the ballet shoe

chapitre 38

IMPORTANT:
Ce chapitre est un lemon, je ne vais pas vous faire un dessin vous connaissez le topos, NE LISEZ seulement si vous etes confortable avec ce genre de scenes. Ensuite je tenais à remercier la merveilleuse RoseMarini pour ce chapitre (je ne me sentais pas à l'aise avec l'ecriture du lemon, et comme je voulais qu'il soit parfait j'ai fait appel à ses super dons d'écriture! passez sur son profil ses fictions sont incroyables.) Sur ce, bonne lecture 😏💞

PDV PINA

Comme à chaque fois que je passe du temps avec lui je me sens vivante. J'oublie la pression de mecs études et je vis. Assise sur le lit, ses bras m'entoure de manière protectrice. Je me sens tellement bien. Je respire son odeur. Je m'en imprègne au cas où un jour elle disparaît.

Je suis tellement perdue dans mes pensées qu'il me faut un moment avant de me rendre compte qu'il dépose plusieurs baisers légers dans mon cou. Mon dos appuyé contre son torse ma main cherche l'arrière de son cou pour l'inciter à continuer cette pluie de baiser qui m'asssaille.

- J'ai tellement envie de toi Pina ... - me susurrât-il dans les oreilles d'une voix suave et provocante.

Cette simple provoqua chez moi des effets insoupçonnés. Ces six mots me firent vibrer toute entière. C'était aussi comme-ci la température avait augmentée d'une trentaine de degrés d'un seul coup. Mon pouls s'accélère aussitôt.

De manière maladroite je quittai le confort de ses bras pour me retourner et lui faire face. Il était appuyé sur la tête de lit et m'interrogeait du regard ne sachant pourquoi j'avais bougé alors que nous étions si bien installés. Je respirai profondément alors que je me perdais dans son regard.

Après une dernière inspiration remplie de courage je lançai :

- Je veux que tu fasses de moi une femme.

Il me regarda totalement incrédule.

- Pina ... - soufflât-il – Je n'ai pas dit ça pour précipiter les choses. Je-

Je lui coupai la parole en l'embrassa pour le faire taire.

- Je me sens prête ...

Il me regarda intensément dans les yeux pour s'assurer que je ne mentais pas et me renversa en arrière. Son corps était planté au-dessus du mien et nous nous embrassons frénétiquement. C'était des baisers approximatifs qui firent monter la température entre nos deux corps déjà haletant. Pendant qu'une de ses mains était mêlée à mes cheveux l'autre faisait inlassablement le même parcours de mes cuisses à ma poitrine. Quand celle-ci, baladeuse et avide de découvrir d'autre partie de mon corps passa sous mon [haut/robe], je ne pus m'empêcher de frissonner. Le contact de sa peau sur la mienne de cette manière dévoilait de toute nouvelle sensation. Je détournai le regard et lâcha un léger gémissement quand cette mains toujours aussi impertinente commença à jouer avec un de mes seins.

- Regarde-moi Pina ... - dit-il en encadrant mon visage avec une main et en me forçant à détaillé chacun de ses mouvement.

Il se releva et enleva son t-shirt. Mes yeux se perdirent en contempla son corps parfait, ses abdos dessinés, ses pectoraux striés.

Je me releva légèrement pour lui réclamer un baiser. Il m'embrassa rapidement et d'un seul geste son sweat que je portais toujours et mon débardeur furent jetés au sol.

Je ne pus m'empêcher de rougir quand je me retrouva quasiment nue en face de lui. C'était la première fois qu'un homme me voyait aussi dénudée. Instinctivement je croisa les bras sur ma poitrine pour me cacher un temps soit peu.

- Pina tu es magnifique. Ne te caches pas.

Il attrapa mes poignets pour reposer mes mains le longs de mon corps. Toujours assise en tailleur en fasse de lui il embrassa mes épaules tout en descendant les bretelles de mon soutient gorge. D'un seul geste, d'une seule main il enleva les agrafes qui retenaient mon soutient-gorge et le fis tomber avec les autres vêtements.

- Détends toi s'il te plait .... Ça va aller Pina ...

J'aimais la façon qu'il avait de prononcer mon prénom. D'énoncer chaque syllabe.

Il me fis tomber en arrière et son corps surplomba le mien.

J'allais être à lui. Totalement à lui. Dans quelques instants il allait me posséder.

Étais-je heureuse ? Avais-je peur ? Allais-je regretter par la suite ?

À vrai dire je m'en foutais !

Là, en ce moment-même je ne voulais que lui.

J'encercla sa nuque avec mes mains et je l'attira près de moi pour l'embrasser. Cette fois-ci c'était moi qui menait le baiser. C'était moi qui l'intensifiais à ma guise tout en caressant ses omoplates, son dos.

Toujours en s'embrassant mais maladroitement j'essaya d'enlever sa ceinture. Voyant que je galèrais il se redressa et ôta son pantalon lui même.

Prise dans le feu de l'action je tira sur l'élastique de son caleçon et le baissa jusqu'à mi-cuisse. Il se débrouilla pour l'enlever totalement. Je pu m'empêcher de rougir à la vue de sa masculinité. Il en profita pour tendre le bras jusqu'à la table de chevet et attrapa un préservatif qu'il enfila. Rapidement et vue ma gêne, il revint collé son torse au mien et me déposa une ribambelle de baiser allant de mon lob d'oreille à mes lèvres. Il son tintant ensuite ses baisers humides sur mon menton puis dans mon cou. Il savait que j'y étais très sensible et pris à malin plaisir à me décrocher quelques gémissements grâce à sa langue habile.

- Ashton ...

Je le réclamais. Toujours encore un peu plus. C'était plus fort que moi.

Il descenda ses baisers sur ma poitrine. Là d'une main il commença à ploter un sein pendant que sa langue toujours aussi habile joua avec le téton de l'autre sein. Je découvrait de nouvelle sensation que je ne pouvais à peine m'imaginer. Je ne savais pas du tout qu'on l'on pouvait ressentir autant de plaisir au niveau de cette partie du corps.

Je gémissais de plus en plus fort rien qu'à son toucher.

Sans que je m'en rende compte il glissa sa main dans ma culotte et commença à caresser mes lèvres inférieur. C'était de long et lent mouvement. Puis il commença à faire des petits ronds au niveau du clitoris qui me firent presque hurler de plaisir.

Rien que le fait de l'imaginer lui en train de me faire tout ça me faisait gémir. Hâtivement il fit glisser ma culotte à mes chevilles. Sa bouche lâcha mon sein et ses lèvres revinrent de droit aux miennes.

- Si ça ne va pas tu me le dis. Si tu as mal tu me le fais savoir babe.

Je hocha la tête incapable de lui répondre quoi que ce soit. Je savais qu'une seule chose. J'étais prête.

Doucement il rentra sa verge en moi. Je pensais que j'allais hurler de douleur mais non. Rien. Certes ce n'étais pas très agréable mais ... Rien d'insoutenable. Il me fallut quand même un petit moment pour m'habituer à lui mais ce fut fait très vite.

- Ça va ? - me chuchota-y-il à l'oreille.

Une nouvelle fois je hocha la tête. Alors il commença à faire des lents et longs mouvements. Au début je grimaça et une larme vint couler le long de ma joue mais rapidement des gémissements prirent le relais.

Ses vas-et-viens toujours précis furent de plus en plus rapidement. Je gémissais son nom tout en m'agrippant à son dos.

Plus il continuait plus je gémissais de plus en plus fort. Lui, dans un gémissement fort nous atteignîmes l'orgasme. Il resta sur moi un moment pendant lequel il continua à faire quelques petits mouvement de bassins lents tout en m'embrassant. Il finit par se retirer de moi et s'allongea à mes côtés. Il retira le préservatif et le jeta dans la poubelle juste à côté.

D'un coup le sommeil s'empara de moi et comme dans les films je m'endormais dans ses bras, épuisée