Il était une fois, un garçon prénommé Jonathan. Jeune, beau, intelligent, curieux, le profil parfait du garçon qu'on aime présenter à ses parents. Il avait de multiples qualités dont celle de plaire aux jeunes filles mais il n'avait d'yeux que pour Catheline, petite aux longs cheveux noirs bouclés et de grands yeux violets, avec qui il était depuis quelques années maintenant. Ensemble, il avait connu vent & marrés, soutenu par une solide deuxième famille, composé d'amis, de meilleurs amis.
Un jour, la meilleure amie de Jonathan tomba sous le joug d'une maladie rare transporté par un moustique dont le seul traitement n'existait que dans un pays loin. On offrit à Jonathan la possibilité de l'accompagner étant sa seule famille après ses parents. Elle devait être soigné sur place et souhaitait qu'il vienne découvrir le monde avec elle, sans pourtant être sur de revenir un jour.
Pour lui, cela revint à choisir entre son amitié avec Hannah et l'amour qu'il portait à Catheline.
Beaucoup de gens ont à faire ce choix difficile qu'il ne faudrait jamais faire pourtant il le devait. Malgré les conséquences qui s'annonçaient, il partit, le cœur lourd à la recherche d'un médicament rare au pourcentage de réussite incertain. Pourquoi? Personne ne le sait.
Un an passa, ils décidèrent de revenir, Hannah étant parfaitement guérit.
A son arrivée, Jonathan demanda à voir Catheline. On n'osa lui répondre, chacun baissant plus la tête que le précédent. Néanmoins, un de ses amis le conduisit à l'écart de la ville, au somment d'une petite colline où était posé un cercueil de verre sans clef brillant sous les rayons du soleil. Jonathan s'approcha doucement pour découvrir le visage de la femme qu'il aimait, plus belle que jamais, ses boucles noires auréolant son visage.
- Que lui est-il arrivé?
- On dit que son chagrin fut tellement profond qu'il forgea sa prison de verre, aussi pur que l'amour qu'elle te porte.
- Comment l'ouvrir s'il n'y a pas de serrure?
- La clef n'est peu être pas matériel.Jonathan déposa un baiser, pleura sur le couvercle fermé, cria, jura, mais rien ne se passa. Il déposa alors la bague de fiançailles qu'il comptait lui offrir le jour où il était parti, dont la pierre : l'améthyste lui rappelait la couleur de ses yeux. Il voulait l'emmener sur cette colline, là où ils s'étaient rencontré par pure hasard. Elle avait 10 ans et s'amusait à cueilleur des fleurs pour faire une couronne. Lui avait déboulé car il avait perdu son ballon. Ils s'étaient regardés, avaient ri, et avaient passé l'après midi à parler. Puis, le temps avait fait son œuvre.
Ainsi il comptait la demander en mariage, persuadé qu'elle était la femme de sa vie.
Alors il resta la, à l'observer jour après jour, nuit après nuit sans que rien ne change à part le temps.En réalité, la clef était faite de la seule chose qu'il n'avait jamais pu lui offrir complètement...
( Explication au prochain chapitre, mettez vos hypothèses en commentaire s'il vous plaît )
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Des textes en vrac
RandomDes textes comme ça, remplis de simples mots pensé avec le cœur. Recueil de petit textes, j'espère qu'ils vous plairont! Merci