?? : Ya quelqu'un ??
On sursauta, cette voix venait de derrière les rochers, on s'empressa de nous glissés sous l'eau pour cacher notre corps nu :
E : Yann ?
Y : Eliott c'est toi ?
E : Oui qu'est ce que tu fais là ?
Y : Je pourrais te demander la même chose ?Il sortit de derrière les rochers, il regarda les vêtements sur la plage puis nous regarda, seul notre tête sortait de l'eau :
Y : Ah je vois, désolé du dérangement.
E : C'est pas grave mais qu'est ce que tu fais là ?
Y : Je cherchais mon chien, il s'est échappé, d'habitude il rentre tout seul mais là il n'est pas rentré et comme il vient souvent par là.
E : Ah d'accord bah on a rien vu désolé.
Y : Même chez vous ? Il y va à des fois.
E : Moi je n'ai rien vu, et toi Billy ?
B : Moi non plus je n'ai rien vu mais j'ai entendu aboyé en partant de la maison.
E : Ah oui exacte, tu veux qu'on t'aide à la retrouvé ?
Y : Je ne veux pas vous dérangez.
E : C'est trop tard pour ca et puis on avaient finit.
Y : Bon bah si vous y tenez je veux bien.
E : Est-ce que tu peux juste te retourner qu'on se rhabille ?
Y : Oui bien sûr !
Il se retourna puis on se rhabilla :
E : C'est bon, on commence par où ?
Y : Je vais terminer de longer la côte, vous n'avez qu'à aller voir autour de vitre maison.
E : Ca marche !
On se dirigea vers la maison :
B : Super !
E : Oui je sais...désolé je pensais vraiment qu'on seraient seul...
B : C'est pas grave. Trouvons son chien et rentrons.
E : Tu m'en veux pas ?
B : J'aurais préféré que tu lui propose un plan à trois mais bon...
E : Euh ?
B : Je rigole, il est trop vieux !
E : Donc si il était plus jeune tu serais partant pour un plan à trois ?
B : Bien sûr que non je ne partage pas mon ange avec quelqu'un d'autre, tu es trop précieux !
E : Ouf tu m'a fait peur mais c'est mignon ce que tu viens de dire. Regarde là bas !
Je siffla, le chien aboya et couru vers nous :
B : Ah le voilà le chien ! Il est mignon.
E : Oui on dirait celui de la pub César.
On rigola puis je pris le chien dans mes bras, il était docile heureusement. On chercha Yann le long de la côte. Il était rendu au petit phare, au bout d'une jetée de rochers :
E : Yann, on a ton chien !
Il était en haut du phare :
Y : Ah super merci, monter !
On monta en haut du phare :
E : J'étais jamais monter dans ce phare, il était toujours fermé.
Y : C'est moi qui ai les clefs maintenant.
E : Ah tu l'a acheté ?
Y : Non ca ne s'achète pas, ça fait parti du patrimoine de Ploemeur et la commune m'a engager pour remettre en état tout ce patrimoine.
E : Ca doit être passionnant.
Y : Oui assez, en ce moment je travail sur le grand blockhaus nazi qui est plus loin et je m'occuperais du phare cet été.
E : Le grand blockhaus ? Mais il n'est pas enseveli ?
Y : Plus maintenant, je l'ais dégagé et je le retape un peu et le solidifie avant de l'ouvrir au public.
E : Ah c'est super, je suis passionné d'histoire et ça m'intéresse beaucoup.
Y : Oui mais il est tard donc si tu veux on en reparle plus tard.
On redescendit du phare :
Y : Merci pour le chien, rentrez avant qu'on s'aperçoive que vous êtes parti, j'imagine que vous n'avez pas demander la permission pour sortir.
E : Oui tu imagine bien.
Y : Et encore désolé de vous avoir déranger.
B : C'est pas grave on avait fini de toute façon.
Y : Oui mais quand même, et vous savez moi aussi je.............et mais ça brûle là bas !
On se retourna vers la maison :
E : Qu'est ce qui se passe c'est la maison on dirait !
