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Je me lève brutalement, la tasse chaud me glissent des mains. Un bruit assourdissant résonnent dans la salle, des bouts de verre noir décore le sol blanc brillant.

Tout les regards sont posés sur moi. Les mains tremblantes je cours aux sanitaires bousculent une dizaine d'individus. Je balbutie un faible désolé.

Je rentre dans les première sanitaires, je m'écroule contre la porte en bois. L'odeur me retourne l'estomac, une boule se forme au fin fond de ma gorge.

- Je n'ai pas le droit de pleurer !

Les larmes coulent le long de mes joues chaudes, je les essuient avec furie. Je m'interdis de verser une larmes pour eux. Je me l'interdis, ils ne méritent pas une perles salées.

Je me relève avec difficulté, je me tapotes soigneusement les paupières inférieures. Je respire et expire un bon coup.

- Tout va bien Assia.

J'ouvre la porte et prend le couloir m'amènent à la salle principale. Je lèvent les yeux, Nacer et adossé au mur. Je l'interpelle.

- Nacer : Ça va ?

Me demande-t-il avec inquiétude.

- J'ai eu une remontée d'acidité.

- Nacer : Tu veux que l'on passent à la pharmacie.

Je lui sourie, sa me touche qu'il s'inquiète pour moi.

- Non pas besoin.

- Nacer : Tu es sûre ?

- Oui Nacer ! On peut partie d'ici s'il te plaît ?

- Nacer : Si tu veux.

Nous sortons du café, le soleil nous ébloui. La chaleur humaine se fait ressentir, l'odeur de fast-food mélanger à la transpiration.

Nous marchons tranquillement dans les rue de la ville rose. Nous parlons et rions comme avant. Je suis heureuse à cette instant. Vraiment heureuse.

- Nacer : On va passer un marché toi et moi ?

- Un marché sérieusement ?

- Nacer : Ouais un marché !

- Aller j'écoute ta connerie.

Dis-je en riant, il me donne une tape à la tête.

- Et !

- Nacer : Écoute et ferme la !

Je souffle de mécontentement, il rit.

- Nacer : À partie d'aujourd'hui tu vas tout me dire ! Dès que tu as besoin de parler ou bien de quelque chose tu me le dis ! Tu es ma petite sœur Assia.

C'est bien la première fois que je le vois aussi sérieux. Il et autoritaire dans ces dires. Ses paroles me rassures et me touches.

- Merci, je ne sais pas quoi dire.

- Nacer : Ne dit rien, je veux juste que tu le sache.

- Merci Nacer.

[ .... ]

Aujourd'hui je rend visite à Anir. J'ai envie de me faire jolie, envie de lui plaire.

Je porte un sublime jeans noir, accompagné d'une chemise bleu clair. Celle-ci rentre dans mon jeans. Mes cheveux ondulés me retombé sur les épaules. Je me dessine un trait d'eye-liner et me recourbe les cils à l'aide d'un mascara.

Pour terminer j'enfile un magnifique perfecto en cuir et de belles bottines à talon. Je me parfume, un parfum aux senteur d'orient.

Je sors de ma chambre, la maison et déserte. Je sors, ferme la porte d'entrée à clé. Le soleil rayonne dans le ciel bleu.

Une voiture aux vitres fumées et garée dans la ruelle d'en face. Je la regarde longuement, la vitre s'abaisse.

Un homme de couleur, le petit ami de Samira. Si je me souviens bien il se prénomme Ibrahim. Il et assez mignon a vraie dire, une barbe épaisse orne son visage masculin.

Je lui sourie, il me regarde avec insistance. Il me dévisage une chose pas très agréable. Il m'interpelle de sa main.

Que faire ? Non je ne vais y aller.
Si je vais y aller, Ibrahim et mon objet de vengeance vis-à-vis de Samira.
L'heure de la vengeance à sonnée !

D'un pas léger je me dirige au véhicule aux vitre fumées. J'arrive à sa hauteur, pas mal le petit.

- Ibrahim : Samira est là ?

- Non elle est sortie.

- Ibrahim : Merci ! Tu es Hakima ?

Je ris timidement, il me regarde avec incompréhension.

- Non ! Moi c'est Assia.

- Ibrahim : Tu es une cousine à Samira ?

- Non, je suis sa petite sœur.

Il rit, un rire moqueur qui m'agace. Une démangeaison de violence m'envahit.

- Pourquoi tu ris ?

- Ibrahim : Samira ne m'a jamais parlée de toi.

- Ah bon ? Pourtant on sais déjà vu !

- Ibrahim : Je ne m'en rappel pas.

- Sur ceux je te souhaite une bonne journée.

Je lui sourie, et marche tranquillement.

- Ibrahim : Attends !

Je me retourne sourire aux lèvres.

- Oui ?

- Ibrahim : Tu veux que je te dépose quelques pars ?

Je jubile intérieurement.

Samira

Son corps chaud tombe sur le mien. Son visage et au crue de mon cou, son odeur et irrésistible.

Il me retourne brusquement et violemment. Ses mains chaudes se balades sur mes seins nu.

- Issam : Tu as aimée ?

- Tu as toujours sus me satisfaire.

Je l'embrasse langoureusement, je lui tire et lui mors sa lèvre inférieure. Il gémit de douleur et de plaisir.

Je lui suce la peau chaude et humide de son cou.

- Continue Assia.

Je continue à lui sucer la peau, sa m'est complètement égal qu'il gémisse son nom tant qu'il est avec moi.

- Tu m'aimes Issam ?

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Merci.

@coeur_solitaire

Vengeance d'une femmeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant