VIII

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Le bonheur n'existe pas, la souffrance fait juste une pause.
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- Il se passe quoi ! S'écrie Zoé

Cassandre est effrayée, elle pleure si fort.

- Écoutez, nous allons tous partir d'ici pour ce soir et nous reviendrons demain. Nous dit calmement Paul

Nous mangeons dans un fast-food assez rapidement, à plusieurs reprises Harry se paralyse et deviens blanc effrayants chacun de nous sans exception, ce soir là nous dormons dans un hôtel.

**

Je me réveille la dernière, tous prennent leur petit-déjeuner dans le calme, je m'habille rapidement et vais les rejoindre.

- Comment allez vous ? Leur demandé-je

- Il faut tout arrêter et faire disparaître cette maudite planche.

- On ne peut pas Harry. Lui répond Zoé

- Comment ça ? S'interroge t-il

FlashBack
J'étais allée un week-end chez ma grand-mère. Tous se déroulait à merveille mais ce jeudi là au milieu de la nuit, des bruits provenant du salon m'avaient réveillée, cela m'intriguais beaucoup alors je suis descendue voir. Ma grand mère seule, jouant à ce jeu, les traits de son visage montrait qu'elle avait très peur, elle chuchotait des choses indéchiffrable.
Je suis remontée en pensant que ce n'était juste qu'un mauvais rêve.
Fin du FlashBack

Je sais à présent qu'elle est décédée de ces invocations et peut être même de celle que j'ai pu apercevoir un court instant cette nuit là.

- Il faut la brûler, retournons chez Zoé. Conclue Harry

Arrivés à celle-ci tout paraît très calme, Paul ouvre la porte et nous entrons.

- Putain c'est quoi ce bordel.

Les cadres qui étaient accrochés aux murs sont étalés sur le sol et certains sont brisés, des chaises sont également renversés ainsi que le canapé.

- Dépêchez vous, cherchez la planche. Leur exigé-je

Nous nous mettons tout à fouiller chaque recoin de la maison.

- Trouvée ! S'exclame Paul

- Prend là, on va dans le jardin. Lui répond Zoé en se dirigeant vers la porte menant à l'extérieur

- On devraient pas rejouer une dernière fois ?

- Elle a raison, il faut savoir ce qu'il nous veut. Nous dit Harry

Paul allume plusieurs bougies, nous nous installons sur le sol en cercle et l'invoquons.

Il répond trop rapidement à mon goût.

- Que nous veux-tu ?

"Rien de mal"

- Va te trouver un autre cobaye à effrayer, nous on ne joue plus avec toi. Achève Cassandre

Paul la brûle.

- C'est fini enfin ! S'exclame Zoé un peu trop joyeuse à mon goût

- Ne parle pas trop vite.

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OUIJAOù les histoires vivent. Découvrez maintenant