On courut tous vers la maison, on arriva la bas quand on se rendit compte que ça venait du garage. Je me précipita dans la maison avec Billy pour réveillé tout le monde, Yann appela les pompiers. Je sortis de la maison avec mes parents :
P : Oh mon dieu, tu as appeler les pompiers ?
Y : Oui ils arrivent.
M : Où sont Lilian et Billy ?
Sans réfléchir, je retourna dans la maison. La fumée commençait à l'envahir par la porte qui menait au garage. Je monta jusqu'à la chambre de Lilian :
E : Qu'est ce que vous foutez ? La fumée envahit la maison pas le temps de bavarder, Lilian est asthmatique !
On sortit de la chambre, il y avait beaucoup de fumée dans la maison. On descendit les marches, Lilian toussait beaucoup, je le porta jusqu'à la porte d'entrée où mes parents nous attendaient terrifiés :
P : Tu es complètement inconscient d'être rentrer dans la maison !
E : Mais non il n'y a pas de feu à l'intérieur c'est bon !
Lilian toussait beaucoup, il faisait une crise d'asthme. On n'avait pas sa ventoline, heureusement les pompiers arrivèrent et s'occupèrent de lui. On attendit de nombreuses heures devant cet incendie, finalement vers 3h du matin, le chef des pompiers vint nous voir :
CP : Monsieur, vous êtes le propriétaire de cette maison ?
P : Oui.
CP : Nous avons maitriser l'incendie, d'après mes hommes il n'a touché que le garage mais il faudra revérifié quand il fera jour.
P : D'accord.
M : Comment on va faire ?
CP : On va rester toute la nuit ici pour terminer de circonscrire l'incendie et aérer la maison.
P : Yann, ta tante tien toujours l'hôtel à Ploemeur ?
Y : Oui je vais l'appelée.
P : Merci.
M : Super weekend gâché...tu pense que c'est dû à quoi ?
P : Dans le garage il y avait le tableau électrique donc ça doit être ça je pense. Il était vieux.
M : Une chance que la maison ne soit pas trop touchée.
P : Oui et surtout que la voiture n'était pas dans le garage.
M : C'est sûr, où sont partit les garçons ?
P : Ils sont pas loin, ils font un petit tour ils en avait marre d'attendre.
Y : C'est bon je viens d'appeler ma tante elle vous attend.
P : Merci beaucoup. Les gars arrivent on va y aller si les pompiers n'ont plus besoin de nous.
CP : Non on a plus besoin de vous, on sait où vous êtes au cas où. Revenez vers 9h on Y verra plus claire et on pourra faire un état des lieux avec vous.
P : D'accord je sera là.
Le chef pompier repartit voir ses hommes, Yann rentra chez lui et nous on alla à l'hôtel, en arrivant :
TY : Bonsoir mes pauvres, c'est moi la propriétaire de l'hôtel, la tante de Yann.
P : Bonsoir, merci de nous accueillir.
TY : Mais de rien, ce n'est pas rigolo un incendie, je n'ai plus que deux chambres avec lit double.
M : Ca ira, merci beaucoup.
Elle nous donna les clefs. Nous montions dans nos chambre, les parents d'un coté et les enfants de l'autre. On était tous fatigué et on s'endormit assez vite. Je me réveilla vers 8h30, j'entendis mes parents dans le couloir, je décida de sortir de la chambre :
P : Tien tu es debout.
E : Oui vous faites quoi ?
P : Je vais voir les pompiers pour faire le point.
E : Je peux venir ?
P : Si tu veux.
M : Je reste avec les gars, tu m'appel.
P : Oui a plus tard.
Je partis avec mon père en direction de la maison, on arriva :
E : Ouah j'avais pas vu que c'était aussi important !
P : Parce que ça ne l'était pas. Je ne sais pas ce qui s'est passé.
CP : Ah bonjour messieurs. Je sais pas si vous l'avez remarquer mais on a eu un petit problème cette nuit.
P : Oui je vois ça, qu'est ce qui s'est passé ?
