Diabolik Lovers : Fallen Girl [TERMINÉ - EN CORRECTION]

Chapitre 27

Vous connaissez le principe ! ~_^ C'est un OST de Fairy Tail : Tsuioku mezameru tamashii <3

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- Pourquoi... ?!

Les crocs de Ruki se délogèrent de mon épaule. Ses bras enlacés autour de mon buste se resserrèrent davantage, au point de me rappelé la torture du corset.

- Je veux bien comprendre que tu ne veuilles pas me voir fuir, mais de là à serrer si fort...Gh ! J'ai du mal à respirer, Ruki !

Une certaine impatience semblait le tourmenter aujourd'hui, et j'étais loin d'en connaître la cause.

Le vampire avait finit par recouvrer complètement de son bras et pourtant, que se soit Mukami ou Sakamaki, aucun n'avait formulé la demande de leur retour chez eux. Étrangement, leur présence dans le manoir semblait presque anodine, comme si ils y avaient toujours habité.

Yuuma avait lui-même finis par créer un petit potager à la lisière de la forêt, inaugurant presque inconsciemment leur installation définitive ici... et ça n'avait dérangé personne.

- Toujours rien... pourquoi ?!

- Toujours rien ? Que se passe-t-il ? Questionnai-je en parvenant tant bien que mal à me décoller quelques peu de son poitrail.

- Tu dois te dépêcher d'éveiller Izanagi... ! Mais ton sang ne semble pas... c'est pourtant Izanami !

- De quoi tu parles ?!

Sans en dire plus, Ruki mordit ma poitrine en faisant glisser sur mes épaule, ma chemise d'uniforme.

- Si... tu voulais bien me dire... ce qu'il se passe. Maugréai-je en frappant son épaule pour l'obliger à s'éloigner.

Il avait déjà bu bien assez. Ma vue chavirait dangereusement et la force de mes membres fondaient avec les millilitres de sang qui m'étaient volés.

- Cesse de résister ! Il faut éveiller Izanami et Izanagi...nous devons le faire pour cet homme !

- Je me fiche bien de ton projet pour le moment ! Laisse moi seulement respirer veux-tu ?!

La force dont j'étais encore capable lutta contre la sienne. Ruki avait débarqué en trombe dans ma chambre et m'avait installé sur ses genoux sans ménagement avant de s'en prendre à mon sang.

Heureusement que, sentant sa présence approcher, j'avais rapidement camouflé le sac que je préparais, sous mon lit. M'encombrer d'une valise n'était d'aucune utilité en un temps pareille.

- Tch... c'est bon. Lâcha-t-il avant de se décider à délier les bras.

- Ahh, merci ! Inspirai-je. Maintenant, dis moi ce qu'il se passe ? Tu sembles anxieux.

- Tu n'as pas à t'en préoccuper. Trancha-t-il.

- Encore ça ? Si c'est le projet qui te pose problème, ne serait-ce pas à ton boss qu'il faudrait en parler ?

- Il n'est pas question que je lui parle de notre... ! S'indigna-t-il en ravalant un mot à la dernière minute.

- De votre ?

Ces mâchoires se crispèrent dans un élan d'obstination muette. Mes mains se crispèrent sur son blazer face à son silence, c'était donc impossible de lui faire cracher la moindre information ?

- Parles-en au moins à tes frères, cette histoire vous concerne tous.

- Ne me donne pas de leçon, Kachiku.