ET SI ROBIN DES BOIS ÉTAIT UNE FEMME ?

⁜Chapitre 6⁜

Cela fait une semaine que je croupi dans le cachot royal. J'imagine que Petitjean doit être mort d'inquiétude. Et les villageois aussi, ça va faire une semaine que Robin des bois ne les a pas aider.

-Vous êtes libre. Me dit le garde en ouvrant la grille qui nous séparerait.

Je le regarde intriguer, c'est sûrement un piège.

-BON dépêchez-vous, je n'ai pas toute la journée. Vous pouvez remercier le prince Logan. Me dit-il avec un l'air agacé.

S'il vous le dîtes. Je me lève et sort de ma prison.

Le garde me raccompagne jusqu'à la sortie du palais et détachent mes chaines.

-Merci. Dis-je avant de m'enfuir en courant pour aller prévenir ce que j'ai appris pendant ma semaine d'enfermement.

La première chose que je fais quand j'arrive au camp, je me lave et nettoie mes vêtements dans lesquelles j'ai macérer pendant 1 semaine.

Après avoir fait ma lessive, je cours à la recherche de Petitjean.

-Enfin, je te trouve. Dis-je essouffler

-TOI ! Tu étais où pendant 1 semaine ? Demanda-t-il avec une pointe d'énervement.

-J'ai de nouveau tirer sur le prince Logan et on m'a enfermé pendant 1 semaine. Dis-je en reprenant mon souffle.

-QUOI ? ENCORE ? Bien...je ne veux plus que tu ailles chasser ou t'entrainer seule. Dit-il sur un ton ferme

-Mais, Petitjean. Suppliais.je

-IL N'Y A PAS DE MAIS. CRIE-T-IL

-D'accord. Dis-je un peu déçu.

-Mais sinon, j'ai appris que le roi veut déplacer ses impôt dans une tour non loin du clan. Dis-je

-Et que proposes-tu ? Me questionne-t-il

-Qu'on vole la totalité des impôts qu'ils vont transporter, ce soir. Dis-je avec enthousiasme.

-C'est du suicide, tu ne sais même pas à quelle heure ce fait le transfert. M'explique-t-il.

-Ah18 :30, il part du palais et normalement, il devrait arriver à 19 :20 à la tour. Dis-je fière de moi.

-Bien, mais cette fois, je t'assisterai. Dit-il

-Maintenant, tu dois aller au marché, et plus vite que ça jeune fille. Dit-il

-Oui chef. Dis-je en rigolant.

Je cours me changer et prendre mes affaires et direction le marché.

Je marche tranquillement dans la forêt quand j'entends des reniflements, Quelqu'un est entrain de pleurer.

Je me dirige vers le bruit des sanglots et je tombe sur le prince Logan.

-Logan. Dis-je en peu perplexe par ce que je vois.

-Oh Robine, je suis heureux de voir qu'on t'a fait sortir. Dit-il en se relevant et en séchant ses larmes.

-Mais pourquoi vous pleurez. Demandais-je

- Vous n'allez pas avec le dos de la cuillère vous, mais plus sérieusement. C'est bientôt l'anniversaire de ma cousine, enfin, ça aurait dû. M'explique-t-il.

-Vous parlez de Marianne ? Demandais-je

-Oui, elle était si douce, j'étais amoureux d'elle à l'époque.

Euh dégeu. Comment on peu aimer sa cousine.

-Je voulais vous remercier pour m'avoir fait sortir de prison. Dis-je en changeant de sujet.

-C'est normal, mais vu que je vous ai sauvé, j'aimerais que vous accepter de m'accompagner au bal des 18 ans de la princesse. Dit-il

-Moi un bal, je pense que vous devriez inviter une femme qui sait danser. Dis-je en lâchant un petit rire.

-Nan, c'est avec vous que je veux y aller. Dit-il en me prenant la main.

-Bien vu que j'ai une dette en vers vous, j'accepte d'être votre cavalière. Dis-je avant de me défaire de son emprise.

Je me dirige tranquillement au marché et je vois Madame De la Croix.

-Robine, tiens voilà ta commande. Me dit-elle en me donnant

-Merci, mais Anne-Lise n'est pas là aujourd'hui ? Demandais-je

Pourquoi cette fille m'obsède ?

-Nan, elle doit coudre les peaux que tu nous donne et elle ne sait pas attirer la clientèle. M'expliqua-t-elle.

Au contraire, j'aurais pu lui acheter tous ses légumes pour revoir son magnifique sourire.

Je tends les peaux à Madame De la Croix ainsi que l'argent

-Vous pouvez la saluer de ma part s'il vous plaît ? Demandais-je en peu gêner de ma demande.

-Oui bien sûr, je lui transmettrai vos salutations. Dit-elle avec méfiance

Je rentre au camp avec une grande déception, je suis heureuse de voir que Madame De la Croix va mieux mais j'aurais voulu revoir Anne encore une fois. Ses cheveux blonds de couleur d'or ont l'air si doux comme sa peau.

J'arrive au camp et je dépose la nourriture je me prépare pour ce soir et je ressors un vieux collier que j'avais sur moi le jour où j'ai rencontré Jean.

-Je le mettrais pour la fête. Dis-je avant le reposer.

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Voilà pour ce chapitre, j'espère qui vous a plu.

BONNE LECTURE ! 😊

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