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Anissa El Kasmi son point faible, sa souffrance. Mon arme !

Elle n'a que des femmes en amies à l'exception de Samir. Sa a était tellement simple de la trouver, il n'y pas quarantes miles Anissa El Kasmi dans ma ville. Un compte accessible à tous.

Mon profil et un profil vide j'ai juste mes amies proches, je n'ai même pas mes soeurs et frères en amies. Je la demande en amie, il faut qu'elle m'accepte à tout prix !

Facebook un réseaux sociaux que l'on peux utiliser à sa guise, ils sont tellement naïf les jeunes d'aujourd'hui ! Ils se confient derrière un écran au bout d'un mois de connaissance. C'est du virtuel, comment peut-on ce confier à une personne à travers un écran ? Comment peut-on ? Certaine personne trouve sa banal, normal ! La confiance doit être gagnée en années non pas par quelques messages !



Elle à l'aire si gentil et douce sur sa photo ! Elle porte le voile, son visage et illuminée. Elle semble heureuse.

Première étape la mettre en confiance, tater le terrain.



Deuxième étape la rencontre.

Troisième et dernière étape le bourrage de crane.

Je me couche le sourir aux lèvres.



Mercredi, 8h24.

Je me réveille. Je me sens bien, je me sens revivre. Sa ne s'explique pas, je me sens une autre personne qui veux être entouré de haine, de mal pas n'importe quel mal un mal qui détruit je veux voir souffrir tout le monde. Qu'ils leur arrivent des malheurs.

Elle ne ma toujours pas accepté cette idiote.

Je me change, je porte un jogging noir et un sweat large noir aussi. Mes cheveux sont lâchés, ils m'arrivent au bas du cou. Sa me change, quant je me regarde je ne vois pas Assia mais une autre personne.



Une personne qui veux en faire baver à tout le monde. Une personne au coeur de marbre. Une personne que rien ne touche, même la mort.

Assia, perdue à jamais.

Ils me fixe comme un bout de viande, comme une oeuvre d'art incompréhensible. Ils sont là, la bouche grand ouverte.

- Il y a un souci ?

- Samira : Tes cheveux ?

Dit-elle choquée les yeux grand ouvert.

- Et ?

- Samira : Pourquoi tu as fais sa ?

- Sa te regarde ? Non !

Je me rince le visage avec l'eau froide, un frisson froid m'envahit. Sa m'appaise de sentir l'eau froide sur mon visage.J'ouvre le frigo sous leur regard, je prend un yaourt nature. Je m'assoie en face de Hakim.

- Hakim: Ça va ?

- Oui.

J'entame mon yaourt nature sans goût.



Vengeance d'une femmeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant