Vengeance d'une femme

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17.

Ces mains épaisses et dures empoigne mes fesses. Ses lèvres ne cessent de m'embrasser avec envie. Je voulais le sentir en moi et qu'il gémit mon nom.

Je descend ma main et baise sa braguette. Il grogne contre mes lèvres.
Il me pénètre violemment. Ces vas et vient nous font crier de plaisir. Depuis si longtemps j'attends cela le sentir en moi. Il et bien meilleure qu'avant.

Je l'ai toujours voulu, et encore plus maintenant. C'est lui seule que j'ai aimé depuis notre rencontre à Paris. Assia l'aime je le sais mais il finir avec moi ! Avec moi ! Il m'aimera plus qu'il aime, je lui donnerais ce qu'elle ne lui donne pas mon entre cuisses.

ASSIA

- Comment allez-vous Assia ?

- Bien ! Non très bien même.

- Heureux de l'entendre ! Êtes-vous vous prête ?

- Oui je lui suis.

- Êtes-vous stressée à l'idée de retrouver votre vie ? Votre famille ? Vos amies ? De reprendre l'école ?

- Je suis très heureuse de savoir que je vais retrouver ma famille, ils me manquent tellement surtout ma mère ! Ces mots doux, ces baisers me manque terriblement !

- D'après ce que vous me dites vous êtes proche vous et votre mère ?

- Oui très elle me manque énormément docteur !

Dis-je d'une voix cassée, une larme coule sur ma joue chaude.

- Vous allez bientôt la retrouver mademoiselle El Arouï.

- Oui, sa me tarde qu'elle me sers contre elle.

- Votre départ et programmé pour demain matin. Une ambulance viendra vous chercher.

- D'accord.

- Une infirmières vous donnera votre ordonnance et la date de notre prochain rendez-vous.

- D'accord docteur.

Il m'ouvre la porte, me sert la main.

- Prenez soin de vous Assia.

- Merci, prenez soin de vous docteur.

Je rejoint Anir dehors, je m'assois à ces côtés. Il semble préoccupé.

- Alors ?

- Anir : Toi d'abord !

- Je pars demain.

Il se retourne et me regarde longuement. Ces yeux son d'un marron noirâtre, ce qui fait tout son charme. Ses doigts fin se baladent sur mon visage, des frissons me traversent.
Je pose mon visage au creux de son cou chaud. Il m'enlace contre lui, les battements de son cœurs son réguliers.

- Tu vas énormément me manquer Anir.

- Anir : C'est vraie sa ?