Chapitre 18 :

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"Tu es partout. Même quand tu n'es pas là, tu es là quand même." 


Malgré le petit vent glacé qui me rappel que nous sommes dehors ne m'empêche pas de le laisser continuer. Non, la seule chose qui m'a permise de tout arrêté est la voix d'un de ses amis cherchant Skender...

- Wesh frère t'es où ? 

Surprise et à la fois paniqué je me suis rapidement séparé de Skender qui s'apprêtais à ouvrir le bouton de mon jeans et je m'étais empresser de remettre ce bouton comme il le faut et de prendre un air normale lorsque son imbécile d'amis est rentré dans le coin. J'ai le cœur qui fais du cent à l'heure et son amis nous regarde comme si nous venions de...peu importe.Je regarde Skender qui semble pas si gêné et je me demande si c'est dans son habitude. Pour éviter de me faire des films, j'essaye de reprendre mes esprits et de réellement faire comme si de rien était et je m'assois juste en face de Skender tandis que son ami lui demande : 

- Tu veux venir fumé ? 

Skender lui répond que non, qu'il n'a pas le temps et contente de sa réponse je souris. 

- Aller Kinder! Depuis quand tu refuses une clope ? Insiste son ami qui est un grand, peau mâte avec un gilet rouge. 

Qu'est-ce qu'ils ont tous à porter des fringues hyper voyant ? 

- Non mec, désoler, je dois faire d'autres choses. 

- Certaines choses ? Avec cette fille, c'est ça ? Demande-t-il en me regardant. 

- Ouais. 

- Attention Skender pecho! Lâche-t-il. 

- Aller vas-y dégage! Va fumer sans moi! Le jette Skender agacée. 

Il râle et finit par sortir sous l'emprise de Skender. Je reste assise en attendant qu'il revienne s'asseoir et j'en profite pour reprendre ma respiration, car oui, je ne m'en suis encore pas remise. 

- Je suis désoler, mes amis sont un peu lourd. Dit-il en revenant vers moi. 

Je souris et répond : 

- Ne t'inquiète pas. Tu sais, si tu voulais y aller, fallait y aller. 

- Et louper tes baisers ? Jamais. Dit-il. 

Je souris gêné mais très  flattée et Skender me dis : 

- Et si on allait marcher un peu ? 

Soulagé qu'il ne poursuis pas sur ce que nous nous apprêtions à faire, j'accepte et nous partons faire un tour. 


                                                                                                           ***

Instinctivement, je regarde autour de moi. C'est comme ça. Je déteste rentré seule le soir, quand il fais froid et presque nuit. J'ai finis les cours le plus tard possible et j'ai du passer chez une amie d'enfance pour lui déposer quelques affaires. Bref, je me retrouve à rentré à pied jusqu'à chez moi. Je sors mon portable pour regarder si je n'ai pas de messages et lorsque je m'aperçois que non, je le range et me met à pensé à Skender et cette agréable journée. Il a été tellement... tellement géniale aujourd'hui. Cela me perturbe presque. J'ai du mal à le voir comme un garçon "romantique", je le vois plutôt du genre à me dire "wesh azy" quand je lui prend la tête. Quoique, finalement, on ne s'est encore pas vraiment pris la tête depuis. Mais peu importe, je vais arrêter de me poser trop de questions et essayer de profiter un maximum. 

Attirance fatale. Saison 1.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant