoins Jack.

El - C'est bon, il n'appellera plus.

Il commence a marché sans moi et je le suis, super, il est énervé.
Il se dirige vers un magasin de basket.
Nous rentrons les deux, je me dirige vers le côté femme et Jack vers le côté homme.
Je repère vite une paire assez jolie, je la prends en main et je me retourne pour demander son avis à Jack, mais il est trop occupé a rire avec les deux vendeuses qui l'entourent, sérieusement qui a besoin de deux vendeuses

Ça m'énerve.

Je me dirige vers les vendeuse et les attrapes les deux par le bras et les pousse avec un sourire hypocrite.

El - Excusez moi, vous avez besoin d'aide ?

Elles se regardent, l'air de dire, c'est qui cette folle ?

Jack - El -durement-
El - Il n'y a pas d'El qui tienne Jack, tu veux que je t'aide a rire avec ces poufs.
Jack - Tu ne les connais pas, ne les insulte pas.
El - Ah d'accord, tu les défends, très bien.

Je balance la chaussure que j'avais dans la main sur une des deux vendeuses et sors du magasin.
Jack ne comprend pas, il ne sait pas que je vois comment les autres filles le regardes, il ne se rend pas compte a quel point j'ai peur qu'il aille voir ailleurs, nous sommes ensemble depuis a peine une journée mais je l'aime depuis des mois et j'ai trop galérer a l'avoir pour le laisser.
Sois, il est a moi et personne d'autre, sois, il est a tout le monde sauf moi.
Tout simplement.
Je rejoins Charlie et Cameron qui sont en train de manger des gaufres.

Charlie - Ou est passé Jack.
El - Avec les deux salopes du magasin de basket.
Charlie - Ne me dit pas que tu lui as fait une crise.
El - Il m'en a bien fait une pour le vendeur de sous-vêtement.
Charlie - El tu viens d'insulter ces cousines.

Oh merde.

El - Quoi ?

Cameron explose de rire, alors que moi, je suis à la limite du coma.

El - J'ai merdé là.
Charlie - Mais non, Jack aime bien les filles jalouse.
El - Ces cousines Charlie, je n'ai pas assuré .

Elle rit.

Charlie - C'est sur, tu vas passer un mauvais quart d'heure, un conseil enfuit toi vite.

Je prends mes sacs en main.

Charlie - Je rigole El.
El - Pas moi, Bisou.

Je sors en courant de centre commercial.

Je prends un taxi.

El - Le centre de désintoxication de la ville s'il vous plait.

Le chauffeur démarre.

[...]

Une fois arrivé, je paye et lui laisse un petit pourboire.

Je rentre dans le centre, toujours accueillit par la vieille et effrayante Katherine.