CP : Il se trouve qu'il y avait de l'essence dans le garage, après votre départ on a eu une petit explosion. Par chance mes hommes n'ont pas été touché et ils se sont battus jusqu'au bout pour que la maison en soit pas touchée.
P : Et ils ont gagnés ?
CP : Oui vous avez beaucoup de chance ! Le garage est totalement dévasté mais la maison n'a rien. D'après nos premières constatations l'incendie aurait été provoqué par le tableau électrique.
P : Je m'en doutais un peu. Ca va nous coûtés cher tout ça.
CP : Vous n'avez pas d'assurance ?
P : Pas encore sur cette maison, en faite hier c'était la première fois qu'on y mettait les pieds depuis 5 ans.
CP : Ah depuis que les anciens propriétaires sont mort.
P : Vous les connaissiez ?
CP : Le mari oui, c'était un ami.
P : C'était mon père.
CP : Ah c'est vous son fils. Heureux de vous connaître même si ce n'est pas des circonstances idéales.
P : Moi aussi.
CP : Je vais laisser deux hommes pour surveiller jusqu'à ce soir, on est jamais trop prudent.
P : Au vu des évènements on pensait repartir ce midi car on habitent loin.
CP : Vous habitez où ?
P : A Nice.
CP : Ah oui quand même.
Je les laissa discuter et j'allais voir de plus près les dégâts. En effet il ne restait plus grand-chose du garage...c'est triste tout ça...:
PP : Attention jeune homme ne t'approche pas trop !
E : Oui désolé.
PP : C'est ta maison ?
E : Oui. Je suis né dedans.
PP : Ah oui, heureusement qu'on l'a sauvée si elle a vu naître un si joli jeune homme.
E : Oh c'est gentil mais je ne suis pas le seul qu'elle a vu naître. Mais elle est toujours là heureusement.
PP : Oui ça aurait été dommage qu'une si belle demeure parte en fumée.
E : Je peux avoir la boîte en fer qui est là bas c'était à mon grand père ?
PP : Attends je vais voir si elle n'est pas chaude. Non ça va, tien la voilà.
E : Merci beaucoup.
Les inscriptions sur la boîte étaient illisibles. J'ouvris la boîte, à l'intérieur il y avait des vieilles photos, je devina que la personne en militaire était mon grand père. Il y avait aussi des photos de paysages dévastés, de soldats dans des blockhaus, je compris facilement que c'était des photos de mon grand père quand il faisait la guerre. Je retrouva aussi dans cette boîte, des vestiges de la guerre comme une quille en métal qui a dû fabriqué sur le front, on avait apprit ça en cours :
P : Eliott ?
E : Oui je suis là.
P : Qu'est ce que tu fais ?
E : Regarde ce que j'ai retrouvé dans les ruines.
Mon père ouvrit la boîte :
P : C'est bizarre ton grand père ne m'a jamais fait voir tout ça.
E : Oui c'est bizarre, peut être que la guerre l'a trop traumatisé.
P : Sûrement, bon on y aller.
E : Et pour le garage tu fais quoi ?
P : Je pense que je vais rester 1 ou 2 jours de plus pour voir ce que l'on va faire. Si ta mère est d'accord pour rentrer seule avec vous bien sûr.
E : Ah d'accord.
On rentra à l'hôtel où les autres montèrent dans la voiture puis nous filions au café du vieux Claude. On arriva devant la café, il n'avait pas changé depuis mon enfance :
C : Mais qui voilà ! Ca fait longtemps qu'on vous a vu dans le coin !
P : Bonjour Claude oui ça fait longtemps qu'on est pas revenu.
C : Comment ça va toute la petite famille ? Je vois une nouvelle tête !
M : Oui c'est le fils d'une amie qu'on héberge provisoirement.
C : Degemer mat en breizh bihan !
B : Euh ?
E : Il te disais juste "Bienvenu en Bretagne petit !". Il adore taquiner les touristes.
B : Ah, merci monsieur.
