⁜Chapitre 16⁜

348 37 3
                                    

Je sors discrètement du clan avec un sac en mes mains. Je me dirige tranquillement au village et j'aperçois des gardes qui font des tours de surveillance. Super, ça va un peu compliquer la tâche quand je vais distribuer le butin.

Je vais dans le quartier nord et je m'arrête un instant pour la contempler entrain de coudre, seule dans sa chambre qui est éclairer par une veille bougie. Elle est si belle. Je frappe à sa fenêtre et elle vient m'ouvrir avec un grand sourire aux lèvres. Je m'introduis chez elle par la fenêtre et mes yeux ne peuvent la quitter des yeux.

-Vous êtes enfin revenu. Me dit-elle en débordant de joie.

-Oui, mais je dois faire vite, j'ai une faveur a vous demandez. Dis-je en essayant de faire une voix d'homme.

-Tous ce que vous désirez Monsieur Robin des bois. Me dit-elle

-Ah avant que j'oublie, tenez. Dis-je en lui tenant un sac rempli d'or.

-Vous n'êtes pas obligé, vous savez dans quelques jours, je deviendrai l'épouse du prince et ma famille sera grassement remercier- M'explique-t-elle avec ton attristé.

-Malheureusement, je suis au courant de votre mariage, mais je peux l'annuler. Dis-je avec une voix d'homme

-Sérieusement ? mais comment vous allez vous y prendre ? Demande-t-elle.

-Pouvez-vous me montrer le bas de votre dos ? Demandais-je

-Et puis-je vous demandez pourquoi ?

-c'est un peu fou, mais je pense que vous êtes la princesse Marianne. Dis-je avec une voix normale et les yeux remplit de larme.

Ça ne peut être que elle.

-Bien, mais je peu déjà vous dire que je ne viens pas d'une famille noble. M'explique-t-elle avant de déposer le sac sur sa commode.

Elle me regarda un dernière fois avant de se retourner. Comme si elle voulait me défier.

-Pouvez-vous me desserrer mon corset ? Me demande-t-elle d'une vois mélodieuse.

Je hoche la tête et me rapproche d'elle. J'ai l'impression que mon cœur va sortir de ma cache thoracique. Elle prend en main ses long cheveux blonde. Et je commence à l'enlever délicatement. Je ne peux m'empêcher de frôler avec ma main ses dos a présent nu.

Il faut que je me reprenne, je ne peux lui faire ceci. Elle pense que je suis un homme. Elle sera surement déçue en voyant que je suis une femme.

-Pouvez-vous vous dénudé les épaules pour que votre robe descende. Dis-je en toussant pour reprendre mes esprits.

Elle enlève délicatement le tissue recouvrant son épaule droite. Cette femme est la sensualité incarner. Elle fit de même pour l'autre.

Elle glissa gentiment sa robe le long de son corps mais je pris vite mes esprits en remarquant une vilaine cicatrice là ou Marianne avait sa tâche de naissance. Cela veut dire que ce n'est pas elle.

Hypnotiser pas son corps, je commence à caresser sa cicatrice et des petits gémissement sortis de sa bouche.

-Comment ? comment vous avez fait pour avoir cette cicatrice. Demandais-je avec ma voix virile.

-Deux briquant m'ont brulé en chauffant une épée. M'explique-t-elle

Confus, par ce que je réalise que Anne-Lise va épouser le prince et je ne peux arrêter ce mariage. Je n'ai même pas remarque que la jeune femme s'était retournée pour me faire face.

J'admirais chaque coin de son corps, ses joues sont légèrement rosées qui la rend encore plus irrésistible.

-Monsieur Robin, j'ai une faveur à vous demander. Me dit-elle en tournant la tête pour éviter mon regard. Ses joues deviennent plus rouge qu'avant.

-Je vous demande de me déflorée. Me demande-t-elle droit dans les yeux.

Je sens mon sang faire un tour dans mon corps, mon cœur s'accélère.

Je meure d'envie de coucher avec elle, mais malheureusement, je suis une femme.

-Je...suis.... Essayais-je de dire

-Je vous en prie, je ne veux pas me marier avec le prince, je préfère être avec vous. M'explique-t-elle les larmes aux yeux.

-Je ne peux pas. Dis-je avec ma voix normale et en baissant la tête pour pas qu'elle voie mes larmes.

-Je ne suis pas celui que tu penses, je ne pourrais jamais de combler, je suis...suis...une. Dis-je en bégayant.

-Je ne vous demande pas de m'aimer, mon cœur est pris par quelqu'un d'autre. Dit-elle

Elle ne m'aime pas, elle n'aime pas Robin des bois, elle aime un autre. Je me demande qui est le chanceux don elle a donné son cœur.

-Cet homme à de la chance. Dis-je avant de me retourner vers la fenêtre.

-Je suis navré de ne pas pu vous avoir aider. Dit-elle en me serrant dans ses bras.

-Je dois y aller. Dis-je sur un ton sec.

Je sors et cours le plus vite possible pour rentrer chez moi et me bourré la gueule avec mes camarades.

----------------------------------------------------

Voilà pour ce chapitre, j'espère qui vous a plu.

BONNE LECTURE ! 😊

----------------------------------------------------

ET SI ROBIN DES BOIS ÉTAIT UNE FEMME ?Où les histoires vivent. Découvrez maintenant