Chapitre 20 ♡

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Salam Aleykum ♡

Youness

Doha: T'es sûre que t'as tout ?

Ça fait 1heure que ma mère est sur mon dos. Aujourd'hui, je dois partir dans un hôtel qui est dans le centre de Paris. Comme le combat contre Creed est pour demain, je passe pas la nuit chez moi, pour pas être déconcentré.

Youness: C'est bon yemma (maman), j'ai tout. Commence pas à me stresser.

Doha: Je te stresse pas, juste je m'inquiète. C'est normal, je suis ta mère.

Youness: Bah quand même, il y a pas à stresser. Je suis calme, donc commence pas.

Elle s'assoit sur mon lit et elle souffle. Elle me fait la gueule depuis un moment parce que je lui ai dit que j'allais demandé la main de Feriza. Elle veut pas. Elle veut me marier avec une marocaine.
Je m'assois à côté d'elle, franchement, je comprends pas pourquoi elle refuse Feriza. Elle est différente des autres, en plus, elle a des valeurs, des principes. C'est rare de nos jours.

Youness: Pourquoi t'aimes pas Feriza ?

Doha: On va pas en reparler ?

Youness: Si, t'aime pas ma femme. Elle t'a rien fait miskina (la pauvre). T'abuse. Même pas t'accepte que je me marie. Crois moi, cette petite me rend heureux.

Doha: Elle t'a fait de la sorcellerie ou quoi ?

Youness: On est pas au bled ! Dis moi pourquoi ?

Doha: Elle ressemble à une femme que j'aime pas.

Youness: Donc, tu l'aimes pas pour ça ?

Elle me regarde et hoche la tête. Je crois qu'elle se fout de ma gueule, c'est obligé.

Youness: Tu rigoles ?

Doha: Non, non, mais j'ai pas envie d'en parler.

Youness: Bah moi si ! Tu veux pas que je me marie. Elle me rend heureux cette petite.

Doha: Elle t'a fait de la sorcellerie, je crois.

Elle devient folle je crois, mais ça reste ma mère.

Youness: Nan, mais tu dérailles toi. On est pas au bled.

Doha: On sait jamais. En plus, je suis sûre à 100% qu'elle est plus vierge. Elle est pleine de vice cette petite.

Youness: N'importe quoi toi ! T'as été voir ?

Doha: Non, mais You, oublie pas que miss est mannequin, elle montre son corps sans problème.

Youness: Abuse pas. Ses photos sont soft.

Doha: Elle est à moitié dénudée. Mais, me crois pas. Je te le dis, cette fille, je la sens pas. Elle va te la mettre à l'envers.

Elle me soule. Elle s'imagine des films.
Elle se lève du lit et se dirige vers la porte de ma chambre.

Doha: Réfléchis Youness, réfléchis.

Ensuite, elle sort de ma chambre. Dans ma vie, j'ai 3 femmes, 3 piliers, ma mère, ma jumelle et Feriza. Chaima et Feriza s'entendent bien mais ma mère et Feriza, non.
Je sais plus quoi faire. Une relation peut pas marcher, si la famille est contre. Parce que, je le sais que ma mère va réussir à retourner le cerveau à toute ma famille. Ils vont tous être contre Feriza. Connaissant Feriza, elle va prendre sur elle, mais un moment elle va l'ouvrir. Bref, ça va être la merde.

Je m'allonge sur mon lit, je dois trouver une idée pour que ça marche. Pour la première fois de ma vie, je veux être sérieux. Dieu m'a mis une perle sur ma route, je peux pas la laisser partir. J'en trouverai pas une comme elle.
Je regarde ses dernières nouvelles, depuis que je la connais, je suis son actualité. C'est comme une forme de soutien.
Je tape sur ma barre de recherche Feriza.
Direct, une information me tape à l'œil. Il est écrit Un nouvel ange intègre Victoria Secret.
Je connais cette marque, c'est une marque de sous-vêtements.
Tout l'article parle du fait que Feriza a signé un contrat avec Victoria Secret.
Je suis contre ça, tout le monde va bien voir son corps là. Elle a peut être raison ma mère.
Mais, je fais confiance à Feriza, malgré tout.
Dès que je la vois, je vais lui en parler. J'ai pas envie que ma femme expose son corps devant le monde entier.

[...]

Je m'étale sur le lit King size de l'hôtel. J'ai fini ma douche, mais j'ai super chaud pourtant on est en février.
J'ai juste mis un bas de jogging. Flemme de m'habiller, en plus, je vais pas sortir.
J'entends des pas venir vers la chambre.
Feriza apparaît avec un grand sourire.
C'est pas qu'elle va me dire bonjour, non, elle, elle enlève ses chaussures et elle saute sur le lit.

Youness: Putain ! Ta race Feriza !

Elle s'assoit sur moi. Elle a cru que j'étais un fauteuil.

Feriza: Donc, je suis grosse c'est ça ?

Youness: Ouais, énorme frère. T'as trop de gras frère.

Elle rigole comme une sorcière, cette folle. Je m'arrête, j'ai pas envie qu'elle pisse sur le lit. Feriza, c'est une petite princesse, donc, je dois prendre soin d'elle. Je pose mon front sur le sien. Elle est belle ma femme, dans même pas quelque jours, elle va m'appartenir.

Youness: T'es pas grosse, t'as une taille de guêpe.

Feriza: Je préfère.

Elle me fait son sourire fière. J'aime trop ce sourire. J'ai envie d'elle, mais pas lui faire l'amour comme une pute non, comme une femme, ma femme.

Youness: Feriza...

Âme sensible s'abstenir.

Je pose mes lèvres sur les siennes. Je me contrôle plus, en plus, elle m'arrête pas, au contraire.
Je retire mes lèvres d'elle. On se regarde dans les yeux, on se comprend. Elle aussi, elle en a envie.
Je commence à lui retirer son haut, ensuite son bas. Elle est en sous vêtements devant moi. Son corps me rend dingue. Je pose mes lèvres sur son ventre, sa peau est chaude. Elle frémit. Elle est super sensible Feriza.
Je remonte au niveau de son cou, elle frémit encore plus. Elle prononce mon prénom avec un soupir.
Je lui laisse des tonnes des baisers sur son cou. Je m'approche de son oreille.

Youness: Laisse toi faire, je vais y aller doucement.

Elle hoche la tête. Je descends mes mains sur ses hanches. Je lui retire rapidement sa culotte.
Je pose mon front sur le sien, on se regarde dans les yeux, ses yeux brillent.
Je rentre en elle, elle ferme ses yeux, et elle mort sa lèvre. Elle lâche un  « aie ». J'attends un peu. Je mets ma tête dans son cou, elle pose ses petites mains sur mon dos.
Je commence les vas et viens, elle est serrée.
Je sens qu'elle me griffe le dos.

[...]

Il est 01h du matin. Je la regarde, elle est nue. Elle dort. C'est la meilleure nuit que j'ai passé de tout ma vie. Je regrette pas d'avoir pris sa virginité. Parce que oui, elle est vierge. Le drap est taché de sang.
Dès que mon combat sera passé, c'est décidé, je vais demander sa main avec ou sans l'accord de ma mère.

« Un crochet du droit en plein cœur »

[II]  « Un crochet du droit en plein cœur »Où les histoires vivent. Découvrez maintenant