« Seule. »
« CHAPITRE VI - Vivre dans la rue. »
Morte de fatigue, je me retrouve quelques heures plus tard dans la même position..
Je me lève et pars voir Azzam, il était entrain de dormir dans sa poussette, le pauvre je l'ai laissé comme sa..
Je le porte lui fis boire son lait et le berça, il s'endormis donc je pris une douche, une fois fini je me sécha et m'habilla et alla dans le salon regarder un film.
[...]
Quelques heures plus tard, j'étais en cuisine quand ça toqua à la porte, j'enfila mon Jilbeb et alla ouvrir.
C'était les huissiers, je ne comprenais rien du tout, un homme me pousse et rentre, un autre homme s'en va avec mon canapé et un autre homme estimait les prix.
- Vous n'avez pas le droit d'entrer chez moi comme ça !
- Si nous avons un mandat ! - En me montrant un papier -
Je courus dans la chambre d'Azzam et le pris d'en mes bras, je pris un sac et mis deux trois affaires à lui, un autre Jilbeb et m'en alla dans le salon.
- Monsieur je n'ai nulle part où aller, je n'ai plus de maison, ne faîtes pas ça, je vous en supplie ! - En pleure. -
- Je suis désolée Madame, mais ce n'est pas moi qui décide.
Je vis un homme embarquer la poussette.
- Non pas la poussette s'il vous plaît ! - En pleure. -
Une heure plus tard il avait tout pris, mon appartement était vide.
Je devais quitter les lieux, tout d'abord je me re rendis chez mes parents pour pouvoir parler à ma mère, mais elle me renia en me traitant de tous les noms, comment une mère peut faire ça à sa fille ? Elle n'a pas de coeur ? Juste par ce que j'ai épousé un homme qui n'avait pas les mêmes racines que moi !
Par la suite je me suis rendus chez Hajar, où je me fis rejeter aussi, pas par Hajar non, par Nordine et ses parents. Les gens non donc pas de coeur.
La seule solution possible et de dormir à la rue, je me rendis près d'un pont, il faisait nuit et je fus épuiser car j'ai passer beaucoup de temps à marcher avec Azzam dans les bras et mon sac à dos.
Je m'allonga la tête sur mon sac, je couvra Azzam avec le Jilbeb de rechange que j'avais dans mon sac et lui fis boire le sein.
Puis je m'endormis le coeur lourd.
VOUS LISEZ
« Seule. »
PertualanganAprès la mort de Bassim, Aleynah se retrouve seule à s'occuper de son fils de trois mois. Sa famille qui n'acceptaient pas son mariage ne veulent plus d'elle. Sans situation, sans maison, Aleynah se battra pour son fils quitte à faire l'interdit...