Ici on apprend à décoller sans atterrir.
Moi - Répète ? -rire nerveux-
Amir - Ta très bien entendu fait pas blehni !
Moi - W... Walid ? -choquer-
Lui - Ouais, putain !
Moi - D'accord et j'fais quoi ?
Lui - Rien, toi tu vas rien faire. Laisse moi faire !
Moi - Si, je te laisse faire il finira poignarder puis il essayera de me tuer en pensant que c'est moi qui t'a envoyer. -agacée-
Lui - Beleh, laisse moi faire 'Mel.
Moi - J'te fais confiance, alors.
Il me fait un clin d'œil et sort de notre cellule.
Je monte sur mon lit et prend les lettres, qui était cacher sous mon oreiller, et je regarde sans lire.
Depuis que Mehdi m'a envoyer cette lettre, il ne sort pas de ma tête.
Pourquoi est-ce que tu vas t'enfoncer au lieu de te relevé ? Pourquoi est-ce que tu as peur de venir, si tu prétends m'aimer ? Pourquoi est-ce que tu ne portes pas tes couilles ? Pourquoi est-ce que tu n'assumes pas, ce que tu ressent ? T'es déjà aller voire ailleurs ?
Tant de questions sans réponse, il me laisse avec ces tonnes de questions sans réponse !
Moi - Tu veux que je t'oublie ? Bah, pas de problème mon gars.
Je déchire sa lettre et me mets à chercher une allumette, j'en trouve un paquet sur le lit d'Amir et brule sa lettre pour ensuite la jeter dans la poubelle.
Je fais tout sa, sans trop penser au conséquences enfaite...
Agent - Pourquoi sa sent le cramer ?
Moi - Parce que je viens de bruler quelques choses. -désespéré-
Agent - Et on peux savoir qui t'a permis de faire sa ?
Moi - Moi.
Agent - Et depuis quand est-ce que c'est toi qui décide ?
Moi - Depuis que j'ai pris le contrôle de mon corps.
Lui - Tu fais la maligne ?
Moi - Et tu fais le malin.
Je saute sur mon lit et mets la couverture sur moi.
Moi - Maintenant ferme ta geul et casse toi !
Il part en chuchotant des choses.
Amir revient quelque minutes plus tard avec une sorte de machette dans un sachet.
Moi - Tu vas lui faire quoi, avec sa ?
Amir - Rien, rien laisse !
Il cache le sachet sous mon lit.
Amir - Bon, écoute ! Walid vient de rentrer sans sa cellule qui est juste à coter de celle de Nabil. Il est sous double, 'fin triple surveillance parce que c'est un ouf dans sa tête ton oncle. Pour l'instant je n'ai pas de plans mais dès que j'en trouve un, j'te dis quoi safe ?
Moi - Oui... Oui.
Lui - Essaye au moins de dormir, Amel.
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|| La patience est une vertu. ||
AcciónSalam aleykoum tout le monde. Pas besoin de faire un discours, juste une phrase ; "Je ne sais pas d'où je viens, mais je sais exactement où je vais. " Laïnah Amel Boutahar.