chapitre 23 : dernière bataille !

24 5 0
                                    

De l'eau froide m'asperge, je me réveille d'un coup, je suis ligoter à une chaise en bois, deux homme se tienne devant moi, il sont grand et leurs corps est complétement peint en noir et blanc, je tourne la tête, la pièce est vide, il y a juste une porte en bois en face de moi.

- Qui êtes vous ?

- Ton pire cauchemar.

- Expliquez moi !

- Tu ferme ta gueule c'est nous qui posons les questions.

- Très bien aller y ?

- Où tu à eu toute c'est munitions et tout ces vivres ?

- Regarde dans ton cul.

L'homme s'approche.

- Joue pas au con avec moi.

Il me donne un grand coup de poing dans le ventre, je tousse.

- Ça pique hein ?

- Ouai ! pourquoi ton pote il parle pas ?

- Parce que mon cinglé de chef à trouvé qu'il en disait trop du coup.

L'autre s'approche et ouvre la bouche...il n'a pu de langue.

- Il lui à couper la langue ?

- Tes intelligent gamins.

- Pourquoi c'est maquillage ?

- Pour vous faire flipper.

- D'autres questions ?

- Oui ! pourquoi avoir tuer cette femme ?

- Elle souffrait et son fils était mort devant elle, j'ai trouver ça mieux pour elle, surtout vu le monde dans le quelle on vit maintenant.

- C'est poétique tout ça ! c'est nous qui avons tuer sont fils, qu'il était naïf ce gamins.

- Vous l'avez fait souffrir ?

- Oui !

- Pourquoi ?

- Parce que on est vôtre pire cauchemar...les cauchemar réelle ça fait mal du coup voila !

- Vous lui avait fait quoi ?

- On lui à fait boire de la javel...il faisait la gueule.

- Vous êtes horrible !

- Pire que ça !

- Où sont mes amis ?

- Le groupe de cinq ?

- Oui ! deux filles et trois garçon !

- Ah oui y'en à un qui va mourir ! tu veux voire ?

- Oui !

Il passe derrière moi et me détache, je me relève d'un coup et pousse l'homme, il s'écroule je cour vers la porte l'ouvre et sort, je suis dans le couloir, je traverse, j'attrape un morceaux de bois qui traîne par terre, je me cache derrière un casier qui était contre un murs, j'entend des pas, il passe à côté, je lui saute dessus et lui enfonce un morceaux de bois dans la gorge, je me retourne, un coup de poing je tombe, il me relève alors que l'autre est par terre entrain de ce vider de sont sang. Il me tire jusqu'à une porte, il l'ouvre et me fait entrer, je voie la fenêtre avec toute la famille devant et à travers Olivier attacher avec une scie circulaire qui avance vers lui, je donne un grand coup de pied dans le genoux du mec, je sente sont genoux se briser sous mon genoux, je cour sur la porte, je tire dessus de tout mes force donne des coup d'épaule tout ce que je peux mais rien n'y fait, la porte ne bouge pas, je regarde par la fenêtre et je voie la scie circulaire arracher le t-shirt d'olivier puis la peau et tout ce qu'il y à derrière, le sang gicle, ces boyau ce mélange au sang, ces hurlement me déchire les oreille, je gueule aussi fort que lui...ma voix disparait, je me redresse et me rends comptes que je ne peut plus rien faire, je recule effrayer, je recule sans regarder où je vais, je me cogne contre le murs et descend en glissant contre celui-ci. Je tombe sur le cul et je sens des larmes couler sur mes joue...des larmes de haine...de colère...de désespoir. Je me relève d'un coup, j'attrape l'homme qui tiens la télécommande et le jette contre le murs, il se tape la tête contre le murs et au sol. J'attrape les deux filles pour les aider à se relever, les deux mec mon suivie, nous sommes sortie dans le couloir et l'avons traverser toute au bout une porte ouvert donner sur la nuit, nous la traversons, c'est une passerelle en métal au dessus du vide, nous courons dessus, jusqu'au moment ou j'aperçois le vide, je stoppe tout le monde, la prochaine passerelle est à 2 ou 3 mètre largement franchissable en un saut.

The Wind !Où les histoires vivent. Découvrez maintenant