[ Partie 32 ]

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Chaque jour je fais le tour, j'reviens sur mes pats.

Je me réveille doucement, les yeux à moitié ouvert, et difficilement, quand je sens une douleur atroce à la tête.

Mes yeux s'ouvrent normalement et je me redresse directement quand je remarque que je suis sur un lit d'hôpital.

Je me souviens très bien de ce qui c'était passer, mais j'me souviens pas du comment j'ai atterri ici !

Il y a qu'une seul personne qui est dans ma tête en ce moment.

Moi - Redouane !

Au même moment une infirmière rentre dans la chambre avec un sorte de cahier dans les mains.

Moi - Comment j'ai atterri ici ?

Infirmière - Allonger vous mademoiselle, votre tête !

Moi - Quoi, ma tête ?

Je touche ma tête et sens un bandage tout au long de mon crâne.

Moi - J'ai quoi ?

Je m'allonge et monte la couverture jusqu'à mon nez, l'odeur de l'hôpital est insupportable.

Infirmière - Et bien vous avez eu un coup très violent a la tête.

Moi - C'est tout ?

Elle - Votre bras à traverser la vitre de la voiture du coup vous aviez eu beaucoup de morceaux de verres dans le bras. Heureusement, le médecin a su vous enlever tout sa sans opération.

Moi - C'est pour sa que j'ai ce truc de 34 tonnes autour du bras ?

Elle - Oui

Elle me sourit tristement et me donne un comprimé avec un verre d'eau.

Je lui remercie et bois tout sa.

Elle - Vous avez besoin de beaucoup de repos mademoiselle vous êtes encore très faible pour marcher.

Moi - J'aurais besoin de combien de jours exactement ?

Elle - Sa, je ne le sais pas encore. Le médecin viendra vous donner plus d'explications.

Moi - D'accord.

Elle - Vous avez besoin de quelque chose ? Des questions ?

Moi - Non merci, mais j'ai une question.

Elle - Oui ?

Moi - Est-ce que Redouane est ici ?

Elle - Redouane... Redouane ? Je ne sais pas désolée, je vais appelé le médecin.

Moi - Merci

Elle sort en me souriant.

J'ai pleins de fils coller à mon ventre jusqu'à mes bras, j'aime pas c'est chiant ! Du coup je me gêne pas pour enlever tout ses fils débiles la.

La machine fait un bruit bizarre mais s'arrête quelque secondes après.

Une demi heur, une médecine rentre dans ma chambre avec un visage froisser. Elle a l'air sévère, en dirait une prof.

Médecine - Bonjour, mademoiselle Amel. Je suis votre médecin pour cette semaine, comment vous sentez-vous ?

Moi - Bien merci, euh depuis quand je m'appelle Amel ?

Elle - Parce que vous avez aussi perdu la mémoire ?

Je la dévisage et me redresse.

|| La patience est une vertu. || Où les histoires vivent. Découvrez maintenant