Chapitre 14 : Doutes ?

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PDV Michael


[Mercredi, 8h50, au studio, Mexico]


-Quoi ?!  _M'écriais-je choqué.

-Putain Mike baisse d'un ton !  _S'affole Agus en regardant autour de lui si des personnes nous observe.


En même temps comment ne pas crier en apprenant que mon meilleur ami a avoué à Valentina qu'il était amoureux d'une fille mais il ne lui a pas que c'était elle justement cette fille !


Franchement il faut vraiment être débile, c'était l'occasion parfaite pour tout lui avouer mais bien entendu, cet idiot n'a pas osé. Il m'exaspère...


-Mais qu'est-ce que tu attendais ? Tu aurais du lui dire que c'était elle Agus !

-C'est pas si simple et baisse d'un bon sang !  _S'agace l'argentin.

-Pfff, avec toi c'est toujours compliqué de toute façon...  _Baissais-je le ton.

-Elle me conseille de ne pas l'oublier mais si elle savait que cette fille c'est elle, Vale ne me dirait pas la même chose.

-Qu'est-ce que tu en sais ? Tu n'es pas dans sa tête.

-Je le sais c'est tout.

-Elle n'était pas un peu jalouse ?  _Lui demandais-je.

-Non, elle était heureuse pour moi, tu vois, c'est une preuve de plus Mike !

-Une preuve de quoi ?  _Je plisse des yeux.

-Bah que je ne l'intéresse pas quoi.

-Tu m'exaspères bro.   _Je soupir désespéré.

-Il faut que j'essaye de savoir si Vale est amoureuse d'un garçon.

-Pourquoi ?  _L'interrogeais-je étonné.

-Si jamais elle n'aime personne, je pourrais peut-être lui avouer mes sentiments.  _M'explique-t-il pas vraiment sûr de lui.

-Tu es sérieux ?  _M'étonnais-je.

-Je crois...

-Enfin ! Tu prends une bonne décision mon pote !  _Souriais-je.

-Pour toi c'est facile ! Tu es amoureux de Karol et c'est réciproque ! J'aimerais tellement que ça m'arrive.

-Je ne suis pas encore amoureux d'elle et elle non plus.

-Comment tu peux le savoir, tu es dans sa tête ?  _M'imite-t-il en arquant un sourcil.

-Touché.  _Souriais-je.


On décide de rejoindre le gymnase car ça va être l'heure du cours de patinage.




...




Une fois que nos patins et tout le reste de notre équipement sont enfilés, on profite de l'absence de notre professeur pour pouvoir commencer à s'échauffer.

La réalité a dépassé la fiction [𝐌𝐢𝐜𝐤𝐚𝐫𝐨𝐥]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant