Covoiturage.

Chapitre 13 (réécrit)

Jour 6:

-ESPÈCE DE.... RAAAAH! TU ME PREND LE CHOU BIEBER!

Cet idiot est mort de rire, face à moi, qui suis pleine de gâteau aux chocolats et chantilly. Comment je me suis retrouvée comme ça?
Eh bien l'histoire est toute simple, après une heure de route depuis le motel ou nous avons dormi cette nuit, nos ventres commençaient à crier famine. Nous avons alors eu l'idée de nous arrêter dans un magasin et acheter des pâtisseries. En entrant dans la pâtisserie mes yeux ce sont directement posé sur cette petite part de fondant aux chocolat recouvert entièrement de chantilly. J'ai donc choisis de prendre cette pâtisserie, sans penser qu'avec un enfant tel que Justin ce n'était pas une bonne idée. Une fois que nous vivons finis de payer nos gourmandises nous nous sommes assis à une table. Puis l'idiot blond assis en face moi à eu la merveilleuse idée de prendre mon gâteau et de me le mettre sur le visage et de me l'écraser dessus sous le regard amusé d'une famille assise à la table à côté mais aussi d'un couple de quarantenaire dont l'homme ne me lâches pas du regard et me donne froid dans le dos.

—Oh rigole un peu Jhonnson, se moque Justin en s'essuyant les mains sur la table.

—Et en plus tu en met partout sur la table. m'énervais-je. T'es un idiot fini toi! Et comment je fais moi?

—Bah tu change d'affaire et tu va dans les toilettes de derrière pour te débarbouiller la tête.

—Non, je sais ce que je vais faire, je vais ni me changer ni me nettoyer et je vais m'asseoir dans ta jolie Ferrari blanche.

Je rigole du changement de tête de Justin, il est passé du rire à livide. Il déglutit bruyamment avant de se reprendre:

—Tu ne met pas ne serais-ce un orteil tant que tu ressemble à un moelleux au chocolat géant.

—Ah bah merci pour la comparaison! m'offusquais-je. Un moelleux au chocolat géant, je rêve.

—Merde mais c'est que t'es vachement susceptible en fait.

—Non c'est juste que tu m'emmerde.

—C'est toi qui m'emmerde Hayley.

—J'ai envie de t'étrangler, et de t'arracher la tête, puis tout tes membres un part un et de les jetés à la mer ensuite.

Il me regarde choqués par mes paroles puis me scrute en cherchant la moindre trace d'ironie, mais le problème c'est que je ne rigole pas du tout. Enfin quand même, je ne suis pas une meurtrière psychopathe, ou tout autre chose d'ailleurs. Mais quand je suis avec Bieber mes instinct meurtrier remonte à la surface.

—Ok. Tu fais peur c'est officiel, rigole Justin.

Je ne lui répond pas et prend les clés de la voiture pour aller me chercher un change dans le coffre. Je me prend une longue robe rose saumon et des sandales doré, puis je pars dans la salle de bain pour me nettoyer le chocolat et la chantilly. Je me cache dans une toilette pour me changer, j'entend des pas qui viennent vers moi. J'enfile rapidement ma robe et j'ouvre la porte m'attendent à voir Justin. L'homme d'une quarantaine d'année celui dont le regard presque aussi noir que ses pupilles ne me lâchait pas tout à l'heure, les cheveux noir grisonnant, un sourire pervers accroché aux lèvres.
Mon cœur rate un battement et ma respiration se saccade, je suis devant les lavabos et le regarde depuis le miroir. Il se cale contre un mur, les bras et les jambes croisés et s'humidifie les lèvres tout en me relucant le derrière