La fille qui pleurait du sang

Chapitre 32 : va brûler en enfer !

Avant de commencer le chapitre, je tiens juste à préciser que ce nom est un petit hommage... Voilà, bisous !

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Je le regardais sans comprendre ce qu'il voulait dire mais je n'eus pas le temps de le questionner plus car il se retourna, fit un signe rapide au vieil homme et sortit de la salle en claquant la porte derrière lui. Le père de mon ami d'enfance ne ressemblait plus en rien à celui que j'avais connu, ses cheveux, qui étaient toujours impeccable lorsque je venais chez lui avec Clémence, étaient en bataille, ses yeux rougis par la fatigue et les larmes aussi peut-être, son visage creusé de rides plus ou moins profondes, et son corps tout entier traduisait une tristesse, une lassitude que je n'avais jamais vu auparavant chez cet homme. Malgré le fait qu'il ne me voulait clairement pas du bien, j'avais de la pitié pour lui. Cependant, je ne perdais pas de vue mon objectif : m'échapper. J'étais attachée à une barre de métal, impossible donc de brûler les liens comme je l'avais fait en présence de Clémence, et j'avais déjà repéré toutes les issues possibles pour m'enfuir. Mais toutes me paraissaient trop risquées. Je réfléchissais à toute vitesse, m'imaginant des plans tous plus risqués les uns que les autre. Soudain, la solution m'apparu comme une illumination. Elle était là, devant moi depuis tout ce temps. Je me mis à tousser, m'étouffant presque. Le vieil homme s'approcha de moi, paraissant inquiet pour sa "marchandise". Je continuai en espérant qu'il s'approche un peu plus. Je sentais ma tête me brûler et ma toux s'intensifia. Il voulu poser sa main sur mon front mais ne pu pas à cause de la chaleur trop grande qui s'en dégageait. Il recula, l'inquiétude se lisant sur son visage, et sortit en courant, chercher un médicament ou une solution. "Va brûler en enfer" pensais-je tandis que je cherchais une solution pour me détacher. J'entendis un léger "clic" dans mon dos et, avant d'avoir eu le temps de réagir, mes mains furent libres de leurs mouvements. Quelques secondes plus tard, je pus me lever. Mes chevilles et poignets douloureux, je me retournais et vis celui que je m'attendais le moins à voir dans cette situation : Nicolas. Avant que je n'ai le temps de prononcer le moindre mot, il me fit signe de me taire puis m'attrapa le bras. Une légère grimace de douleur apparut un instant sur son visage mais il se reprit et souriant, il me tira vers la porte. Je tentais de me calmer mais ma tête était trop douloureuse pour que j'arrive à me concentrer. Il sortit de sa poche une petite clé dorée, ouvrit la porte qui était restée déverrouillée et nous nous retrouvâmes dans un labyrinthe de couloirs. Il nous fît sortir en peu de temps, le connaissant visiblement par cœur. Dehors, il m'attira dans une petite ruelle dans laquelle il lâcha ma main et se tenant devant moi, me regardant dans les yeux, il semblait attendre mes questions en les redoutant un peu.

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Coucou ! Je suis enfin de retour !
Vous m'avez manqué !
J'aurais voulu faire un chapitre plus long mais j'y arrivais pas, désolée :/
Y a de fortes chances pour qu'il y a des fautes, je me suis pas trop relue et on est le matin, soyez indulgents ;-;

J'ai vu que j'ai 10k de lecture, vous êtes des fous ! Je vous aime très fort mais vous êtes des fous !
Pour cette occasion je vous propose... bah je sais pas en fait, proposez moi des trucs pour vous remercier en commentaire et je verrai ce qui est réalisable et cool à faire :)

Je vous aime tous de tout mon cœur mes petits malades d'amour !!!
Je vous fais une infinité de bisous et je m'attaque au prochain chapitre !