« CHAPITRE XII »

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« Seule. »

« CHAPITRE XII - Agression. »

Les mois passèrent et pour mon plus grands bonheurs tout ce passait très bien, Azzam avait maintenan un an et demi bientôt 2 ans In'Sha'Allah, ça passe tellement vite ! Mon petit trésor grandit.

Tout ce passait bien dans ma vie, j'étais toujours au camp pour les sans abris mais normalement dans peu de temps j'aurais assez d'argent pour me payer un appartement puis changer de boulot In'Sha'Allah.

Je m'étais rapprocher de ma cousine, on sortait souvent. J'étais aussi parti voir sa mère, ça faisait longtemps, ça m'a fait du bien de la revoir et d'avoir un peu d'affection, cette femme je l'aime tellement, elle est toute douce et gentille !

Dans quelques jours elle allait me présenter son fiancé.

Passons, actuellement il est environ seize heures et dans cinq heures je me rends au travaille.

On est samedi soir et les gens font la fête le samedi, je déteste le samedi soir, à chaque fois des gens bourrés vomissent et c'est qui qui nettoie ? Moi.

Je suis dans la salle de jeu et je joue avec mon bébé, ça fait longtemps que je n'ai pas eu de moments comme ça avec lui.

Je lui faisais des bisous, des guiliguilis, des câlins, je l'aime énormément mon petit bout de chou même si je ne le dis pas souvent ce bébé c'est ma vie.

Si il ne serait pas dans ma vie, je ne serais même pas si je serais heureuse.
Je l'aime d'un amour inconditionnelle !

J'ai fais la rencontre d'une fille, dans le camp, elle s'appelait Élise mais maintenant Amira, sa famille l'a laissé tomber car elle s'est convertie à l'Islam.

Je lui ai appris plusieurs choses en Islam, c'est une gentille fille ! Elle a 20 ans.

C'est l'heure de faire la prière, je me lave et pris.

[...]

Je sors du travaille, cette journée a été épuisante, je marchais dans la rue quand tout à coup, on me tira dans un endroit sombre je me débattais du mieux que je pouvais mais le gabarit de la personne était beaucoup plus imposant que le mien.

La personne portait un foulard au niveau du nez, on ne voyait que ses yeux verrons dans la pénombre.

Il m'allonge à terre et commence à me toucher de partout, je cris, je me débat, j'appelle au secours, il me fou une gifle, je pleure, je le griffe, j'implore Allah Azzawajel.

Il commence à me déshabiller, il l'arrache mon Jilbeb, quelques minutes après j'étais en débardeur et en culotte, il allait m'enlever mon débardeur, quand je ne le sens plus sur moi, je me relève en pleur et commence à enfiler mon pantalon.

Je vis **** entrain de se battre avec mon agresseur..

« Seule. »Où les histoires vivent. Découvrez maintenant