shawty ; sehun

chapitre vingt

Je déposai tous les sacs dans l'entrée en lâchant un lourd soupire. L'appartement était étrangement vide.

« Ils sont ou ? » demandais-je en regardant autours de moi.

« Chez pas. »

Il était bientôt 23h et il ne savait pas ou était les membres de son groupe ? Bah, je m'en fiche de toute façon. Je range deux ou trois trucs dans sa chambre et je m'en vais. Ce soir je dois sortir avec Jinah, bien que je sois complètement crever.

Je vais dans la cuisine pour me servir un verre d'eau, je fais comme chez moi parce que j'ai bien compris qu'ici c'était chacun pour sois. Une note traine sur le frigos, expliquant qu'ils sont sorties manger un morceaux et qu'ils rentreraient sûrement tards.

« Bon Sehun, je vais partir moi. » dis-je en posant mon verre dans l'évier.

Aucune réponse.

Je m'approche du canapé et le vois à moitié endormis sur l'accoudoir.

« Va dormir. » lui proposais-je.

« Je dois me demaquillé avant.. »

Oui parce que Mr.Oh a voulu aller dans Sephora, et c'est laisser faire quand une maquilleuse à testé sur sa peaux toute sorte de crème, de fond de teint, d'eyeliner, et j'en passe.

Il n'avait pas l'air frenchement emballé. Bon, j'aurais un poids sur la conscience si il s'endors sans se démaquiller et que demain il à des boutons.

Je vais dans la salle de bain et prend du coton avec du démaquillant, puis le rejoins sur le canapé.

Je ne sais pas vraiment comment me positionner pour lui retirer le maquillage. Je fini par m'assoir à ses côtés et lui retire ce qu'il a sur les yeux pendant que sa tête traine sur mon épaule.

Son souffle fait volé quelque mèches dans mon cou et j'ai profondément envie de rire.

J'ai presque fini quand sa tête glisse jusqu'à mes genoux. Je soupire puis reprend ma tâche.

Fini. Sont visage est complètement decouvert, et je dois avouer qu'il est mieu ainsi.

Ses traits sont moins dur, et on peux nettement voir les cernes et la fatigue.

Mais je le demande bien quelle fatigue, sachant que depuis que je suis ici ils ne font rien à part glander comme des ados en vacances d'été.

Je prend lentement sa tête et la dépose un peut plus loins, et en profite pour m'extirper.

Je sors doucement de l'appartement et touche mon cou. Rien. Aucuns souffles ne fait voler mes mèches dans mon cou.

Tant mieux, c'était agaçant.