The Wind !

chapitre 12 : quand tout s'écroule...

Du soleil...trop de soleil, j'ouvre les yeux petit à petit, il y a une odeur de....saucisse ? je me redresse et m'assoie sur le bord, la pièce est dans la fumé, je me lève, il y a un t-shirt noir plier et poser sur la petite table en bois, les chaise ne sont plus là, j'enfile le t-shirt, et avance vers la source de cette odeur, la fumé me piques les yeux et le nez, je voit Amélie assise par terre devant un tas de bois de plusieurs couleur en feu, juste au dessus elle tiens un pique avec deux saucisse accroché.

- Amélie ?

- Ouais ! désolé pour la fumé y'avait pas d'autre façon de faire, et en plus dans le magasin il n'y avait que des saucisse.

- C'est déjà une chance d'avoir trouver des saucisse dans un magasin de vêtement.

- Oui elle était cachée dans le placard en dessous de la caisse enregistreuse.

- C'est prêt parce que j'ai très faim, avec tout ce qui c'est passer hier on n'a pas prit le temps de manger.

- Oui c'est prêt tiens.

Elle me tend le piques, je tire sur une saucisse et commence à la manger, sans couvert, sans assiette, sans rien juste les doigt et la bouche. Amélie fait de même, du jus coule sur son menton.

- Amélie tu mange mal.

- Je sais mais c'est dur.

Je me décale vers elle, j'attrape un jean qui est accroché sur la penderie et avec la jambes de pantalon j'essuie la bouche d'Amélie...elle sourie et re-croque dans la saucisse cette fois ci plus proprement. Une fois terminer nous sortons de la boutique avec des vêtement de rechange, dehors c'est une grand rue, il y a un immense immeuble avec un porche soutenue par des gros pilier en béton armée, tout au bout de la rue un camion citerne bouche la rue.

- Wilhem ! regarde dans le ciel au dessus du camions.

Je lève la tête, deux long nuages l'un à la suite de l'autre s'approche rapidement.

- Merde Amélie ils approchent beaucoup trop vite, cache toi dans la ruelle à ta gauche.

Elle s'exécute et cours entre le magasin et un autre bâtiment, moi je cours à l'opposé et je me cache derrière un pilier, le tout dernier, le plus loin des nuages...pour l'instant.

- Wilhem arroche toi bien ça arrive.

Un sifflement commence a s'entendre...ce n'est pas fort...c'est qu'une léger brise. Tout mon corps se détend, un énorme bruit de cognement et puis des grincement, des truc s'envole, les papier et autre ordure traverse la rue, mon corps se crispe, un énorme boum, un autre, encore un.

- Wilhem tu va te faire écraser par le camions.

Les boum continue et soudain quelques chose tape dans mon dos, ça me pousse sur un mètre puis un autre truc me fait perdre l'équilibre en me poussant vers le murs, une force violent m'écrase contre celui-ci. Puis me relâche je tombe sur le dos et me cogne la tête. Amélie me relève, ma tête tourne, mais je voit le porche, sept des huit pilier on était fauché et le dernier est a moitié plier sans doute le premier truc qui ma pousser, le camions citerne c'est encastrer dans le hall de l'immeuble, de l'essence se déverse sur le carrelage blanc sur le quelle jonche des bout de verre et de béton. Elle me tire le bras en courant, je la suis mais regarde l'immeuble, un fils électrique arracher crache des étincelle, soudain celui-ci tombe dans la flaque, une immense flamme jailli, puis s'étend dans tout la pièce elle effleure le camions, une explosion immense se produit, le souffle nous projette huit mètre plus loin, dans une petite rue. Je me relève et tourne la tête vers l'immeuble, il penche vers nous, un bruit comme un grincement surgit, il viens de partout mais de nulle part en même temps, la base de l'immeuble s'écrase, l'immeuble chute de cinq mètre et commence a chuter sur nous.

- Amélie cours !!!

Nous commençons a sprinter, les vitre ce brise et le verre pillé nous tombe dessus, j'essaye d'aller le plus vite possible, mais Amélie est plus rapide elle se tiens un mètre devant moi, maintenant les débris s'écrase contre le sols, je n'entend plus rien sauf ces fracas incessant, tout au bout de la rue il y a le fleuve, la rue a gauche est bloqué par un Amat de voiture et l'autre par un...bateau ? tant pis on plonge, la barrière a du être emmener par les débris car elle y est des deux coté mais a un endroit non.

- On prend trop d'élan wilhem.

- Faut sauter dans le fleuve.

- Quoi ?

- On plonge dans le fleuve.

Je regarde en face la bordure ce rapproche, je redoute cette instant, mais je doit le faire, sinon je vais crever écraser sous un immeuble...cinq mètre...un mètre. Je pousse sur me jambe, je me mets droit comme un piquer, comme le piquer a saucisse qu'Amélie utilisait, j'entre violement dans l'eau, Amélie est à coté de moi, parmi les bulles, je lui fait signe de nager loin de la rive, des pierre chute dans l'eaux, puis des morceaux de bétons pour finir par le plafond entier, je manque d'aire, faut que je remonte, l'eau est de plus en plus claire, a chaque mouvement l'aire me manque plus, j'y suis-je voit la lumière, je suis dehors c'est bon, je prend une grande bouffé d'aire, j'entend Amélie sortir à son tour et respirer bruyamment. Je me tourne vers l'immeuble...c'est magnifiquement effrayant, voire cette immeuble écrase par terre, sur c'est petit bâtiment et sur c'est voiture, l'lampadaire, bornes incendie et bien d'autre...je souffle, je récupère un rythmes normale, l'eau est bien tiède, c'est même rafraichissent par rapport a l'aire étouffant et sec.

- Excuser moi ! ouai vous dans l'eau ! vous connaissaient olivier ?

petit message : coucou tout le monde ! c'est un chapitre assez court mais après le chapitre 11 même un normale serais passer pour un court. j'espère qu'il vous à quand même plus ? dit le en commentaire et n'hésiter pas à voter pour me soutenir, ça m'aide beaucoup et m'encourage.

que dite vous de cette dernière phrase ? vous avaient peut-être deviné de qui il s'agit ?

voila merci tout le monde d'avoir lu. beuzou