19.
Je m'assieds entre eux, Issam et très proche de moi cela me mets mal à laisse. Un silence de mort règne dans la salle à mangée. Personne ne parle, personne ne dis un mot. Personne.
Je me sers un délicieux vert de thé à la menthe et un mille trou au miel. Le thé se disperse dans mon estomac me réchauffant, je croque dans le mille trou au miel délicieux, vraiment délicieux.
Hakima me sourit timidement, elle porte une odieuse robe rose.
- Cette robe te va à ravir.
Dis-je avec d'un sourire bien plus qu'hypocrite. Cette idiote me remercie avec un sourie d'espoir.
Je regarde la femme m'ayant mis au monde. Elle porte toujours cette expression de non désire quand elle pose ces yeux sur moi. Je lui sourie, elle grimace.
- J'espère que ta main et toujours souffrante ?
Samira ricane suivi de ma putain de génitrice.
- Non pour ton plus grand regret maman !
- Fatima nous avons parler de ce sujet ! Fou lui la paix bon sens !
- Papa elle ne fait que prendre de mes nouvelles. Et je me porte bien.
- Tu as beaucoup de travail à rattraper.
- Oui je sais papa. Plus tard j'irais voir Lina.
- Issam pourrait t'accompagner.
Suggère mon père.
- Sans façon je connais le chemin puis il doit avoir autres choses à faire.
Issam me regarde et fronce les sourcils pour exprimer la colère qu'il ressens à mon égard. Il saisit ma main sous la table, et entremêle nos doigts. Il me caresse le poignet de son épais pouce, son touché me procure des frisons dans le bas ventre.
Je saisit mon verre de thé tiède, me lève enfin de le remplir à nouveau. La fume du thé s'évapore sur le haut de mon visage. Je trébuche, le verre de thé chaud se renverse sur Issam.
Il se relève brusquement, j'approche ma bouche de son lobe.- Ne me touche pas. Ne pose plus tes sales pâtes sur moi. Compris ?
Je sens son souffle chaud sur mon cou, sa respiration s'affole. La mienne et régulière.
- Sale andouille tu ne sais pas faire attention ! Issam mon fils pardonne nous son comportement.
- Ce n'est rien tatie elle n'a pas fait exprès.
Dit-il en souriant. Il me regarde avec peine un court instant.
- Samira ma fille accompagne Issam à la salle de bain pour qu'il puisse ce nettoyer.
Elle jubile sourire au coin. Tout deux partes à la salle de bain. Nous finissions de déjeuner dans un calme absolue. Mon père ne fait que me sourire. Il m'agace.
Hakima et moi débarrassons la table.
- Comment ce passe tes cours ?
- Hakima : Je m'en sors.
- Tant mieux ! Si ta besoin d'aide n'hésite pas !
Je me dirige à ma chambre, rentre dans celle-ci. Attrape un vieux jeans délavé et une chemise bleu, enfile une paire de basket noir.
Je sors de la maison, le soleil m'aveugle. Je souris, le soleil me réchauffe. Je marche, et profite du soleil.
Plus je me rapproche de son habitation plus mes battements de cœur s'accélère. Faite qu'il ne soit pas la. Je toque deux fois fermement. Quelques secondes plus tard Lina m'ouvre toujours aussi ravissante et magnifique avec son sourire. Elle me saute dessus et enroule ses bras tout autour de ma taille. Son parfums à la noix de coco me piquent les narines. Elle me détache sourire au lèvres.
- Lina : Assia où était tu passés ?
- J'étais chez une tante !
- Lina : Non la vérité !
Insista telle.
- Je n'ai pas envie d'en parler. Tu es toute seule ?
- Lina : Rentre rentre ne reste pas dehors. Non ma mère et Lina sont la.
- Je repasserai plus tard.
- Hors de question !
Elle me prend par le bras et me traîne à sa chambre. Nous rentrons dans celle-ci. Lina ferme la porte derrière elle. Nous nous asseyons sur son lit.
- Lina : Raconte moi tout, je veux tout savoir.
- Il n'y a rien à dire Lina.
- Lina : Aller ne fait pas ta cachotière.
- N'insiste pas s'il te plaît Lina.
- Lina : Bon d'accord.
Dit-elle en tirant la tête.
- Ne boude pas. Alors avec Nacer ?
- Lina : C'est terminé !
- Quoi ? Tu es sérieuse ?
- Lina : Il était obsédé par une chose qu'il ne voulait pas me dire. Il passer son temps à me crier dessus, j'ai préférer arrêter.
- Je suis désolé.
- Lina : Tu sais Assia il me manque.
Sa tête se pose sur ma cuisse, je lui caresse les cheveux.
- Bref changeons de sujet. Parlons des cours.
- Lina : Tu as beaucoup de chose à rattraper. Je te souhaite bon courage.
- Vraiment ?
Dis-je en larmoyant.
- Lina : Aller au travail.
Nous avons travaillées plus de trois heures. Je suis complètement morte de fatigue. Je m'apprête à prendre la ruelle m'amenant chez moi lorsque une mains épaisse et froide m'attire. Ma tête ce tape sur un torse dur. Je lève les yeux et rencontre son regard noir.
Voter et Commenter.
______
Merci.
@coeur_solitaire
![](https://img.wattpad.com/cover/65113063-288-k280454.jpg)
VOUS LISEZ
Vengeance d'une femme
RomanceQuand on la blesse, sur le moment elle ne dit pas un mot. Assia prend son temps pour agir. Elle encaisse en silence comme elle la toujours fait, mais en silence elle prépare soigneusement sa vengeance. Elle n'a plus rien à perdre ! TOME II _______...