Chaptigre 3

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PDV Isis


Nous sommes dans le hall, les flashs des photographes venus pour l'occasion commèrent à m'aveugler, personnellement, je ne sais pas comment mes parents font, surement l'habitude.


Toutes les grandes familles maires de chaque ville d'Arizona étaient venues pour l'anniversaire de leur chef, ce qui veut dire que ma tante Annie du côté de maman était là avec mon oncle Lionel et leur fille, ma cousine Maria et mon cousin Thomas Sylvester.


Les invités avaient amené leurs plus grands enfants, que je ne connaissais pas, ne faisant pas partie de mon lycée, et n'habitant pas dans la même ville, ils m'étaient inconnus.


- Isis ! M'interpela une voix masculine familière.


J'eus, juste le temps de me retourner que l'on me sauta dans les bras.


- Ma Chère Petite cousine, tu m'as manqué, tu sais ! S'exclama mon cousin en me relâchant.


« Thomas ! Toi aussi »


Il me fit un grand sourire, et me dit :


- Normale, je suis ton cousin préféré !


Je secouai la tête amusée.


« Si tu le dis, c'est que c'est vrai »


Il se mit à rire puis me refis un câlin.


- Allons boire un verre et trouver Maria, me dit Thomas en me guidant à travers la foule très dense de gens.


Je vois au loin mes parents saluaient de nombreuses personnes, mes parents étaient les précèdent maires de Lake Havasu City dans l'Arizona, avant de déménager et de passer le flambeau aux Sylvester.


Nous essayions de nous frayer un chemin à travers tout ce monde en regardant de chaque côté pour trouver Maria. Plus je m'avançais et plus j'entendais les gens parler de moi, non pas à cause de ma robe ou mon physique, non, ils avaient un discours similaire à celui de mes camarades le jour de ma rentrée.


-Flash-Back vendredi jour de rentrée pour Isis-


Depuis que je suis arrivais ce matin, les personnes autour de moi, n'arrêtent pas de chuchoter pour les plus respectueux, et parler a voix très haute de moi pour ceux qui se moque bien que je puisse entendre. Je suis actuellement aux toilettes pour essuyer la trace de yaourt que je me suis maladroitement faite en mangeant.


Vraiment, je suis la pire des maladroites, surtout quand il ne faut pas l'être. Pas de chance ? Oui, surtout mon premier jour dans un nouvel établissement, dans une nouvelle ville, devant des personnes qui ne me connaissaient pas.


Je m'essuie les mains humides d'avoir frotté avec de l'eau ma robe blanche, quand je ne repartis, pas très loin des toilettes, je vis un groupe qui discutait, j'ai crus entendre mon prénom, dans la discussion. Discrètement je me suis rapprochais pour savoir ce qu'ils disaient.

Of All My Being...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant