Eliott & Lilian : Tome 1 :Une vie mouvementée.

Chapitre 22 (1)

On sortit de lachambre, laissant Billy seul. Je resta assis sur une chaise devant laporte de la chambre. Mes parents eux, sont partit ramenés Lilian àla maison. J'étais assis sur cette chaise, la tête dans mes mains.Je resta comme ça à ressasser des tas de choses dans ma tête...Aubout de 1h30, Billy ouvrit la porte :

B : Tu peux venirs'il te plait, j'ai besoin de toi.

E : Oui mon ange, jesuis là.

J'entra dans lachambre, je m'assis sur le bord du lit, de l'autre coté que celui oùse trouve Billy, je lui prit les mains :

B : Elle a l'airtellement vivante comme ça.

E : Oui c'est vrai,mais ce n'est qu'une image.

B : Je ne sais pascomment je vais m'en sortir sans elle...

E : On est là nous,tu vas rester avec nous et tu sera bien.

B : Oui je saismerci beaucoup, j'ai peur de me retrouvé seul...face à ma tante enplus !

E : Mais tu ne serapas seul face à elle et elle ne t'aura jamais, je ne la laisseraipas faire.

B : Heureusement quetu es là.

Je le prit dans mesbras :

B : Je ne vois pasl'intérêt de la maintenir en vue plus longtemps, ca me fais plus demal qu'autre chose...

E : Oui jecomprends, attend au moins que mes parents soient rester un peu avecelle s'il te plait.

B : Oui bien sûrmais après on l'a débranche. Elle va tellement me manqué...

TOC TOC TOC

B : Vous tombezbien, je vous laissent un peu avec elle mais après je demande à cequ'on la débranche, c'est trop dur de la voire comme ça.

M : Oui bien sûr jecomprends, merci de nous laissés du temps.

Je sortis de lachambre avec Billy, laissant mon père te ma mère avec mamarraine...on attendaient dans le couloir de la chambre, assis surdes chaises, il était blottit contre, j'essayais de le réconfortémais je ne savais pas quoi dire, on resta donc dans le silence, eneffet il était 8h du matin et les couloirs étaient encore vide.Vers 8h30, mes parents sortirent de la chambre :

M : C'est bon pournous, on est prêt...

B : Moi aussi jesuis prêt...

P : Dans ce cas làje vais essayé de trouver le médecin.

B : Oui qu'on enfinisse rapidement, j'en peux plus de cet hôpital.

Mon père partit àla recherche du médecin :

M : Ca va allerBilly ?

B : Il faut bien...

M : Et toi Eliott ?

E : Oui moi ca va jetiens le coup, c'est dur mais je reste fort. Et Lilian il va bien ?

M : Quand je l'ailaisser chez les voisins il avait l'air bien, après je ne sais pasmaintenant. On verra en rentrant car il n'ira pas à l'école il n'apas dormi cette nuit.

E : J'aimeraistellement être là pour lui aussi...

Mon père revientavec le médecin :

Méd : Alors jeunehomme tu es prêt ?

B : Oui...

On entra dans lachambre. On se mit autour du lit, Billy et moi d'un coté, mesparents et le médecin de l'autre :

B : Allez y.

Le médecindébrancha les machines. Au bout de seulement quelques secondes onentendit le son long et aigu qu'on entend à la télé d'habitudequand le cœur de quelqu'un s'arrête, sauf que là c'est réel :