Dès qu'il a vu sa maman au salon il avait les larmes aux yeux il se retenait à faire le premier pas. J'ai vu que sa mama voulait le serrer dans ses bras mais walid était en retrait. J'ai donc mis ma main dans la sienne pour lui donner du courage puis j'ai chuchoté
Moi: hobi je sais que t'en es capable azi
Après m'avoir écouté il a avancé jusqu'à sa mama qui était assise sur le sadari, s'est mis à genoux et la serré dans ses bras de toutes ses forces. C'était vraiment magnifique j'avais les larmes aux yeux rien qu'à voir cette image devant moi. Fallait que je les laisse ensemble, ils avaient besoin d'être seul à deux, je suis donc sortie du salon en prenant la peine de prendre les enfants qui étaient avec Khalti.
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Dans la peau de walid :
Quand je suis rentré au salon et que j'ai vu la belle femme voilée qui était devant moi j'avais tout oublié, tout le mal qu'elle m'avait fait, je voulais juste la prendre dans mes bras et la serrer de toute mes forces mais y'a ma putain de fierté qui m'en empêcher. J'ai fais un pas en arrière mais quand j'ai senti la main de ma femme serrait la mienne et me disait d'y aller j'ai pas cherché à comprendre je suis allé vers elle et je l'ai serré dans mes bras de toutes mes forces. Ce manque qui me rongeait depuis maintenant 10 ans on peut dire, sa faisait une éternité que je l'avais pas dans mes bras et c'est ce qui m'a encore plus endurci.
Maman: je suis désolé mon fils je suis désolé sniff
J'ai attrapé son visage entre mes mains, j'ai essuyé ses larmes et je lui ai fais un bisou sur le front.
Moi: arrête de pleurer mama arrête
Maman: tu demandes pourquoi je t'ai jamais aimé n'est-ce pas?
Quand elle a dit sa je me suis reculé et j'ai baissé la tête.
Maman: je ne t'ai jamais détesté tu sais c'est juste que avec ton papa allah y Rahmo on voulait une fille comme premier bébé.
Moi: fallait avorter alors quand t'a su que j'étais un garçon
Maman: ne dis jamais sa c'est un cadeau D'ALLAH on ne peut qu' accepter en plus c'est hram d'avorter. J'étais obligée de faire avec. Moi je m'occupais de toi mais c'est vrai que je te donnais pas l'amour q'une mère donnait à son fils. Je te laissais toujours avec ton papa et finalement t'as préféré ton papa à moi où tu choisissais toujours ton papa et sa m'énerver mais c'est moi qui l'avait causé. Après on a eu Adil et moi c'était mon chouchou je le gatais je lui donnais tous l'amour que toi tu n'avais pas. Puis tu as grandit, tu es devenu un thug même si t'étais pas encore dans la bicrave après ton papa est décédé dans un accident et toi tu as survécu. J'ai mis la faute sur toi pour évacuer ma haine je me suis dis que si tu lui avais pas proposé de sortir il aurait pas fais l'accident...........
Elle a continué à expliquer jusqu'au jour où je l'ai appelé.
Moi: tu as mis la faute sur moi alors que ce n'était pas la mienne après tout c'était son heure à baba c'est allah qui a voulu le prendre. On naît humain mais un jour on mourra on n'est pas éternellement sur terre.
Maman: c'est vrai c'est après que j'ai regretté sa. Un jour je dormais j'ai rêvé de ton père qui me disait qu'il n'était pas heureux que s'il savait qu'il allait épouser une femme comme moi il allait pas me khtob. Ensuite j'arrêtais pas de faire des cauchemars la nuit. Je suis allée à la mosquée le muezzin m'a donner une liste à faire d' aumône. Si tu savais comment je regrette mon fils.
Moi: je t'ai pardonné maman depuis longtemps mais j'oublie pas
Après sa on a parlé de tout et de rien puis on est venu au sujet de kaëlysse.
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ils m'ont rejeté à cause de mon physique mais je suis revenue plus forte
Fiction généraleKaëlysse 18 ans d'origine marocaine brésilienne avec un physique qui laisse à désirer, 1m65 pour 90 kilos. Elle va vivre un calvaire. Elle se fera maltraiter,insulter, frapper à cause de son physique. Comme on dit toute souffrance a une fin. Tous v...