C : Ca fait belle lurette qu'on m'a pas appelé "monsieur" appel moi Claude comme tout le monde.
B : D'accord Claude.
C : Alors comme ça tu as reprit la maison de tes parents ? Et ça c'est pas passer comme prévu cette nuit ? Ah Eliott servez vous je te fais confiance.
On partit se servir en boisson et en viennoiserie car on avait pas manger le matin. On mangea un peu puis ma mère nous appela :
M : Les gars venez là s'il vous plaît !
On s'approcha du comptoir où ils étaient installer :
L : Oui ?
M : On va rester plus longtemps que prévu à cause de ce l'incendie, ça vous dérange ?
E : Ah moi pas du tout !
L : Moi non plus, de l'école en moins c'est cool !
M : Et toi Billy ?
B : Je m'en fiche, il faut juste que je prévienne ma mère.
M : Oh je vais l'appelée aussi pour la prévenir ne t'inquiète pas pour ça.
Y : Salut tout le monde !
E : Yann !
Y : Je vois qu'on est content de me voir.
E : Oui j'avais quelque chose à te demander.
Y : Je t'écoute.
E : Attends, papa je peux avoir les clés de la voiture je veux lui faire voir ca que j'ai trouvé ce matin.
P : Tien mais fait attention c'est sale et fragile.
E : Oui je sais.
Je partis à la voiture, suivi de Yann et Billy, je sortis la boîte :
E : Regarde, c'était à mon grand père.
Y : La boîte est dans un sal état.
E : Elle était dans l'incendie aussi. Regarde les photos avec les blockhaus, est ce tu pense qu'il y en a un qui fait parti de ceux que tu restaure ?
Y : Ah oui je comprends. Difficile à dire, ils se ressemblent tous, on ira comparer si tu veux.
E : D'accord. Merci quand même.
Yann repartit dans le café :
B : Tu t'intéresse beaucoup je trouve.
E : Oui je suis passionné des guerres mondiales et j'aimerais bien retrouver le parcours de mon grand père.
B : Oui je comprends, je t'aiderais autant que je peux.
E : Merci mon ange. Ca te dit une petite balade je ne t'ais pas tout montrer, loin de là.
B : Oui pourquoi pas.
Je partis demander l'autorisation à mes parents puis je revenus :
E : C'est bon on doit être de retour à 13h au restaurant.
On partit tout les deux, je l'emmena sur une petite plage que je savais déserte à cette époque de l'année. On arriva sur cette plage, je m'asseye. Billy s'assied à côté de moi :
B : Encore une belle vue de la Bretagne.
E : Je constate que tu commence à aimer cette région.
B : Tu rigole, je l'adore !
E : Ah c'est cool. Je t'aime.
B : Moi aussi je t'aime plus que tout et je suis tellement heureux d'être avec toi.
E : Je te cache pas que j'ai eu peur au début car c'est la première fois que je sors avec un garçon.
B : Et ?
E : Finalement c'est loin d'être désagréable, c'est même encore mieux qu'avec une fille je trouve.
B : Encore heureux, tu est si heureux que ça avec moi ?
E : Oui bien sûr pourquoi cette question ? Je suis le plus heureux du monde avec toi, quand on est tout les deux plus rien ne compte pour moi appart ton bonheur.
Il se blotti contre moi et mit ses mains contre moi, sous mon t-shirt pour se les réchauffés :
E : Ah c'est froid, je pensais pas que tu avais si froid, tu veux qu'on bougent ?
B : Non on est bien là, c'est parce que j'avais les mains froides que j'ai forcément froid.
E : Et sinon pour ta question, tu doutais de moi ?
B : Oui et non.
E : Comment ça ? Tu doutais de l'amour que tu ressentais pour moi ?
B: Non, je le sais que tu m'aimes, tu me le prouve assez. Je doutais du fait que tu sois à l'aise avec un garçon comme c'est nouveau pour toi. Tu sais moi au début je n'étais pas à l'aise et heureusement que pour mon premier copain c'était aussi la première fois qu'il sortait avec un garçon comme ça je n'étais pas le seul. Alors que là, j'ai déjà eu plusieurs copains et je suis tout à fait à l'aise mais toi c'est la première fois donc je m'inquiétais juste de savoir si pour toi ça allait.
E : Ah d'accord, non mais ne t'inquiète pas pour moi ca va, je suis à l'aise avec toi maintenant et puis si ca va pas ou que les choses vont trop vite je n'aurais pas peur de te le dire. Je suis cash.
B : Ca me rassure alors, j'aime bien les personnes cash, moi aussi je suis cash et je suis pour qu'on ne se cachent rien.
E : Moi aussi je suis pour qu'on ne se cachent rien. D'ailleurs je voulais te demander quelque chose.
B : Oui ?
E : Comment tu as su que tu étais gay ? Tu es déjà sortit avec une fille ? Et combien de garçons ?
B : Oulla ça beaucoup de questions. Alors moi j'ai toujours été attiré par les garçons déjà et non je ne suis jamais sortis avec une fille. J'ai commencé par tomber amoureux d'un garçon en sixième, c'était réciproque et on est sortit ensemble. C'est comme ça que j'ai su que j'étais gay.
E : Ah d'accord, un peu comme moi sauf que je suis sortis avec des filles avant.
B : Oui et un peu comme tout le monde aussi, je veux dire je ne pense pas qu'il y ai d'autres moyens de savoir notre orientation. Et moi je voulais te demandé quelque chose de plus intime...
E : Oui ?
B : Tu as déjà fait quelque chose de sexuelle avec une fille ?
E : Non, j'ai faillis une fois mais ça ne s'est pas fait.
B : Donc j'étais ta première fois tout court en faite ?
E : Oui, ca te dérange ?
B : Non je m'en fiche, tu es assez douer au lit pour un débutant.
E : C'est gentil, mais toi tu l'avais beaucoup fait avant moi ?
B : Non juste quelques fois avec un mec mais on a rien fait de plus qu'avec toi.
E : D'accord. Je t'aime à la folie mon cœur et je ne veux plus que tu doutes.
B : Moi aussi je t'aime plus que tout.
On resta tout les deux l'un contre l'autre, assis sur la plage avec une mer qui commençait à s'agitée.
BIP BIP BIP BIP BIP
E : C'est ton portable.
B : Ah oui.
Il sortit son portable :
B : C'est ma mère, je ne l'ais pas appelé encore, je l'a met sur haut parleur.
" B-E : Salut !
C : Ah les deux en même temps, ça m'économisera un appel.
On rigola :
C : Alors ça va ?
B : Oui et toi ? Ca va tes dialyses ?
C : Oui moi ça va, vous rentrez ce soir ?
B : Ah Stéphanie ne t'a pas appelée ?
C : Non pourquoi ?
B : On ne sait pas quand on va rentrer.
C : Comment ça ? Qu'est ce qui se passe ?
B : Il y a eu un incendie cette nuit dans le garage de la maison.
C : Ah bon ? Il n'y a pas eu de blessés j'espère ?
B : Non tout le monde va bien, mais on doit rester en Bretagne le temps que Paul et Steph règlent quelques trucs par rapport à ca.
C : Oui c'est normal, dommage que vous loupiez encore des cours. Et les dégâts par trop grave ?
E : Non je suis allé sur place ce matin et il y a juste le garage qui est totalement détruit. Mais il n'y avait rien d'importants dedans.
C : Heureusement bon je vous laissent vous me dite si il y a du nouveau.
B : Oui je te rappellerais maman a plus. "
Il était que 12h30, on resta encore 20 minutes tout les deux sur la plage avant de rejoindre tout le monde au restaurant.
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Eliott & Lilian : Tome 1 :Une vie mouvementée.
Teen FictionEliott est un jeune homme comme tout le monde, du moins il l'était. Avec son jeune frère Lilian, ils vont devoir faire face à beaucoup d'aléas de la vie. Comment vont -ils s'en sortir ? Il s'agit là de mon tout premier récit :) il n'est pas parfait...