Eliott & Lilian : Tome 1 :Une vie mouvementée.

Chapitre 8

On arriva à l'hôpital, à l'accueil une dame nous indiqua la chambre de ma marraine, on toqua :

C : Entrer ! Ah c'est vous je suis contente de vous voir ! Vient là mon fils !

B : Maman ! Tu vas bien ?

C : Oui ça va mieux, je suis désolé de t'avoir fait peur.

B : C'est pas grave tu vas mieux.

C : Steph, Paul, une assistante sociale est passée tout à l'heure, je vous remercie de vous occuper de Billy.

M : Mais de rien c'est normal.

C : Et toi Eliott tu vas bien ?

E : Oui marraine je suis content que tu ailles mieux.

C : Si vous alliez chercher quelque chose à la cafétéria pendant que je parle à tes parent. Billy prend de l'argent dans mon porte feuille.

On descendit à la cafétéria moi, Billy et Lilian :

L : On peut aller aux toilettes sivouplai ?

E : Tu en a vu ?

B : Là il y en a !

E : Bon dépêche toi Lilian !

L : Mais je ne vais pas y aller tout seul.

E : Pff tu n'est plus un bébé, bon j'arrive.

B : Je viens aussi je ne vais pas rester tout seul.

On entra dans les toilettes, vides :

E : Bon dépêche toi Lilian !

L : Oui.

On attendaient Lilian quand un mec entra, il fit ses besoins puis se lava les mains, nous on attendaient, en sortant le gars à dit :

??? : Salut les pédés !

On se regarda avec Billy :

E : Pourquoi il a dit ça ?

B : Je ne sais pas mais ça te donne une idée de ce que je vis.

E : Tu es courageux de supporter ça. Je ne le serais pas autant à ta place.

B: Tu veux dire que si tu étais gay tu ne pourrais pas l'assumé ?

E : Non je ne pense pas, mais de toute façon je ne suis pas gay. (merde ! Pourquoi j'ai dis ça !)

B : Oui je sais, je m'en fiche. (merde ! Pourquoi j'ai dis ça !)

Lilian sort, il se lave les mains puis on se redirigea vers la cafétéria. On y arriva enfin, on prit quelques trucs à manger et à boire puis on retourna vers la chambre :

M : Vous en avez mis du temps !

L : Oui je voulais aller aux toilettes.

M : Ah d'accord.

Infirmière : Bonjour madame, ça va bientôt être l'heure de votre dialyse, les visiteurs vont devoir partirent.

P : Oui on va y aller. Bonne chance, on emmènera Billy tout les jours.

C : Merci, Billy je peux te parler seuls avant que tu partes ?

B : Oui qu'est ce qu'il y a ?

Tout le monde sortit de la chambre :

C : Ecoute, personne ne sait combien de temps je vais restée à l'hôpital. Pour l'instant, Steph et Paul t'accueilles et je les remercient mais si mon séjour à l'hôpital devait durer je ne veux pas abuser de leur hospitalité.

B : Où tu veux en venir ?

C : Je pense que je vais appelé ta tante Sophie, pour qu'elle viennent s'occuper de toi.

B : Non !!! Tu te rappelle pas ce qu'elle a fait !

C : Si je m'en rappelle, ça ne me réjouit pas plus que toi. Mais je n'aurais peut être pas le choix.

B : Si on a toujours le choix ! Je ne veux pas la voire !

C : D'accord j'ai compris, je ne l'appellerait pas.

B : Tu me le promets ?

C : Oui je veux que ton bien et si tu ne veux vraiment pas voir ta tante je ne l'appellerait pas.

B : Merci, tu sais très bien qu'elle est dangereuse.

C : Oui je ne sais même pas pourquoi je t'ais proposer ça...Je suis tellement perdue avec cette maladie qui me tombe dessus comme ça.

B : C'est pas grave. Bon je vais devoir y aller, ils vont m'attendre.

C : Oui, tu es sage chez eux, et pas de bêtises, surtout avec Eliott !

B : Pourquoi tu dis ça ?

C : J'ai bien vu comment tu le regardais, le même regard que celui que tu lançais à tes copains quand ils venaient à la maison.

B : Arrête ! Il n'y a rien entre nous, et puis de toute façon il est hétéro. Bon j'y vais à demain.

Nous étions en bas, dans le hall, Billy arriva puis nous rejoignons notre voiture :

P : Bon on va passer chez toi Billy, tu as les clefs ?

B : Oui.

Quelques minutes plus tard nous arrivons chez Billy :

E : Wouha elle est belle ta maison !

B : Merci tu veux visiter ?

E : Ouais je peux ?

M : Oui mais dépêchez vous.

E : Merci.

On entra dans sa maison :

B : Fait un tour dans la maison si tu veux visiter, moi je vais faire ma valise dans ma chambre à l'étage, tu me rejoindra.

E : D'accord.

Je fais un petit tour du rez de chaussé avant de monter à l'étage :

B : Alors ?

E : Ca va c'est grand et bien décorer, mais je préfère chez moi.

B : C'est normal. Moi aussi je préfèrerais rester chez moi.

E : Ah tu pense pas te plaire chez nous ?

B : Si c'est pas ce que j'ai voulus dire. Mais ça va dépendre de toi aussi.

E : Comment ça ?

B : Tu as compris ce que je voulais dire.

On entendit le klaxon.

B : Bon aide moi s'il te plaît. Je vais cherché mes affaires de toilettes, va me cherché des vêtements dans l'armoire s'il te plaît.

E D'accord chef !

Je me dirigea vers l'armoire. Je pris des vêtements au hasard. Quelques jeans, T-shorts, gilets, et sous-vêtements bien sûr :

E : Ils sont jolis tes caleçons !

B : Merci ils sont nouveaux et encore plus joli sur moi.

E : Si tu le dis.

On entendit encore le klaxon.

E : Bon mes parents commencent à s'impatientés.

On se dépêcha de descendre et rejoindre la voiture.

M : Vous en avez mit du temps.

E : Oui désolé.

P : C'est pas grave, par contre ton frère s'est endormi.

L : Il changera jamais lui.

5 minutes plus tard, nous arrivons. J'aida Billy à s'installer. Ensuite on alla jouer dehors avec Lilian en attendant le diner.

M : On mange !

On rentra à la maison. On mangea dans le silence, tout le monde était fatigués. A la fin du repas, on monta dans ma chambre :

B : Ecoute je crois qu'il faut qu'on parle ce soir ?

E : De quoi ?