chapitre 24 : chassé.

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Comment abandonner une équipe à la mort ? je suis le seul survivant de cette attaque massive, ils sont tout les cinq mort dans d'horrible conditions mais pourtant je me dit qu'il sont mieux où ils sont maintenant pourtant rien ne me dit qu'ils sont mieux. Je décide de partir, je commence à courir dans la forêt, la terre est mole, comment c'est possible avec une sécheresse pareil ? je continue de courir, soudain des faisceau lumineux casse l'obscurité, je me retourne cinq lampe se déplace dans le noir, je sprint à travers la forêt en évitant les arbre et les faisceau lumineux, le sols et soudainement plus dur...une route, la lumière ce reflet dans les vitre d'un voiture, je cour vers celle-ci, casse un rétroviseur, le pose par terre et me cache derrière la voiture, j'attend que le premier se rapproche, quand il passe en courant je place l'épée devant ça gorge et il se cogne contre, je retire l'épée vers moi, il s'écroule et fait tomber ça lampe a terre, je l'attrape et la pointe vers l'autre.

- Viens là il est sous la voiture.

- Ok j'arrive.

J'attend qu'il s'approche, et quand il est en face de moi, je lui fait signe d'aller en dessous, je passe derrière lui et quand il se mets à genoux, je place ma main devant ça bouche et lui tranche la gorge, son sang recouvre la lampe ce qui provoque un éclairage rougeâtre sombre, je sens le faisceaux d'un autre sur moi, je me tourne et lance la lampe dans sa tête, il recule et tire dans le vide, les deux autre se retourne, je lui saute dessus et le place devant moi, les deux autres tire en même temps, l'homme se prend les deux balles, je le laisse tomber et court dans la forêt de l'autre côté de la route, les faisceaux bouge dans tout les sens, ils sprinte pour ma rattraper, je leurs mets de la distance mais soudain je patauge dans de l'eau, quoi des marécage ? il fait beaucoup trop sec mais tant pis, je continue à courir, les faisceaux s'arrête, je ralenti et me tourne, il part dans la direction opposé, je suis essoufflée, par chance je suis sortie des marécage, je peut donc m'asseoir ou tomber ça dépend du point de vue. Je prend le temps de respirer puis je repart. Cela fait maintenant quelques heures que je marche, le soleil viens à peine de se lever et la chaleur est déjà présente, les arbres garde pourtant une allure magnifique, verdoyant comme si tout aller bien alors qu'il devraient commencé à manquer d'eau. Le soleil est filtré par les feuille ce qui me permet au moins de ne pas avoir le soleil directement sur la tête. Quand j'ai rencontré le groupe...en montant dans le camions j'ai décidé d'enlever mon foulard pour leurs montrer que j'ai confiance et que eux aussi pouvaient avoir confiance, maintenant qu'ils ont disparue je pense à le remettre mais à quoi bon ce cacher si les prochaine personne que je croise me tire une balle, je préfère le remettre, je le remets comme un signe de respect envers ce groupe, cette famille dans la qu'elle j'aurais pu m'intégré avec le temps. Je m'arrête quelques minute pour l'enfiler et me reposer un petit peu, ça m'étonne que je n'ai encore croisé personne, d'après les histoire que m'on raconter Olivier et Wilhem il y aurais déjà deux groupe de cinglé tout deux déstabiliser par nôtre équipe. je m'inquiète pour ma santé mentale, je ne fait que de penser à ce groupe, pourquoi est que en qu'elle que heures je me suis attacher à ces gens, à croire que le monde est pas assez pourrie pour me dire qu'en plus je me suis attacher à des morts, j'en peux plus, je suis épuisé, mon corps est en fin de vie et ma santé mentale défaille...faut que je me repose, il me faut un endroit, je décide de continuer ma marche.

Dix minute plus tard je tombe sur un chemins de terre, peut être 'entré d'une ferme ou d'une grand villa cacher parmi les immense chêne de la forêt...que faire suivre ce chemins au risque de me tromper de sens et de me fatiguée plus qu'autre chose ou continue dans la forêt avec cette chaleur, sans avoir manger, bu et dormie depuis minimum un jour entier ? tant pis je continue dans la forêt, je ne peux pas prendre plus de risque que je ne prend déjà. ça fait combien de temps ? combien de temps que je titube dans cette maudite forêt sans fin, où est la côte que je chercher depuis que j'ai quitté la scierie, le regrette prend place, j'aurais dû suivre le chemins, je lève la tête vers le ciel...enfin vers les feuille qui le cache, je continue de marcher lentement, toujours fixé sur ces feuilles, la chaleur est insoutenable, je sue comme un porc, j'arrive même plus à discerner la moindre odeur différent de celle de ma sueur, je pose mon pied droit, lève le pied gauche, pose le pied, lève le droit et pose...je bascule, je ne réagit pas et me laisse tomber, un pente assez fort m'emporte, je roule dans la terre, dans l'herbe et soudain un cailloux me fait l'honneur de ça présence en me frappant derrière le crâne, je perd connaissance et fini dans l'herbe tendre qui me fait un lit moelleux.

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