chapitre 11 : la légende.

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Une légère brise souffler, le vent passer délicatement sur mon torse, alors que l'autre fouiller dans le camions, antonin regarder fixement cette immense bâtiment, faut dire qu'il est impressionnant...mais moi je suis préoccuper par mes amis, ils sont peut être morts, ou alors blesser et agonise allonger par terre avec deux balle dans le ventre, j'ai des neoud dans la ventre, je ne mettait encore jamais retrouver seuls depuis le début, je tourne les yeux...antonin me fixe...et il sourie ?

- Mec ça va ?

- Oui très bien

- Fermer vos gueules les gosse

Il nous a attraper par un bras chacun et nous a tiré vers les grilles, les papillon dans min ventre se sont mit a gigoter dans tout les sens, nous nous approchions de plus en plus de cette sort de camp improviser, il s'arrête devant deux camions garer face à face.

- Ouvrez moi bandes de con !

- Bonjour monsieur !

- Aller ouvre connard !

Un jeune homme environ 21 ans s'avance et entre dans le camion de droite, allume le moteur et recule d'un mètre.

- Passer !

- Ouai c'est bon !

Il nous tire a l'intérieure, mes pied se bloque je me mets a pousser le sols, comme pour reculer. L'homme s'arrête, et tire sur mon bras.

- Aller avance !

- Nan ! je veut pas !

Mon coeur s'emballe, putin que ce qu'il ce passe ? que ce que j'ai ? je suis effrayer à l'idée d'entrer, j'ai besoin de mes amis, j'y arriverais pas tout seuls, je souffle bruyamment, il tire toujours sur mon bras.

- Avance merde !

Il arrête et tire d'un coup, mes pied se détache du sol, je m'approche de lui et il me mets un gros coup de genoux dans le ventre, je tombe à genoux et tousse, mon ventre, j'ai mal. Arrête ça olivier, soit fort, je me relève et commence a marcher, l'autre sourie, et Antonín me regarde toujours avec ce regarde bizard, je m'en fous, je marche dos droit le regard haut, le bâtiment ce rapproche de plus en plus, j'entend quelques chose...de la musique ? c'est une boîte de nuit géant ? plus on s'avance plus j'entend les musique, c'est beaucoup trop fort on n'entend d'ici, je reconnait cette chanson mais je ne me rappelle plus du titre, il s'arrête devant la porte, il nous lâche et entre, je n'est pas le temps de voire ce qui y avait dedans, par contre il y a une plaque sur le mur « complexe sportifs du lycée... » l'autre partie est cassé la porte s'ouvre et deux colosse sorte, vêtue de vêtement de sport, je me sens petit alors imaginé pour Antonín, l'un d'entre eux attrape anthonin et le jette sur son épaule et l'autre lui mets un sac en papier sur la tête.

- Laisser le !

Oups...c'est moi qui a dit ça ?

- Que ce qui vent le maigrichon ?

- Euh...je fait 70 kg alors...

- Alors tes maigrichon !

Il s'approche beaucoup trop, alerte rouge, il est a quelques centimètre de moi, coups de genoux ?, aller coup de genoux, je relève le genoux d'un coup, je s'en quelques chose s'écraser sous mon genoux, beurk...il tombe a genoux, l'autre se tourne jette anthonin par terre, et se mets a me courir après.

- Anthonin au secours !

- J'arrive mais je suis coincé par terre, les main liée et avec un putin de sac sur la têt.

- Ok !

J'essaye de me rapproché et je passe très rapidement a coté d'anthonin en lui arrachant le sac de sur la tête, je continue a courir avec l'autre qui me suit.

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