|| La patience est une vertu. ||

[ Partie 40 ]

On sait bien qui sont les ingrats, on sait tous qui sont les lances-ba.

Moi - Quoi, encore ?

Bilal - Tu fais plus la grosse geul ?

Moi - Si t'es là pour me poser cette stupide question, tu sais mieux que moi ou est la sortie.

J'entends son souffle accélérer, il m'approche.

Moi - Putain, mais casse toi !

Je me retourne et lui fais face, il est vraiment grand celui la, sa cicatrice lui donne un air "dangereux'.

Sa se voit qu'il fait le chaud et tout mais il n'a rien dans le ventre. C'est surement un gars qui sait fait remarquer l'or d'une debza et depuis sa se sent plus.

Bilal - T'es bonne toi, j'vais te faire du sale c'est sur. -sourire-

Moi - Tu vas rien faire du tout, casse toi maintenant.

Il m'approche toujours avec ce sourire de malade accrocher sur le visage.

Il est tellement près de moi que je sens son souffle sur mon visage, qui fait que je le pousse violemment mais il insiste en me touchant.

La je commence sérieusement à flipper, il est bien plus fort que moi et on est tout seul.

Il peut faire n'importe quoi la et j'pense au pire si vous voyez ce que je veux dire.

Moi - Dégage zeubi !

Lui - J'aime les agressive... -sourire-

Moi - Et moi j'aime pas les violeur, ta vu on est deux à pas aimer heja. Casse toi putain et arête !

Il ne m'écoute pas et continue ses approches.

Je prends mon courage à deux mains et lui envoie un coup là où il faut pas, j'ai direct regretter mon geste on ne sait pas de quoi il est capable.

Il gémit de douleur et s'accroupi parterre.

Bilal - T'es morte... T'es morte putain !

Il sert ses dents et ferme les yeux.

Moi - Ouais, bon casse toi maintenant.

J'ai une de ses facilités pour ne pas montrer ma peur, c'est incroyable. -rire-

Il se lève difficilement et sort, je ferme ma cellule et souffle de soulagement.

Je monte sur mon lit et ferme mes yeux, j'suis fatigué, j'ai faim, j'me sens sale autant à l'intérieur qu'à l'extérieur, j'me sens pas bien.

Sa fait que quelque heures que j'suis la et j'en peux déjà plus, dire que j'vais passer 4 ans ici.

Amir rentre dans la cellule avec un couteau, par reflex j'me lève.

Amir - C'est pas maintenant que j'vais te tuer toi.

Moi - Quoi ?! Zehma tu vas me tuer plus tard ? Mais prévient comme même hein, comme sa j'sais quand j'vais me faire tuer et tout... Faut que je sois préparer.