Extra ~ PDV Yami

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Je m'appelle Yami, né le 14 décembre près de Kingston, 21 ans.
J'étais en faculté de médecine avant que cet enfer ne commence.
Depuis quelques mois, la terre s'est transformée en une partie indéterminée de survie. Lors de la découverte de ces "monstres", j'étais en train de me faire agresser par deux crétins de ma faculté pour que je fasse leur travail. On était aux toilettes et ils menaçaient de me frapper si je ne les aidais pas quand soudain un professeur avait surgit. Il s'est directement dirigé vers les lavabos sans réagir face à la scène qui se présentait à lui. Ce professeur semblait avoir des difficultés respiratoires, il dégrafa sa chemise, se passa de l'eau sur le visage et se regarda attentivement dans la glace. Les garçons me poussèrent pour que j'aille voir le professeur de plus près et lui demander ce qu'il se passait. Je m'approcha donc de l'homme l'observant attentivement, il avait les yeux d'une rougeur hallucinante et sur sa peau ses veines étaient plus que visibles. Sans même que je l'interpelle, il se retourna brusquement vers moi et criant :
-" CHAIR ! DONNES MOI TA CHAIR !"
Il sauta sur moi, j'eu uniquement le temps de me décaler et de prendre l'extincteur à côté de moi pour l'ouvrir sur lui.
-" Bordel il se passe quoi là ?! " criais-je sans réfléchir.
Les garçons sortirent de leurs cachette et me regardèrent bizarrement.
-" Oh tu sais te battre toi ? Reste avec nous un peu on va aller dire ce qu'il vient de se passer, t'as intérêt à fermer ta petite gueule de con, t'as compris ? " s'exclama le plus jeune, Matt. Sans que j'eu le temps de répondre le plus âgé, Ryu m'attrapa et m'extirpa hors des toilettes et m'amena vers le bureau de la direction.
Dans les couloirs, le silence régnait. Soudain une fille de la classe d'un ami débarqua, elle avait les mêmes yeux rouges sang et les veines apparentes que le professeur, elle s'approcha de Ryu en criant.
-" Faim... J'ai... FAIM ! DONNES MOI TA CHAIR ! "
Les mêmes paroles, j'eu juste le temps de lui coller une droite avant qu'elle ne morde Ryu.
-" Oh Yam' tu nous caches des choses ! Bordel il se passe quoi ?!
- Ferme-la." Lui répondis-je
- Mmh ouais, en attendant Merci ..."
La première fois qu'un molosse s'excusait. J'y croyait pas.
Le temps que je comprenne ce qu'il venait de se passer, un groupe d'élèves avec un professeur se dirigèrent vers nous, ils avaient la même teinte que les autres et semblait tous livides. Ils commencèrent à courir vers nous, Matt cria, paniqué:
-" LES GARS ON FAIT QUOI MERDE ?!
- La bagnole, vite ! " Je lui avais répondu sans réfléchir.

Bon le temps qu'on comprenne que le monde que nous avions connu était mort, j'eu le réflexe de m'arrêter chez moi avec la voiture et de prendre des choses avec des provisions qui pourraient nous être utiles. Les garçons avaient décidés de me garder, à cause de mon talent au combat mais surtout pour ma capacité à prendre rapidement les bonnes décisions. Ma seule envie était de rester avec eux... Mais bien sûr...! Bordel c'était la fin du monde et je devais me taper les plus gros crétins de la fac.
Nous avions roulé pas mal de temps, écoutant les appels radio de l'armée ordonnant à tous les citoyens de se mettre à l'abris. Puis vint le moment où on se retrouva comme des cons sans essence.
-" Super le génie t'avais pas prévu ça hein ! "
Matt me gueula dessus.
-"Tais toi, si il y en a ici ils vont nous entendre. On marche maintenant c'est tout."
Je lui répondis de la manière la plus froide au monde.
Après quelques heures de marche et des gémissements incessant des deux crétins, les appels d'une voie feminine nous interpella.
Ryu courra vers elle et lui sauta dessus en lui disant :
-"N'hurle pas inconsciente, ils vont nous entendre ! "
Au moins il avait compris quelque chose mais son instinct animal le rattrapa et il ne pu s'empêcher de la reluquer avec Matt . Quelle bande d'idiots.
Je ne la regarda pas, et tourna mon regard ailleurs me perdant dans mes pensées. Je n'eut​ pas le temps de comprendre, qu'un zombie nous attaqua. Par chance cette jeune fille eut le parfait réflexe de nous sauver la vie. Ryu la força à venir avec nous pas la suite et par mon plus grand étonnement, elle accepta.

Ça devait faire quelques semaines que Lissa nous avait rejoint. C'était une fille intéressante, pas comme toutes les autres, elle m'intriguait et je dois avouer que ça ne me dérangeait pas, car en plus d'être différente, elle était d'une beauté à couper le souffle et, je savais très bien que les garçons n'allaient pas tenir longtemps avant de vouloir se la faire.

Le temps passa et je me retrouvait seul avec elle, par le fait d'une attaque, dans des ruines lors d'une nuit. À cause de l'attaque, elle fut quelque peu dénudée... Sa peau semblait nacrée grâce aux rayons de la pleine lune, ses yeux brillaient et ses cheveux d'une longueur incroyable chutaient sur ses épaules habillant son corps .. À la regarder de plus près c'était vraiment une magnifique femme.. jamais de ma vie je n'avais détaillée une femme comme ça du regard mais elle ... c'était plus fort que moi. Elle s'est endormie sur moi, elle était frigorifiée même si je lui avait passé ma veste. Sa peau frissonnait et donnait un rendu terriblement sensuel à mes yeux, ses courbes, sa pause, son cou s'offrant à moi me montrant quelques grains de beauté qu'elle avait. Au delà de l'apparence physique, cette fille éveillait en moi quelque chose que je n'avait jamais connus auparavant. Avant que je ne perde mes esprits, je m'endormi, la serrant force contre moi pour qu'elle se réchauffe.
Le lendemain matin, les rayons du soleil se reflétaient sur son doux visage laissant briller d'avantage sa chevelure d'or et ses magnifiques yeux bleus. N'ayant pas beaucoup dormi, je persistais à vouloir dormir, alors qu'elle, elle essayait par tous les moyens de me faire lever. Elle vint même à me toucher la joue à répétitions avec son indexe, je me tourna donc dans l'autre sens pour qu'elle arrête. Je l'énervais, je la faisais marcher la pauvre mais je dois avouer que c'était plutôt drôle. Quelques minutes passèrent lorsque qu'elle se mit à califourchon sur moi, cette acte ne me dit pas lever moi mais par contre il réveilla très clairement mon attribut le plus précieux, j'étais tellement gêné que je posa mes mains sur ses hanches et sortit avec le ton de voix le plus clair que je pouvais avoir :
-" Tu sais que ce n'est pas une position très appropriée n'est-ce pas ? "
Le rouge lui vint au joues et elle perdit toute son assurance, elle était à croquer.
Vint le moment où nous devions partir, l'idée de retrouver les garçons ne m'enchantais pas, mais alors vraiment pas. Je redevins froid sans même m'en rendre compte.
Une fois de retour au camps les deux abrutis étaient encore là. La journée passa, une longue discussion se fit sur notre changement d'emplacement puis le repas du soir arriva. Une "dispute" se fit entre Lissa et Matt. Elle partit d'une vitesse incroyable vers sa tente. J'ai attendu un peu avant de la rejoindre il devait être vers 3h du matin. Elle semblait troublée.. Matt l'avait vraiment remontée en voulant lui demander si elle avait déjà eu des expériences avec les garçons. Une conversation se fit entre elle et moi. Elle est beaucoup trop gentille et se laisse faire trop facilement.. Je du lui dire la vérité..
- "Il veut juste baiser! Rend toi à l'évidence, t'es seule parmi troi garçons! Ouvre les yeux ma belle ..."
Elle baissa les yeux au sol et s'allongea sur son sac de couchage. Une folle envie me prit soudainement, je me mis au dessus d'elle en lui immobilisant les mains au dessus de la tête et lui bouchant la bouche avec une de mes mains, qu'est-ce que je venait de faire ? A mon étonnement elle se laissa faire.. D'horribles pensées envahirent mon esprit, si elle se laisse faire avec moi, qu'est-ce que ça sera avec les garçons ? Je lui expliquai donc qu'elle devait faire attention à elle et me retirai d'elle puis sorti de sa tente.
En tout cas, si je ne lui plaisait pas, moi j'avais bien la confirmation de par mon attribut qu'elle me plaisait aussi bien mentalement que physiquement

ApocalypsyaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant