chapitre 9 : toujours plus loin !

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Je m'assoie a la table ou wilhem à mit un bordel monstre, il a étaler des cahier partout, y'a même un photo plier en deux sur la table...je suis trop curieux, j'attrape celle-ci et la déplie. C'est pas possible, c'est la même photo que c'elle dans ma poche. Je sorte la mienne et les pose l'une à coté de l'autre, c'est exactement les même, la mère, le père et l'enfant, d'ailleurs l'enfant c'est moi. Mais parent m'ont expliquer qu'il la poserais sur la tombe de mon frère pour le souvenir, je n'ai jamais connu la mort de mon frère dés que je commençais a en parler ma mère ce mettait à pleurer et mon père se mettait à gueuler. Je prend les deux photo et le mets dans ma poche, j'attrape le pistolet et enlevé le chargeur, et compte les balle, j'ai beaucoup de mal à les voire, la nuit est tomber et nous n'avons pas allumer de lumière, j'en ai compter 10.

- Aller les gars j'en veux deux dans l'immeuble et un avec moi ! on choppe les gens et on les ramené dans la camionnette, il en faut minimum un si on veut pas passer dans le bureaux du patron.

- Chef ! j'y vais avec vous !

- Très bien ! les deux allumer vos lampes et aller dans cette immeuble chopper les deux autre !

- Chef ! oui chef !

Des bruit de pas, je descend sous la table, le pistolet en main, prés a tiré. Les pas ce rapproche, deux jambes s'arrête devant ma table.

- Chef êtes vous sur qu'ils sont venu ici.

- Oui ils sont deux ici et deux dans la tour, peut être trois dans la tour.

Quoi ? y'a que moi ici, pourquoi on serait deux ? les pied ne bouge pas, il reste planter la devant la table pendant que son « chef fouille »

- Eh gamins va voire dans les toilets, et allume ton putin de laser, j'ai du aller dans le bureaux du patron pour avoir ces laser !

- Monsieur ?

- Oui ?

- Que ce que le patron vous fait quand vous louper quelque chose ?

- Ah ça gamins ! tes trop jeune pour accepter !

- Très bien monsieur !

Clique, un petit point rouge apparait au sols.

- Et soldat ! si jamais il essaye de vous faire du mal ! appuyer sur la détend !

- Oui chef !

Quoi ? il autorise c'est soldat a tuer ? tant pis pour mon coté humain, ils risquent de tuer wilhem et Amélie, je me relève d'un coup d'en dessous de la table je pointe le pistolets sur l'homme qui avait fait quelques pas, je ne voyait rien mis a part sont laser, et ca lampe accrocher a l'emplacement de son cœur. J'appuie sur la détend. Bang bang bang ! je relâche la détente, l'homme s'écroule, je me retourne, mais je me suis prit un coup de crosse, je tombe sur le cul, il attrape mon arme et la glisse dans son pantalon, ça lumière m'éblouie, il me tire par le bras et me retourne les bras dans le dos avant de m'attacher avec des menotte et de me tiré en dehors de la pièce, l'aire est plus frais mais les 25 degrés se font sentir, je ne marche même plus il me traine, bang ! quoi un sniper ? bang !

- putin mais que ce qu'ils foutent !

- Lâche moi connard !

- Oh toi tu la ferme ta buter un de mes soldat !

- Les deux autre aussi sont mort !

Il s'arrête me pose au pied d'un camion, je voit rien, mais j'entend un grincement de portière et il me soulève avant de me jeter, ma tète heurte le sols violament.

- Rassure moi tu va pas me tuer ?

Je bouge la tète mais je ne voit qu'un ombre assis par terre, le moteur démarre et le pneu crisse, quoi je suis dans un camions ? un lampe s'allume, je distingue a présent un coffre de camions militaire, des banc sur les coté, une grosse caisse fermer par un cadenas et... un garçon menotter au banc, il me regarde avec peur, deux grand yeux bleu, sur un visage plutôt pâle, quelques taches de rousseur, une coup en brosse pour ces cheveux noir, il porte un t-shirt blanchâtre crasseux et déchirer avec un short en jean lui aussi dans un piteuse état.

- Bonjour !

- Ne me fait pas de mal j'y suis pour rien !

- Pourquoi je te ferais du mal ?

- J'ai vu par la fenêtre tu à abattue le soldat avec trois balles !

- Je faisait que me défendre !

- Ouai mais je te préviens je suis inoffensif ne te défend pas sur moi !

- Tes ici depuis longtemps ?

- Nan ! j'ai entendue des coups de feu du coup je me suis diriger vers eux mais un camions est passer a coté j'ai fait signe pour qu'ils m'aident, je pensait a l'armé...mais nan ce sont des cinglé !

- Il t'ont attraper ?

- Oui j'ai même pas voulu fuir !

- Pk ?

- Ta vu mon corps ? je suis tout maigre, j'aurais pas tenu dix seconde contre eux !

- Ouai ta eu raison il auraient pu t'abattre si tu te t'était enfuit !

- Tes amis ?

- Faut que je l'est retrouve !

- Je comprend pas c'est pas bon signe qu'il soit partie sans c'est homme, je pense que tes amis sont en vie mais rien n'est plus sur !

- Je sais mais je veut pas les perdre !

- Ils vont venir te chercher !

- Comment tu le sait ?

- Je le devine ! il sourit, c'est dent sont parfaitement aligné et blanche

- Tu t'appelle comment ?

- Antonin et toi ?

- Olivier !

- Ta qu'elle âge ?

- 16 ans dans trois jours !

- Oh moi j'ai eu 14 ans !

- Tes jeune tu est rester tt seuls depuis le début ?

- Oui ! d'ailleurs tu est l'une des seuls personne a qui j'ai parler depuis que les nuages sont arrivé !

- Tu connait les nuages ?

- Sans doutes mieux que toi !

- Explique ?

- C'est un système simple, un nuage se forme tout en longueur sans fin il fait le tour du monde, en dessous de ce nuage il y a du vent, la force de ce vent varie, on peut passer d'une brise a une tempête, c'est imprévisible !

- Wow ! maintenant que tu le dit ! c'est vrai que ça tiens debout.

- Ok et du coup ta l'aire intelligent et tout ça mais j'aimerais sortir de se camions.

- Ouai ta raison. Je me tourne dos a lui en lui montrant mes main. C'est quoi c'est une corde ?

- Oui approche toi !

Je recule doucement, et me pose de façon a ce qu'il puisse toucher la corde, ça main tâte mon dos, puis descend sur mes fesse.

- Je suis désolé ! je vois rien !

- Non t'inquiète mais dépêche toi de me détacher !

- Oui c'est bon !

Je sens mes poignet ce libéré, je me retourne et le détache a son tour, il se lève et la le camions frêne, on vole et on se fracasse contre la paroi, je voie flou, puis nette, puis re-floue, on ouvre les porte du camions.

- Bande de pd ! vous pensiez que vous alliaient vous barrer aussi facilement.

Il nous attrape et nous traine dehors, il nous place debout, je regarde en face de moi...un immense bâtiment rectangle avec des spot et des projecteur partout, quelque voiture bloque les entré et les grilles finisent le tout.

- Bienvenue en enfers les gars !

petit message : coucou ! je suis revenue ! désolé pour le retard mais c'était un retour très fatiguant et j'ai eu du mal à m'y remettre ! dit moi ce que vous en penser en commentaire ! n'hésiter pas ça peut m'aider ! si vous avez des idée n'hésiter pas a venir me les dire en privé, je suis preneur.

voila gros beuzou !!! merci beaucoup de me suivre vous déchirer !!!! 

The Wind !Où les histoires vivent. Découvrez maintenant