Vengeance d'une femme

20

20.

Je m'apprête à prendre la ruelle m'amenant chez moi lorsque une mains épaisse et froide m'attire. Ma tête ce tape sur un torse dur. Je lève les yeux et rencontre son regard noir.

Son regard noir se balade sur moi, il s'attarde sur mes lèvres. Il se mort la lèvre inférieure avec envie.

- Lâche-moi !

- Donne moi deux minutes.

- Pourquoi ?

- Pour parler de nous.

- Il n'y a pas de nous, il n'y a plus de nous.

- Je ne suis pas d'accord, tu m'aimes toujours.

Je ris ironiquement.

- Lâche-moi.

- Je te lâche à une condition.

- Laquelle ?

- Accorde moi les deux minutes.

Je souffles, il me détache.

- Assia ne fais pas l'enfant !

- Tu te moques de moi j'espère ? C'est toi l'enfant ! Tu es partie alors que j'avais besoin de toi mais a ce que je vois tu as pris du bon temps !

Je lui ouvre la veste sauvagement.

- Calmes toi !

Il me tient fermement les deux mains, je me débats mais en vain. Être en contacte avec lui m'écœure, je ne veux plus aucun contacte ! Quelque que soit le contacte, même une poignée de main ! Il m'a blessé, cette tâche ornant son cou me rend folle complètement folle de jalousie. Savoir qu'une autre femme a goûter à sa chair en laissant sa trace me rend dingue !

Il est à moi, à moi seule.

- Qui est-elle ?

- Personne !

- Personne ? D'accord.

Ma respiration s'affole. J'ai qu'une envie, lui affliger des coups violent sur son thorax. Pour qu'il ressente la douleur qui m'a envahie lorsque j'ai vue son cou.

- Lâche-moi une bonne fois pour toute bordel. Toi et moi c'est de l'histoire ancienne ! Tu n'auras absolument pas de soucis à trouver une autre idiote sur qui joué.

Il me lâche avec énervement, je pose mes doigts fin sur son cou et les balade sur le suçon. Il s'immobilise, il frissonne à mon touché. Je le regarde une dernière fois et m'en vais le cœur lourd.

Je ne veux pas rentrée chez moi tout de suite. J'ai le besoin de le voir au plus vite, des mois que l'on ne sais pas adressé la parole. Les mains trembles je prend mon téléphone et compose son numéro de téléphone.

Il répond à la deuxième sonnerie.

- Oui ?