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Une fois allongé je regardais mon téléphone j'avais un message d'une numéro non enregistrer. 

De : ~ +3375902**** ~
Aya c'est vrai que tu étais possédé ?


Je relu le message plusieurs fois en essayant de deviné à qui étais le numéro.  Personne ne le savais alors qui cela pouvait être. J'appel le numéro et après 3 sonnerie la personne décrocha enfin.



Moi - C'est qui ?

.... - A ton avis ?!

Moi - Salim comment tu le sais ?

Lui - Je suis ton frère quand même et tu ne me dis rien ?!

Moi - Tu es mon frère seulement quand ça t'arrange et je ne vois pas pourquoi je devrais t'avertir de telle chose. Et puis qui t'a dis ça ?!

Lui - Alors c'est vrai ?!

Moi - Qui te l'as dit ?!

Lui - Un gars que je connais il m'as dit qu'il était chez toi 0, il m'a raconter ce qui c'est passé... A ce qui paraît c'était chaud !

Moi - Mais pourquoi il te l'as dit ! Il ne devrait pas parler de ça a personne ! Et toi ne le répète à personne ta compris Salim ! Je n'ai pas besoin que les gens le sache.

Lui - Je l'ai dis à mes parents seulement parce que je pense que Mounji doit être au courant.

Moi - Je n'ai pas besoin de toi pour rapporter les fait de ma vie à qui que ce soit ! J'ai une bouche si je veux le faire je le ferai !



Je lui raccroche au nez et appel Sélim depuis la chambre ou j'étais il arrive immédiatement.
Je lui informé de ma discussion que je venais d'avoir avec son frère. 



Lui - Pfff c'est quoi ce bordel ! Maintenant mon père il va débarquer chez toi pour te récupérer,  ça va faire que des problèmes !

Moi - Je n'ai pas besoin de ça en ce moment, mais vraiment pas ! Déjà que le gars a dis ce qu'il n'aurai pas du dire ça m'énerve.  J'essaie de retrouver une paix en moi, et comment je peux le faire si tout le monde commence à être au courant ?!

Lui - Calme toi s'il te plaît Aya,  ça va aller tu verras plus rien ne va ce passer alors arrêté de cogiter.

Moi - Je n'y arrives pas Sélim, je n'y arrive vraiment pas et pourtant j'ai essayer. Je te jure que j'ai l'impression d'être comme une folle que personne ne comprend. Tu sais j'ai l'impression que j'ai des hallucinations qu'il peut m'arriver n'importe quoi à n'importe quel moment, que je peux mettre l'un de vous en danger comme je l'ai déjà fait... sans que je ne le sache car une chose aurai pris mon corps pour ne faire du mal ! Comment veux tu qu'avec tout ça je me calme ?


Il me regarde longuement sans rien dire. Il savait qu'au finale j'avais raison, il ne pouvait comprendre se que je ressentais car il n'étais pas à ma place.

Une fois que tout le monde avait fini de parler, nous rentions enfin à la maison. Comme me l'avais prédis Sélim un peu plutôt Mounji était chez moi discutant avec Naim. 


Naim - Elle va très bien chez moi, je prend soin d'elle !

Mounji - Non tu ne prend pas soin d'elle sinon rien de tout ça ne serai arriver ! Tu l'as laisse toute seule et toi tu travailles.

Naim - Ne m'explique pas comment m'occuper d'elle car depuis le début je m'occupe d'elle sans l'aide de personne !

Mounji - Et alors je ne m'occupe pas d'elle moi ? Et je te rappel que tu n'es rien pour elle ! Que c'est ma fille a moi.


Je rentre à ce moment je ne pouvais pas les laisser ce disputer de qui aurai ma garde.


Moi - Tu es mon père certes, mais Naim il c'est occupé de moi. Et puis je ne suis jamais seule Selim est la et parfois je ne suis pas à la maison.  Et puis tu sais j'aime bien passer du temps avec toi mais voilà Nouria... Bah elle n'est pas du même avis.

Lui - Laisse Nouria dans son coin, qu'elle le veut ou pas tu vas venir vivre avec moi ! Tu ne peux pas rester ici on ne sais jamais ce qui peut se passer et au moins à la maison il y a toujours des gens.

Naim - Laisse la décider au moins !

Lui - Pourquoi ? Je suis son père j'ai tout les droit sur elle ! Et si je veux qu'elle revienne chez moi alors elle vient vivre définitivement chez moi !

Naim - Écoute Mounji la 1 er fois que tu es venu revendiquer ton droit de père je n'ai rien dit mais cette fois ci je vais ouvrir ma bouche.  Elle ne se sent pas bien chez toi alors elle restera ici !

Mounji - Je te jure qu'elle reviendra vivre chez moi ! Et si tu ne veux pas la justice sans chargera. 


Je regardais Naim puis Mounji. Il avait l'air très sérieux lorsqu'il avait dit cela. Le tribunal mais pourquoi ? Je ne voulais vraiment pas vivre chez lui à cause de Nouria,  je n'avais rien tout le temps que j'allais chez eux mais maintenant je ne pouvais plus me laisser faire.
Et si on aller vraiment devant la justice et que Mounji gagner ma garde ?
Mais j'ai 18 ans je suis majeur et livre de faire ce que je veux.


Moi - Le tribunal ne fera rien ! J'ai 18 ans je suis majeure donc je reste avec qui je veux et même si je veux être indépendante je le serai. Mounji sa ne sert à rien je ne viendrai pas vivre chez toi et tu connais les raisons.  Je suis bien ici mais si vous vous comportez comme ça je vais chez quelqu'un d'autre !


Ils m'avaient tout les 2 regarder.  Mounji était sorti de l'appartement en claquant la porte.  Je vais dans ma chambre suivit de Sélim. 


Lui - Des vrais gamins tout les 2 !

Moi - C'est quand même grave d'en arriver là ! Je suis désolée pour ta maman...

Lui - Pourquoi tu t'excuses ? Elle n'as jamais était sympa avec toi, elle t'as toujours insulter de la pire des façon tu as le droit de lui en vouloir ! Tu sais moi aussi quelque fois je la déteste... Même si c'est ma mère...

Moi - Dis pas ça ! Tu l'aimes quand même ?

Lui - Quand j'étais petit mais plus je grandis et plus je vois du vice en elle. C'est ce genre de femme que je ne pourrai épouser !



Le silence régnait après sa dernière phrase.  Nous étions coucher sur mon lit à regarder le plafond.

Le nuit était tombé je n'avais pas faim et le sommeil n'arrive toujours pas. Je pris un médicament pour m'aider à m'endormir. 
Après quelque temps le sommeil me prit.

Durant cette nuit je me sentais bizarre. Je me sentais étouffer, compressé.  J'avais du mal à respirer. Je n'arrivais plus a bouger et quand J'ouvris les yeux j'avais mal au coeur.  Une douleur tellement affreuse que J'ouvris la bouche pour crier mais aucun son ne sorti de ma gorge.
La douleur augmenta de plus en plus, mes larmes coulèrent, j'essayais de me calmer de reprendre mon souffle mais c'est comme si quelque chose appuyer sur ma poitrine. Je me sentais partir petit à petit...

Trou noir.

Pour Toi MamanOù les histoires vivent. Découvrez maintenant