Chapitre 12

92 17 31
                                    

HARRY

J'ai un de ces mal de crâne. J'ai une douleur à la tête, je crois avoir attraper un début de migraine. Génial.

J'ouvre difficilement les yeux, je suis horriblement fatigué.

Les yeux ouverts, je vois tout noir.

Où suis-je ?

Je tourne la tête afin de trouver un point de lumière mais ce fut un échec.

J'ai l'impression d'avoir quelque chose sur la tête et cela me gêne.

Je place mes mains... mes mains ?
Oh non.

Je suis pris au piège.

Mes mains sont ligotés derrière mon dos à l'aide d'une corde.

J'essaie en vain de les détachés avec stratégie mais rien n'y fait. C'est beaucoup trop serré.

J'essaie de me lever mais je n'y trouve pas la force. Je ne peux pas. Je n'y arrive pas. Je ne tiendrais pas debout une seule seconde.

Je secoue la tête dans tout les sens et réussi enfin à enlever cette horrible chose de ma tête.

De la lumière éclaire l'endroit où je suis. Très peu, en tout cas. J'arrive à peine à voir mes boots.

J'observe les alentours de là où je me trouve.

Je suis enfermé par des barreaux.

C'est une assez grande pièce sombre où nous sommes obliger de plisser les yeux afin d'y voir clair. C'est une sorte de prison, finalement.

Je regarde en face de moi.

J'aperçois quelque chose.

Quelque chose d'allongé.

Je décide de m'approcher de plus près à l'aide de mes pieds et de mon postérieur. Je glisse sur le sol malgré le fait que je n'ai pas la force.

Je veux voir ce que s'est.

J'arrive à mon but et admire cette...

Louis.

Il est juste en face de moi. J'aperçois avec le peu de lumière qu'il dort. Je l'entends respirer tout doucement. Sa respiration est régulière et est agréable à écouter. Il a l'air épuisé.

Je remarque que ses mains à lui, ne sont pas ligotés.

Comment a-t-il fait ?

J'observe ses mains en plissant les yeux.

Oh.

Un cutter.

J'essaie de l'attraper avec mes mains malgré qu'elles soit ligotés. 

Je l'ai. Je coupe les cordes à l'aide de celui-ci.

Putain. C'est plus dur que ce dont je pensais.

Quelques minutes de souffrance plus tard, je réussis enfin à couper la coupe. Je souffle un bon coup avec une douleur à la main.

Again (terminée)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant